Mercredi 19 août 3 19 /08 /Août 17:36

Nous avons marché le long d’un sentier rocailleux et tortueux pour arriver sur une presqu’île aux allures de paradis

Je suis  allongée, nue, dans cette crique de sable blanc, baignée par une eau limpide bleue-verte

 Le soleil inonde de ses rayons mon corps dénudé. Le chant des cigales semble accompagner l’odeur diffuse suave et apaisante des pins

Le ressac des vagues qui s'écrasent en un va et vient sur les rochers me berce et me plonge dans une douce rêverie 

  Je m'étire m'offrant toute entière à la caresse ardente  du soleil.

 Ignorant toute pudeur, j’ouvre davantage mes cuisses, bras en croix faisant don au soleil de mes plus intimes secrets.

 Vous êtes là, vous me  regardez. Vous êtes assis, silencieux, dos au soleil. Vos yeux voraces parcourent les courbes généreuses de mon corps, et se perdent dans l'ombre mystérieuse de mon vagin.

Votre  regard sur moi  fait partie de la chaleur qui éveille  mes sens 

Il me cloue au sol et j’en accepte le joug. Je  me laisse glisser dans le bien-être alors qu'une chaleur plus intense, plus insidieuse, émerge au fond de mon corps et fait soudain battre mon cœur d'impatience. Mes cuisses, s'écartent davantage.

Je m'offre à votre regard  Sans retenue. Sans aucune pudeur. Consentante. Disponible.

Votre regard aussi présent qu’une caresse s'arrête un instant sur l'arrondi de mes seins, descend plus bas et se perd dans les méandres du val qui constitue  mon sexe luisant avant de poursuivre le long de mes jambes

 

Vous êtes  là tout près, vous vous penchez sur moi et votre langue qui semble avoir élu domicile sur mon téton qui durcit, faît naître un premier frémissement de plaisir.

Toutes mes sensations semblent s'être concentrées sur mon sein dont vous mordillez doucement et aspirez, avide et gourmand, entre vos lèvres resserrées le mamelon maintenant fièrement érigé.  Caresse si douce qu'elle en devient insupportable. Je  retiens mon souffle. Attentive aux sensations que fait naître votre bouche si tendre qui s’attarde.

Le corps tendu d'attente exacerbée. Puis, vous posez votre main en corolle sur mon  sexe

Douce progression  de vos doigts  qui écarte mes lèvres humides.

Vous vous immiscez plus avant dans la tiédeur moite de mon vagin ouvert.  Faites aller et venir entre mes lèvres vos doigts mouillés par le breuvage qui s’en écoule

 

 Contre ma hanche douce, je sens, émue, votre sexe dur et tendu qui s'écrase.

J’ai envie de le toucher. Le prendre entre mes doigts.  Mais je me retiens  Ne pas aller trop vite. Profiter de cette caresse de douceur qui m'embrase. Laisser grandir le désir. Le Vôtre.

 Je  relève légèrement mon bassin afin de vous faciliter le passage, acceptant sans réticence cette intrusion qui m'électrise. J’esquisse un léger gémissement lorsque je sens vos doigts s'aventurer plus loin

Votre bouche quitte mon sein. Descend le long de mon ventre, vos lèvres s'aventurent plus bas vers cet endroit que fouillent toujours vos doigts. Votre bouche se pose enfin sur mon sexe mouillé. Votre langue enveloppe mon clitoris frétillant. Vous l'aspirez, l'agacez du bout des dents. Vous l'introduisez au fond de mon vagin détrempé de désir.

 Je n'y tiens plus. Mon corps se cambre, se cabre. Vous me retenez, vos mains posées sur mes hanches. Le désir est trop grand. Si grand qu'il en devient douloureux. La jouissance si proche. Vous sentez les frémissements incontrôlés, incontrôlables qui parcourent mon corps écartelé. Vous enfoncez votre langue plus profondément. Je voudrais que ce supplice dure toujours.   Impuissante à retenir la jouissance qui jaillit tel un torrent d'écume.

 

Je prends dans le creux de ma main votre verge referme mes doigts, sur la tige dure et souple tout à la fois la caresse, la lèche, la suce.

Je me redresse et porte à ma bouche ce sexe tant désiré

L’effleurement léger et fugace de ma langue vous fait frémir. Je souris  de plaisir.

Je continue, plus assurée, plus gourmande. A mon tour de vous faire capituler et vous tendre sous la caresse de ma langue experte. A mon tour de vous entendre gémir.

 Ma bouche, lèvres bien serrées, monte et descend dans un mouvement de plus en plus rapide, de plus en plus profond, mon mouvement devient ample, régulier.

Au firmament du plaisir de vous sentir grossir, envahir ma bouche.

 

D'un mouvement presque brutal vous vous dégagez me faisant gémir de frustration et de dépit, me couchez sur le dos, écartez autoritaire mes cuisses et plongez en moi comme au plus profond.

 Nos corps se tendent emportés à l'unisson dans une même jouissance, dans un cri de bonheur et d’exaltation

 

Par maâyana - Publié dans : devoirs de vacances
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Mardi 18 août 2 18 /08 /Août 14:05

La maîtresse de maison, m’installe au milieu de la pièce face au public

Vous êtes assis avec son mari, un verre à la main, spectateurs privilégiés d’une représentation très privée

 

Votre regard me rassure et me confirme votre fierté à me voir ainsi, offerte au bon vouloir de cette femme, et c’est la dernière chose que je verrai pendant un long moment et qui m'accompagnera.

 

Le fameux « safe word » a été choisi, cela m’a fait tout drôle, car avec vous je n’en jamais eu besoin.  Mais toujours soucieux de ma sécurité, vous m’avez demandé d’en choisir un !!!

 

Elle passe autour de mes yeux un masque de cuir noir, et le noir complet se fait.

Une peur fugace m’envahit, qu’elle dissipe rapidement  par des mots et des phrases douces et sereines

 

Doucement, lentement, pour le plaisir des deux paires d’yeux qui je me doute ne se détachent pas de moi, elle me déshabille.

 

Et me voilà pratiquement nue, il ne me reste que mes escarpins, mes bas et mon porte-jarretelles

 

Je me sens fière et belle, avec ma peur si peu apprivoisée c’est très excitant !!

 

Je me retrouve attachée à la poutre de bois du plafond. Les bras étirés haut au-dessus de ma tête. Les poignets étroitement liés par d'épaisses sangles. Il a été également fixé à mes chevilles une barre en bois qui m'oblige à garder mes jambes largement ouvertes. 

 

Vous vous avancez vers moi je  tressaille à votre  approche, je sais que c’est vous.  Une vague me parcourt de la tête au pied. Vous me caressez tendrement, avec une infinie douceur, pour calmer mes dernières angoisses

 

Puis un claquement sur mes fesses me fait me raidir, être fessée par quelqu’un d’autre que vous, est nouveau pour moi, mais plaisant, car cette fessée est légère, même si au fur et à mesure la puissance augmente.

 

En même temps, mes épaules sont envahies par une douce chaleur, la cire coule abondamment le long de mon dos et mon corps ondule, que cette sensation est douce, rassurante, envoûtante, excitante

 

Vous passez une main sur mon sexe, pour vérifier tout le plaisir que cela me procure, et je suis très humide

 

Vous êtes très heureux de me voir prendre un tel plaisir alors que vous n’en êtes pas l’auteur, juste le maître d’œuvre, le chef d’orchestre

 

Elle me demande, si tout va bien que vous lui avez demandé de démarrer soft

Je ris et dans le creux de son oreille je lui dis : « pour être soft, c’est soft »

 

Et nous partons ensemble dans un grand éclat de rire

Elle a toutes les peines du monde à reprendre son sérieux et son rôle de domina

 

Elle me fait partager un verre avec elle, m’allume une cigarette, de façon à pouvoir continuer, de façon un peu plus sérieuse.

 

Mon dos à ce moment précis ressemble à un tableau abstrait, totalement recouvert par la cire, qu'il va falloir enlever .....
Car les bougies soigneusement disposées au dessus de moi, n'avaient arrêtées leurs écoulements doucereux.

 

Je reconnais le doux cinglement dans l’air de la cravache, les plaques de cire se détachent une à une, et plus ma peau se découvre, plus la cravache la mord.

 

Mon hôtesse se plait à alterner les coups de cravache, cire-peau, peau-cire.

 

Quel plaisir intense pour elle comme pour moi !!

 

Toute la cire est enlevée, et elle continue sans relâche sur mon dos.
Je sens celui-ci se marquer, rougir , la brûlure devient de plus en plus intense.
La douleur devient intolérable, je ne veux y céder et pourtant,

n’en pouvant plus, je prononce le fameux « safe word »

 

Elle s’arrête de suite, me rassure, me dit qu’elle est très fière, et me dit que vous etes vous aussi très fier et vous avez pris un immense plaisir à voir ce tableau

 

J’en suis très heureuse mais j’ai envie que l’on me détache, que l’on me laisse souffler un peu mais ce n’est pas à moi à demander et je n’en ferai rien.

 

Vous me détachez aux bout de quelques minutes interminables car mes bras me semblent lourds comme endormis, mes jambes ont de plus en plus de mal à me porter.
Vous me faites asseoir par terre au milieu de la pièce, j’ai gardé mes menottes aux poignets et aux chevilles.
Mon corps ainsi rélaché se détend, des larmes envahissent mes yeux, mais elles ne couleront pas le long de mes joues.
Car ses larmes ne sont que le résultat d'une tension évacuée , elles ne méritent aucun regard.
 

Je ne vois rien, mais je devine, les mouvements, les sourires, les plaisirs

 

Tout le monde apprécie, cette soirée, ce partage.

Le couple qui a fait faux bond à nos hôtes, leur manque, car étant la seule soumise, les jeux s’en trouvent limités.

Un seul corps pour trois doms, c’est peu, surtout qu’ils savent qu’il n’y aura que des jeux bdsm mais à aucun moment, il n’y aura de rapports de sexuels

Ni vous, ni moi ne sommes libertins, ni échangistes

 

La soirée se poursuit….

D’autres jeux , d’autres plaisirs

 

A suivre ……

 

 

Par maâyana - Publié dans : devoirs de vacances
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Lundi 17 août 1 17 /08 /Août 21:43

 J’avais pris contact sur votre demande, avec un couple de dominateurs qui désirait nous rencontrer

Vous aviez depuis quelques temps des envies de soirées à plusieurs 

Ce n’était pas du tout mes envies, mais j’acceptais pour vous faire plaisir et par curiosité n’ayant jamais vraiment eu ce genre d’expérience

J’envoyais donc un mail à ce couple qui me répondit de façon très agréable et conviviale

Après plusieurs échanges, je leur demandais de prendre contact avec vous afin de définir les modalités de la rencontre

Le rendez-vous fut pris pour un soir de la semaine suivante

Le Jour J était là, rendez-vous à 20h00 chez eux

 

Vous arrivez vers 15h00 chez moi, et vous choisissez ma tenue, classe et sexy

Une jupe noire portefeuille qui ne tient que par deux boutons, un chemisier blanc à rayures noires très décolleté fermé par des liens à la taille, une veste courte noire

Comme sous-vêtements un porte jarretelle noir et des bas couture

Des escarpins noirs, talons aiguilles  complètent la toilette de ce soir

 

Tout au long des jours précédents, nous avions longuement évoqué cette soirée où nous allions les rencontrer

Chaque jour qui passait, augmentait d'un cran ma  tension,  votre impatience. Nos échanges de mails avaient fait naître entre nous quatre une grande complicité qui, cela ne faisait nul doute dans mon esprit, ne pouvait que se concrétiser le jour venu.

Il vous avait  informé qu’un couple de soumis se joindrait à nous, de cela je ne fus informée qu’au dernier moment, cela ne m’enchantait guère, mais je n’allais pas faire marche arrière

Ils correspondaient très exactement au style de couple que nous recherchions pour agrémenter nos jeux: simples, directs, aimant les mêmes jeux que nous et les pratiquant dans le même esprit de plaisirs partagés sans tout ce tralala qui trop souvent vient polluer les relations maître-soumise et auquel je n'adhère pas.

Nous dînons à la maison, votre voix et vos mots me rassurent, car vous me sentez très tendue, puis nous prenons la route

Tout au long du trajet, je peux sentir la tension, presque palpable, que  vous ressentez, votre impatience d'arriver et de m'exhiber pour la première fois devant un autre homme. Votre  excitation augmente de manière inversement proportionnelle à la distance qui nous reste à parcourir.

Dans votre tête, vous repensez  malgré tout, cela ne fait nul doute, les différents épisodes qui doivent jalonner cette soirée  que vous avez  soigneusement planifié avec eux me laissant dans l'ignorance complète des détails. Pas question pour eux de nous décevoir ce qui aurait failli au rôle qu'ils ont à tenir.

 

 

Après une heure de route, nous arrivons à destination, notre hote nous fait entrer dans le salon

Celui-ci est assez vaste, sur deux des cotés de la pièce sont installés des tables basses et des fauteuils de style oriental, une cheminée ancienne occupe un autre mur

Des bougies de toutes formes et de toutes tailles éclairent la pièce

 

La maîtresse de maison fit son apparition quelques minutes plus tard

 

Nous engageons la conversation, autour d‘un verre, en attendant l’arrivée du couple de soumis

Cette conversation bon enfant, me détend, et je commence à me sentir très à l’aise et  totalement insouciante je devise tranquillement réfrénant la tension érotique qui me tenaille.

 

Les minutes s’écoulent et pas de nouvelles du couple, la maîtresse de maison décide que nos jeux doivent commencer.

Là je me sens un peu mal, trois dominateurs pour moi, seule, cela se complique

La défection de l’autre couple personne n’en est responsable, alors que la fête commence

 

Curieux de connaître la suite de la soirée

Retrouvons-nous demain !!

.

 

 

 

Par maâyana - Publié dans : devoirs de vacances
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Dimanche 16 août 7 16 /08 /Août 22:49

 Votre soif de curiosité vous pousse à passer des heures sur le net, pour découvrir, voir comment cela se passe  ailleurs et cela dans tous les domaines, car vous êtres très éclectique et cela quel que soit le registre

Au cours de vos pérégrinations nocturnes sur la toile, un fantasme germa dans votre esprit

 

Celui de faire de moi une momie vivante non pas avec des bandelettes en tissu mais avec des bandes collantes argentées.

 

Vous vous êtes procuré le matériel, il ne restait plus qu'à passer à la réalisation de cet étrange embaumement

 

Je me mis à éclater en rire en pensant à la situation, certes devenir une momie était assez étrange

Mais c’est plus la fin de cet exercice qui me procura ce fou-rire

Adepte depuis des années des épilations et non des rasoirs, je me dis que cette fois j’allais en avoir une entière faite par les mains de mon Maître et non de maître

 

Je vous fis part de mes pensées, et au lieu de vous offusquer, votre rire se joignit au mien.

 

Quelques instants plus tard complètement entravée sur une table, à plat ventre les fesses tendues vers le ciel, les jambes écartées, indécente et vulnérable, mes genoux étaient très étroitement liés à des poteaux rendant impossible le moindre mouvement des hanches.

 

Puis commence l’activité manuelle de collage

 

Vous collez des bandes assez larges autour de mon corps, faites trois tours autour de mes cuisses, juste à la naissance de la cuisse, au côté de mes lèvres. Chaque cuisse ainsi entravée se détachait complètement de mon entrejambe.  La première passa juste sous les fesses, les relevant bien haut, puis autour de mes hanches, sur mon ventre et enfin elle rejoint la première juste à l’opposé de son point de départ. Vous appliquez ensuite une seconde qui remonte un peu plus haut sur les fesses et le ventre. La tension sur le ventre devenait plus perceptible et mes fesses devenaient des globes plus tendus, plus petits et plus durs. Puis vous passez des bandes sur le haut des fesses, les encadrant entièrement dans cet ensemble de plastique collant.

 

 D’autres bandes par couches successives rendent la pression toujours plus forte.

Mes fesses sont recouvertes entièrement, petits morceaux par petits morceaux Certaines bandes commencent sur la ceinture formée par les bandes collantes sur le ventre, passent entre ma cuisse et mon sexe.

Je ressemblais à une statue de plastique du ventre jusqu’au haut des cuisses.

 

Vous me détachez alors de mes entraves, et me faites marcher dans la pièce,  chaque mouvement des jambes donne l’impression de faire une pression sur la cuisse à la fois vers le haut et l’extérieur.

 

Le collage du haut du corps commence.  Je porte un très court justaucorps en nylon très serré qui recouvrait juste mes épaules, mes bras et les seins. Vous me demandez de m’installer dans l’encadrement de la porte et attachez les poignets à chaque angle du haut, mes jambes écartées. Déjà écartelée, vous me faites porter une barre d’écartement, impossible pour moi de fermer les jambes

 Vous démarrez sur mon ventre, en tournant autour du corps, ajustant lentement la bande et en remontant vers ma poitrine jusqu’à la naissance des seins. Ce corset de bandes m’enserre très efficacement chaque inspiration tire sur le corset. Puis le dessus des seins, mes épaules et mes bras furent recouverts. J’ai autour de mon  cou, un collier large très dur et rigide qui m’oblige à relever la tête, une bande collante le recouvrit, cela empêchait de serrer le cou. Une sécurité pour éviter un étouffement

A l’aide de ciseaux, vous dégagez mes seins, ils ressemblent à deux globes tendus

 La couleur grise métallisée des bandes collantes donnait un aspect de robot.

 

Vous me regardez, content de vous, me libérer  pour me mettre des menottes les mains derrière le dos. La position tendue à l’extrême ne m’avait pas fait sentir à quel point j’étais compressée par le corset formé sur le ventre et la taille. Vous me demandez de continuer à marcher. J’ai une position rigide et ne peux  me pencher.

 

Vous avez  une érection énorme et m’allongez sur le canapé, bien à plat sur le dos, en me portant comme un paquet, vous attachez  mes jambes très serrées, m’ôtant le peu de mobilité qu’il me restait

Me caressez le corps, mais je ne sens que faiblement vos mains, me touchez le sexe rendu plus disponible, et cette sensation m’électrise. Ayant perdu l’usage de mes mains, pouvant à peine bouger ma tête, je cherche malgré tout à me toucher, à vous guider, sans beaucoup de succès. Je commence à sentir votre caresse insistante, vos doigts s’insinuant en moi, me frottant, me palpant, me pinçant, mon corps est au bord de l’orgasme, vous me retournez violemment comme un crêpe, ce qui me fait pousser un jappement étrange. Aplatie sur le ventre, vous me pénétrez ainsi, et cette sodomie me secoue toute entière. Je ne suis plus qu’un jouet en plastique,  un trou pour votre plaisir.

 

 

Me sortir de mon carcan de plastique fut presque aussi long, mais j’étais toute molle et mon corps n’avait plus aucune résistance. Une fois libérée vous me pénétrez de nouveau, de la manière la plus traditionnelle, pistonnant avec fureur et je jouis avec vous en poussant un cri profond que vous  accompagnâtes de votre râle.

 

 

Par maâyana - Publié dans : devoirs de vacances
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Samedi 15 août 6 15 /08 /Août 00:02

 

Ce matin je vous appelle, toute excitée à l’idée de vous faire partager le rêve qui a occupé une bonne partie de ma nuit, et m’a réveillée, me laissant complètement trempée.

 

Je suis seule dans un sauna, mes pensées en totale liberté, je m'imagine entièrement livrée à votre bonne volonté, je deviens votre esclave, cette chaleur m'aide à m'abandonner en toute simplicité.

 

Je suis allongée sur le banc fait de lattes en bois naturel, à plat ventre, une serviette est déposée sur le bas de mes reins, on aperçoit la naissance de mes fesses.

 

La moiteur due à l’eau tombant en cascade sur les pierres chaudes se fait de plus en plus présente, j’ai l'impression que vous êtes à mes cotés, que vous me regardez me détendre.

Pourtant je suis seule, absolument seule. Je n'ai pour compagnie que le silence et les vapeurs d’huiles essentielles de menthe et de lavande qui m’accompagnent dans cette cabine, je m'abandonne, je deviens de plus en plus lascive et sensuelle.

 

Des perles de sueur  apparaissent ça et là, et commencent  à parcourir mon corps.

Je ressens des frémissements au creux de mes hanches, mon bouton nacré ne demande qu'à être caressé. Sans même m'en rendre compte, mon bassin commence à tanguer, j’essaie inconsciemment de répondre à l'appel insaisissable de mes sens. Que cette chaleur est libératrice, euphorisante, relaxante. Mais je suis seule, personne n'est là pour me délivrer.

Je  repense à vous, vous  seul pourriez me délivrer de l’emprise de mes sens pour ne plus être  asservie non plus à mes désirs mais aux vôtres.

 

Je bouge, je change de position pour ne pas céder à ce désir qui ne pourra aboutir que sur une frustration puisque je suis seule. En m'asseyant je réunis mes pensées, je songe à toute autre chose, à ce que je ferai demain. En y pensant, une seule idée me vient à l'esprit, je veux baiser, oui demain je veux me faire baiser.
Tenter d’échapper à ce plaisir est vain, je décide de m’y abandonner.

 

 

Une goutte  descend lentement le long de mon cou.  Je songe que cette goutte c'est vous. Vous descendez lentement, prenez tout votre temps car vous me désirez entièrement abandonnée, de plus en plus chaude. En descendant vous collectez  d'autres perles de sueur qui se transforment en un ruisseau arrivant sur mes seins qui se dressent incandescents de désir.

 Je frémis, délire, des dizaines de frissons me submergent, vous poursuivez votre chemin ne me laissant aucun répit, Votre  voyage sur mon corps me fait défaillir, vous arrivez sur mon ventre, vous attardez sur mon nombril puis arrivez à mon pubis et mes dernières réticences cèdent.

A cet instant emportée par le désir,  mes mains descendent le long de mon corps, je me caresse la nuque, pince mes tétons, les tends à les rompre, ils brûlent, puis, je frôle mon ventre et mes mains enserrent mes grandes lèvres.

 

A cet instant précis, mon corps se tétanise sous la puissance de l’envie, une chaleur  intense vient d'exploser en moi. Elle  se diffuse, je ne pense plus, je ne suis que plaisir.

Ce moment d’extase passé  je reprends pied dans la réalité, que c'était bon de m'abandonner ainsi en pensant à vous.

 

Pourtant Vous n’êtes pas là, je suis seule.

 

 

Par maâyana - Publié dans : devoirs de vacances
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Vendredi 14 août 5 14 /08 /Août 00:02

Me voilà, à vous, depuis maintenant plusieurs semaines, nous nous retrouvons régulièrement au donjon. Qu’il est bon d’avoir un endroit à soi, pour vivre nos moments.

Moments de plaisir, de tendresse, de douleur, de rires, de détente, de repos

Moments intenses qui font que de jours en jours, à vos cotés je progresse

 

Ce soir je dois vous y retrouver, mais pas directement, vous me donnez rendez-vous sur la place.

Il m’est agréable de penser, que nous allons traverser ces ruelles  ensemble,

Deux êtres qui se rendent dans un lieu de plaisir, que personne ne soupçonne

 

La nuit est noire, pas une étoile, pas un rayon de lune, pour éclairer les maisons et les ruelles

 

Je vous rejoins, et de nouveau, vous me demandez de fermer les yeux

Cette fois-ci cela m’amuse, je n’ai pas peur, je le connais bien ce quartier avec ses ruelles, ses pierres, ses commerces, alors,     avec un grand sourire, je ferme les yeux et me laisse conduire telle une aveugle qui s’en remet à son guide.

Au bruit qui m’entoure, je sais exactement où je me trouve, et bientôt nous allons être devant cette porte aux allures surannées, avec ses barreaux tressés aux petites fenêtres et son arrondi qui lui donne un air d’alcôve.

 

 Vous ouvrez la porte, sans la déverrouiller, cela ne me surprend pas

Puis, vous frappez à la porte intermédiaire

 

Là, je suis prise d’effroi, je lache votre bras, ouvre les yeux et vous demande

 

-Nous ne sommes pas seuls ?

-Non – me répondez-vous

 

Je me mets à crier, qu’il est hors de question que je pénètre dans cette pièce

Et je sors du donjon précipitamment, vous ne faites pas un geste pour me retenir

 

Je retourne à ma voiture en courant, ce parcours me paraît long, je n’ai qu’une envie, me sentir en sécurité.

Paradoxalement, j’espère un appel de vous, qui va me rassurer, me dire de revenir, mais je n’ai que le silence comme écho.

 

Je tourne la clef de contact tremblante, déconcertée, apeurée, en colère.

Sur le chemin qui me ramène chez moi, je vous maudis, je vous hais.

 

Comment avez vous pu me mettre au pied du mur, comment n’avez vous pas compris ma peur ?

Vous m’avez laissé m’enfuir, sans un mot, ni un geste.

 

Les jours qui suivent, mes messages tombent inexorablement sur votre messagerie

Vous ne répondez plus, c’est l’ignorance totale.

 

J’ai beau vous demander pardon, vous dire que ma réaction a été idiote, que je me suis conduite en enfant gâtée, rien n’y fait.

Vous restez d’un silence assourdissant qui dépose sur mes épaules une chape de plomb qui m’empêche de respirer.

 

J'entends enfin votre  voix chaude dans laquelle flotte une légère incertitude me demandant enfin :

-         prête à être punie, pour te faire pardonner ?

 

Oui, j’y étais prête, me faire pardonner cette fuite était le plus important. Effacer cette faute, plus rien d’autre ne comptait.

 

Tout alors s’enchaîne très vite, vous venez me chercher, et me conduisez dans une maison, dont je ne sais rien et la peur m’empêche de vous questionner

 

Tout au long du trajet, nous plaisantons, discutons, je ris pour me donner du courage, nous arrivons enfin à destination

 

En pénétrant dans la pièce sombre, je sens mon cœur se pincer d'appréhension. Si  j'ai fait l'expérience de la soumission, me prêtant avec complaisance à ces jeux où plaisir et douleur s'entremêlent inextricablement, où l'humiliation se confond avec la plus grande félicité,  là c’est l’inconnu qui est devant moi, je ne sais rien, sauf peut-être que cela ne va pas me plaire

 

J’ai accepté la punition, et une punition n’est pas le plaisir

 C'est donc pour moi une première!

Vous en avez pleinement conscience, déjà vous en jouissez intérieurement

Je me dois d'être à la hauteur de la situation pour vous mais aussi pour moi

Vous êtes cet après-midi, seul maître de la situation.

 

Vous m’avez installée nue au milieu de la pièce, les bras relevés au-dessus de ma tête attachés à une chaîne ralliant le plafond

Vous ne m’avez pas bandé les yeux pourtant vous me connaissez et vous savez que si je peux anticiper, ne serait-ce qu’une fraction de seconde ce qu’il va se passer, je vais bloquer mon esprit et  garder le contrôle.
Mais aujour'hui, je n'en ferai rien 

Et justement, vous me voulez prise au piége, voyant tout, ressentant tout

 

Deux hommes arrivent sur le pas de la porte et nous observent avec un intérêt certain. D'un geste vous  leur faites signe de s'approcher davantage marquant par là sans aucune équivoque ma totale disponibilité. Déjà une main fouille ma chatte. Je sens des doigts fureter sur mon clitoris avant de s'engouffrer entre mes lèvres, impossible pour moi de me laisser aller, ce qui se passe me fait horreur. Je me sens humiliée, rabaissée, je ne suis qu’un objet livré à des mains inconnues 

Ces mains avides qui se tendent vers moi pour m'effleurer, me toucher. Un des hommes me contourne et se positionne derrière moi et  je ne peux réfréner un léger mouvement de recul quand je sens ses mains écarter mes fesses et ses doigts se poser sur mon anus et en forcer sans plus de préambule brutalement l'entrée. J’ai envie de hurler sous l'intrusion mais m'astreins  à ne pas bouger le laissant faire pénétrer d'abord un puis deux doigts en moi en un mouvement circulaire qui m'écartèle et me laboure les reins. Les doigts de l'autre homme sont maintenant profondément enfoncés en moi et je le sens les faire aller et venir dans mon sexe. D'autres mains continuent de me palper. Toujours plus nombreuses. Le ventre, les seins, le sexe. Rien n'échappe à leur exploration. Combien, je ne saurai le dire. Je ne suis de toute façon pas en état de compter.  Cela n'a en fait aucune importance. Ce qui compte, c'est ce que je dois subir cette extrême  humiliation, et être ainsi utilisée, me donne envie de vomir, j’ai la tête qui tourne.

 

Je  vous regarde désespérément. Ce que je ressens est trop fort. Trop violent. Je n'en peux plus. Réaction instinctive de refus que je ne peux réprimer malgré tous mes efforts. Envie soudaine de pleurer. Mon cœur bat à tout rompre. Je vous prie  de leur demander d'arrêter. Qu'ils vont trop loin !  Vous  seul avez  ce pouvoir. Vous  seul peut décider de stopper. Je sais que si vous le souhaitez, si vous le demandez, l'exigez, dans l'état où je suis, incapable de la moindre pensée cohérente et encore moins de vouloir ou décider quoi que ce soit, je continuerais à subir,  je continuerais à endurer la répugnance de ces mains voraces sur moi

 

Immédiatement, vous leur demandez d’arrêter et me détachez.

 

Je me laisse tomber à terre, et d’abondantes larmes coulent sur mes joues. Je hoquète, je suffoque, je n’en peux plus.

 

Tout doucement, vous me calmez, avec votre voix chaude et sensuelle, vous me prenez dans vos bras, vous m’embrassez et me dites :

 

-         C’est fini, je suis fièr de toi, tu sais maintenant ce que sera ta punition

 

J’avais enduré, tenu bon, et je n’avais surtout pas envie que cela se reproduise

 

Mais dans mon fort intérieur, je savais que cela se reproduirait, car l’obéissance totale est comme un grand escalier à monter, et je n’en avais gravi que les premières marches

 

 

Que réservent les autres marches à la petite souris ?

Vous voulez le savoir n’est ce pas ?

 

 

Par maâyana - Publié dans : devoirs de vacances
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Présentation

Qui suis je ?

 Je suis tout simplement une femme tantôt rêveuse, tantôt romantique avec son petit caractère d'enfant gaté, je suis quelqu'un d'un peu trop introverti en société qui a beaucoup plus de  facilité a s'exprimer par l'écriture même si je me soigne

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