devoirs de vacances

Mercredi 26 août 3 26 /08 /Août 15:25

La petite souris a cru en son Chat , elle s’est mise à nue

C'est la fin de l'été sur les plages 

C’est la fin de la saga sur ces pages

 En guise de conclusion , ce poeme servira d’épilogue

 

 

Je t’ai guetté trop souvent sans te voir apparaître
Parcouru des sentiers déserts, dépourvus d’êtres
Volé  à mille corps des baisers éthérés
Flirté avec des soleils qui m’ont souvent consumée

Les maitres de la destinée
De leurs feux nous ont éclairé
Tu m’as tendu  ta main
Pour faire naître un demain


Trop souvent j’y ai cru et me suis égarée
Me trompant d’histoire dans leurs reflets
Je me suis aveuglée à trop te chercher
A trop vouloir t’approcher, mon âme s’est vidée

Le souffle de tes mots
La chaleur de ta peau
Dans un total renouveau
Ont libéré mes maux


J’ai parcouru cet interminable couloir sans lueur
J’ai hurlé sous le poids de la douleur du coeur
Espérant  te retrouver et effacer les heurts
En voulant croire à des lendemains rieurs

Sans secret et sans peur
Je me suis livrée sans pudeur
Tu n’as pas su lire en mon cœur
Je le sais aujourd'hui sans erreur


Le temps nous emprisonne dans nos certitudes
Et notre histoire avortée s’évanouit dans la brume
Devrais-je encore une fois tout recommencer
Ou dois-je encore y croire et à nouveau t’espérer

De mon âme triste et lourde
Remonte une complainte sourde
Ne pas faire de demain le présent
Juste construire maintenant


L’espoir qui s’enfuie, les heures deviennent moroses
Tu détiens les clés qui engendre la métamorphose

Transcendant le désespoir, pour en faire une apothéose
Où  un seul de tes regards créera  l’osmose


De toi je n’attends rien, mais veux tout

Ton corps, tes bras
L’écho de ta voix
Pour enfin être à toi

Par maâyana - Publié dans : devoirs de vacances
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Mercredi 26 août 3 26 /08 /Août 15:14

Je me trouve devant la porte du donjon, lieu privilégié de nos rendez-vous.

 

Vous m’avez laissé un message me demandant d‘y être à 14h00 précise et de me soumettre sans restriction à tout ce qu'il serait exigé de moi.

« Ce moment  sera plus dur que tout ce que tu as déjà vécu et tu dois te préparer à souffrir. Mais je t'en sais capable ma douce soumise. Cette épreuve est nécessaire pour te libérer de tes derniers doutes et donc de tes dernières chaînes. Ai confiance ma belle. Lorsque tu auras terminé, tu rentreras directement chez toi et  tu m'y attendras.

 A tout à l'heure,  songe qu'à chaque instant de cet après-midi mes pensées t'accompagneront"

 

 

Il est 14h00, je pousse la porte qui est ouverte. Je pénètre dans l’inconnu et j’ai peur.

Ma poitrine résonne tel une peau de tambour tendue à l’extrême et mon ventre se noue douloureusement.

Je pénètre dans la pièce, je la connais bien et quelque part elle me rassure, je me sens chez moi. Elle est toujours aussi sombre seulement éclairée par des bougies de différentes formes et couleurs éparpillées çà et là

Un homme est là, dans la pénombre, vêtu de noir et le visage masqué. 

Seul sa silhouette se distingue tellement il fait corps avec les murs noirs.

Il est parfaitement silencieux  tellement immobile que l’on dirait une statue de cire

Il me guide au centre de la pièce. D'un signe, il me fait comprendre que je dois me dévêtir

Ma robe d'abord, que je dégrafe lentement et fait glisser sur mes épaules, puis mon soutien-gorge, viennent ensuite mes bas que je détache du porte-jarretelles et les fais glisser le long de mes jambes, pour finir par mon porte-jarretelles. Je suis complètement nue

 

L'homme tient  dans ses mains  une lourde chaîne à laquelle pendent des menottes en cuir.  Je tends mes mains vers lui pour qu'il les referme sur elles  autour de mes poignets. Puis il s'agenouille devant moi et d'un mouvement de sa main me fait écarter les jambes et fixe à chacune de mes chevilles des anneaux avant de s'éloigner.

 

Un moment je reste ainsi immobile les poignets clos  reposant sur mon ventre.

 Le silence assourdissant qui règne dans la pièce, seulement trahi  par le bruit de ma respiration qui s'accélère et les battements de mon cœur, est  lourd d'une menace perceptible qui me fait soudain frissonner d'appréhension

Je me sens si faible, si peu sûre et ce qu'il demande est si dur, si difficile. Je ne sais jusqu’à quand, j’aurais l’énergie de le satisfaire, à être celle qu'il veut que je sois.

 

Au bout de longues minutes, l’homme s'approche de moi. Il saisit la chaîne qui lie mes poignets et me fait relever les bras.  Sans un mot, l'homme accroche la chaîne au crochet me maintenant les bras relevés.

 

 Le silence m'oppresse. Je tournoie, il me regarde semblant prendre un plaisir pervers à l'angoisse qui monte, incontrôlable, en moi et dont il a  pris le contrôle.

 

Un hurlement soudain s'échappe de mes lèvres alors qu'une lanière de cuir cingle violemment mes reins.  Cet homme me fouette, me flagelle, me cravache. Mon dos, mes reins, mes seins, mon ventre, mon corps offert. Mon corps virevolte   incapable de se défendre des morsures qui pleuvent sur lui, proie sans défense. Mes larmes coulent. Je sanglote. Mon corps n'est plus que douleur et souffrance.

Chaque nouveau coup est un supplice plus grand.. Il n'y a plus que cette douleur, lancinante, obsédante qui ne paraît pas avoir de limite.

Mais je ne dis rien, ne demande rien, je ne sais si c’est la rage ou la fierté qui me pousse à continuer

Et puis soudain, je ne sens plus rien.

 Je suis au-delà de la souffrance dans un monde de pures sensations.

 Comme évanescente totalement éthérée et pourtant consciente de ce que je ressens au plus profond de mon corps.

Mon esprit s'évade, il a basculé, je l’ai bloqué.

Je flotte offrant mon corps aux coups qui le marquent.

Les larges courroies du fouet qui m'a si fortement effrayée s'enroulent autour de moi en une caresse lascive

 

Les assauts ont enfin cessé et  après m'avoir fait redescendre, et libérée de mes chaînes. Délicatement il me relève et, il me conduit vers le canapé  et me tend un verre empli d'un breuvage rafraîchissant qui me redonne un semblant de force

Je me détends, me laisse envahir par le bien-être. C'est si doux.

Tout aussi doucement, cet homme écarte mes jambes. J'ai un mouvement de recul. Je me sens si faible. Je ne pourrai supporter de nouveaux tourments. Mais il insiste tendrement. Impossible, dans l'état de faiblesse dans lequel je me trouve, d'opposer la moindre résistance. Mais loin de vouloir me forcer, la bouche de cet homme se pose délicatement sur mon sexe et commence à me lécher. Je me sens fondre de bonheur sous la douceur exquise de sa langue. Sans qu'on est besoin de me l'ordonner, j'écarte plus largement mes cuisses m'offrant tout entière à l'exploration de cette langue qui fait déferler en moi des vagues de plus en plus intenses de plaisir. Dans le même temps, ses mains se sont saisies de mes seins et les malaxent tendrement, pinçant délicatement mes tétons érigés de désir.

 Le plaisir me transperce de part en part. Aucune parcelle de mon corps n'est oubliée. Je deviens plaisir pur.

 Je me liquéfie  sous tant d'attention. Je crie ma jouissance et  m'emporte dans un orgasme formidable d'ampleur.

 

Je sombre alors, épuisée, dans le sommeil.

 

A mon réveil, Vous êtes là !!. Le corps rompu, je me redresse lentement, hébétée par ce que je viens de vivre. Jamais encore je n'ai autant souffert mais jamais, non plus, je n'ai connu une telle intensité dans la jouissance.
Je vous remercie, car si j’ai pu vivre cela, c’est que j’ai su dès le début que cet homme masqué c’était Vous.
Je sais qu'une nouvelle frontière vient d'être franchie.

Par maâyana - Publié dans : devoirs de vacances
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Samedi 22 août 6 22 /08 /Août 18:26

 Il est 10h00, je vous attends, je ne sais rien du programme de cette journée, seulement que nous allons la passer ensemble

Je ne suis vêtue que d‘une robe légère à fines bretelles de couleur rouge, dont le haut s’apparente à un bustier et qui se termine par des pans fendus très haut sur la cuisse.

  Ce fut enfin le départ, vous êtes à l’heure, nous prenons l’autoroute, cette bande d’asphalte aux allures de féeries. Au bout d'une heure, nous quittons l'autoroute.

 Vous  faites glisser, nonchalamment votre main sur mon genou,  vous remontez sur mes cuisses bronzées, cherchant l'intérieur de mes cuisses, avec impatience.

Je suis douce, chaude et humide !

Cela vous permet de vérifier que je vous ai obéi et que je ne porte pas de string

Je passe ma main sur votre  sexe et constate avec plaisir que vous bander  durement, serré dans votre jean.

 

J’ouvre mes cuisses quand vos doigts viennent frôler mon sexe. Vous relevez  ma robe sur mon ventre, observant du coin de l'œil ma chatte totalement épilée, aux lèvres gonflées et mouillées.

 

Vous glissez un doigt dans mon sexe, je relève ma jambe droite, la pose sur le tableau de bord,  dégageant ainsi un panorama dont vous ne vous lassez pas, tout en gardant un oeil sur cette route de campagne déserte

 

Vous devenez silencieux, conduisez prudemment d'une main, je sens vos pensées voguer quelque part

Qu’avez vous imaginez pour moi ?

Ne pas savoir, ne rien demander m’excite terriblement

 Vous ralentissez  en apercevant les murs en pierre  de la villa, retirez vos doigts trempés, me les faites lécher 

 

Je me redresse, remets ma robe en place  et observe la propriété.

 Est ce à vous, je n’ose vous le demander.

 Vous me prenez  par la taille, ouvrant le portail de grille blanche. L'allée est parsemée de massifs odorants et colorés

 

Nous montons quelques marches, entrons dans une immense pièce aux grandes portes vitrées.

Après avoir traversé un long couloir de teinte ivoire sur lequel des aquarelles se détachent

Nous pénétrons dans une grande chambre lumineuse, de la porte fenêtre, nous voyons la piscine

 

-          Le dernier arrivé dans l'eau devra se soumettre à l'autre !

-          D'accord ! répondis-je joueuse et insolente

 

 Vous êtes le premier à plonger dans l’eau bleue de la piscine, je vous rejoins quelques secondes plus tard.

 -       Tu as perdu,  ! Te voici contrainte d'accepter mes désirs, me dites-vous en me serrant contre vous.

 Contrainte des plus agréables et pour mon plus grand plaisir

 Nous nous installons sur un canapé marron recouvert de coussins verts émeraude

 Vous me renversez, me plaquant contre vous, malaxant ma poitrine, en me fixant d'un air gourmand.

 Sans un mot vous glissez une main sous mes fesses, m'obligeant à me cambrer, à offrir ma chatte à votre bouche

 

Vous jouez longuement avec mon clitoris, m'affolant inexorablement

Je ferme les yeux, concentrée sur ce désir si fort au fond de moi.

Vous glissez lentement, très lentement  un doigt dans mon fourreau de chair brûlante,

Vous retirez votre doigt et me le faites lécher longuement, puis vous l'introduisez de nouveau en moi

J’ai envie de vous attraper, vous serrer contre moi

 

D’un baiser, vous calmez mon envie pendant que vous introduisez un deuxième doigt au fond de son sexe. Un troisième doigt se glisse  au fond de moi, forçant légèrement l'entrée de ma chatte inondée.

Je me raidis vous le sentez et ne bougez plus, je commence à me détendre.

 C'est alors qu'un quatrième doigt me pénètre, lentement, forçant avec douceur ma grotte, prenant le temps pour laisser mes muscles se détendre.

Je ferme les yeux, pour mieux appréhender les sensations nouvelles que je découvre.

 Mes muscles se détendent, aspirent votre main

 

Je cherche à diminuer les instants d'étirement en contrôlant ma respiration

Je suis tellement trempée que cela, facilite le passage de vos doigts.

Vous refermez votre pouce vers l'intérieur de votre paume gagnant chaque millimètre patiemment. J'ouvre les yeux, vous bouleversant par un regard confiant.

 

Vous vous redressez, cherchant le meilleur angle possible pour pénétrer toute votre main.

 De l’autre main, Vous caressez mon corps offert, excité par cette nouvelle façon  de vous appartenir.  Mes chairs  se referment brusquement sur votre poignet, enfoncer dans mon sexe brûlant.

 

Vous sentez mes chairs palpiter autour de votre main, l'emprisonner, l'aspirer comme des vagues puissantes.

Je pousse un cri sauvage de plaisir, un orgasme hors du commun vient de me submerger

Vous souriez. Je venais de connaître son premier Fist.

Par maâyana - Publié dans : devoirs de vacances
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Mercredi 19 août 3 19 /08 /Août 17:36

Nous avons marché le long d’un sentier rocailleux et tortueux pour arriver sur une presqu’île aux allures de paradis

Je suis  allongée, nue, dans cette crique de sable blanc, baignée par une eau limpide bleue-verte

 Le soleil inonde de ses rayons mon corps dénudé. Le chant des cigales semble accompagner l’odeur diffuse suave et apaisante des pins

Le ressac des vagues qui s'écrasent en un va et vient sur les rochers me berce et me plonge dans une douce rêverie 

  Je m'étire m'offrant toute entière à la caresse ardente  du soleil.

 Ignorant toute pudeur, j’ouvre davantage mes cuisses, bras en croix faisant don au soleil de mes plus intimes secrets.

 Vous êtes là, vous me  regardez. Vous êtes assis, silencieux, dos au soleil. Vos yeux voraces parcourent les courbes généreuses de mon corps, et se perdent dans l'ombre mystérieuse de mon vagin.

Votre  regard sur moi  fait partie de la chaleur qui éveille  mes sens 

Il me cloue au sol et j’en accepte le joug. Je  me laisse glisser dans le bien-être alors qu'une chaleur plus intense, plus insidieuse, émerge au fond de mon corps et fait soudain battre mon cœur d'impatience. Mes cuisses, s'écartent davantage.

Je m'offre à votre regard  Sans retenue. Sans aucune pudeur. Consentante. Disponible.

Votre regard aussi présent qu’une caresse s'arrête un instant sur l'arrondi de mes seins, descend plus bas et se perd dans les méandres du val qui constitue  mon sexe luisant avant de poursuivre le long de mes jambes

 

Vous êtes  là tout près, vous vous penchez sur moi et votre langue qui semble avoir élu domicile sur mon téton qui durcit, faît naître un premier frémissement de plaisir.

Toutes mes sensations semblent s'être concentrées sur mon sein dont vous mordillez doucement et aspirez, avide et gourmand, entre vos lèvres resserrées le mamelon maintenant fièrement érigé.  Caresse si douce qu'elle en devient insupportable. Je  retiens mon souffle. Attentive aux sensations que fait naître votre bouche si tendre qui s’attarde.

Le corps tendu d'attente exacerbée. Puis, vous posez votre main en corolle sur mon  sexe

Douce progression  de vos doigts  qui écarte mes lèvres humides.

Vous vous immiscez plus avant dans la tiédeur moite de mon vagin ouvert.  Faites aller et venir entre mes lèvres vos doigts mouillés par le breuvage qui s’en écoule

 

 Contre ma hanche douce, je sens, émue, votre sexe dur et tendu qui s'écrase.

J’ai envie de le toucher. Le prendre entre mes doigts.  Mais je me retiens  Ne pas aller trop vite. Profiter de cette caresse de douceur qui m'embrase. Laisser grandir le désir. Le Vôtre.

 Je  relève légèrement mon bassin afin de vous faciliter le passage, acceptant sans réticence cette intrusion qui m'électrise. J’esquisse un léger gémissement lorsque je sens vos doigts s'aventurer plus loin

Votre bouche quitte mon sein. Descend le long de mon ventre, vos lèvres s'aventurent plus bas vers cet endroit que fouillent toujours vos doigts. Votre bouche se pose enfin sur mon sexe mouillé. Votre langue enveloppe mon clitoris frétillant. Vous l'aspirez, l'agacez du bout des dents. Vous l'introduisez au fond de mon vagin détrempé de désir.

 Je n'y tiens plus. Mon corps se cambre, se cabre. Vous me retenez, vos mains posées sur mes hanches. Le désir est trop grand. Si grand qu'il en devient douloureux. La jouissance si proche. Vous sentez les frémissements incontrôlés, incontrôlables qui parcourent mon corps écartelé. Vous enfoncez votre langue plus profondément. Je voudrais que ce supplice dure toujours.   Impuissante à retenir la jouissance qui jaillit tel un torrent d'écume.

 

Je prends dans le creux de ma main votre verge referme mes doigts, sur la tige dure et souple tout à la fois la caresse, la lèche, la suce.

Je me redresse et porte à ma bouche ce sexe tant désiré

L’effleurement léger et fugace de ma langue vous fait frémir. Je souris  de plaisir.

Je continue, plus assurée, plus gourmande. A mon tour de vous faire capituler et vous tendre sous la caresse de ma langue experte. A mon tour de vous entendre gémir.

 Ma bouche, lèvres bien serrées, monte et descend dans un mouvement de plus en plus rapide, de plus en plus profond, mon mouvement devient ample, régulier.

Au firmament du plaisir de vous sentir grossir, envahir ma bouche.

 

D'un mouvement presque brutal vous vous dégagez me faisant gémir de frustration et de dépit, me couchez sur le dos, écartez autoritaire mes cuisses et plongez en moi comme au plus profond.

 Nos corps se tendent emportés à l'unisson dans une même jouissance, dans un cri de bonheur et d’exaltation

 

Par maâyana - Publié dans : devoirs de vacances
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Mardi 18 août 2 18 /08 /Août 14:05

La maîtresse de maison, m’installe au milieu de la pièce face au public

Vous êtes assis avec son mari, un verre à la main, spectateurs privilégiés d’une représentation très privée

 

Votre regard me rassure et me confirme votre fierté à me voir ainsi, offerte au bon vouloir de cette femme, et c’est la dernière chose que je verrai pendant un long moment et qui m'accompagnera.

 

Le fameux « safe word » a été choisi, cela m’a fait tout drôle, car avec vous je n’en jamais eu besoin.  Mais toujours soucieux de ma sécurité, vous m’avez demandé d’en choisir un !!!

 

Elle passe autour de mes yeux un masque de cuir noir, et le noir complet se fait.

Une peur fugace m’envahit, qu’elle dissipe rapidement  par des mots et des phrases douces et sereines

 

Doucement, lentement, pour le plaisir des deux paires d’yeux qui je me doute ne se détachent pas de moi, elle me déshabille.

 

Et me voilà pratiquement nue, il ne me reste que mes escarpins, mes bas et mon porte-jarretelles

 

Je me sens fière et belle, avec ma peur si peu apprivoisée c’est très excitant !!

 

Je me retrouve attachée à la poutre de bois du plafond. Les bras étirés haut au-dessus de ma tête. Les poignets étroitement liés par d'épaisses sangles. Il a été également fixé à mes chevilles une barre en bois qui m'oblige à garder mes jambes largement ouvertes. 

 

Vous vous avancez vers moi je  tressaille à votre  approche, je sais que c’est vous.  Une vague me parcourt de la tête au pied. Vous me caressez tendrement, avec une infinie douceur, pour calmer mes dernières angoisses

 

Puis un claquement sur mes fesses me fait me raidir, être fessée par quelqu’un d’autre que vous, est nouveau pour moi, mais plaisant, car cette fessée est légère, même si au fur et à mesure la puissance augmente.

 

En même temps, mes épaules sont envahies par une douce chaleur, la cire coule abondamment le long de mon dos et mon corps ondule, que cette sensation est douce, rassurante, envoûtante, excitante

 

Vous passez une main sur mon sexe, pour vérifier tout le plaisir que cela me procure, et je suis très humide

 

Vous êtes très heureux de me voir prendre un tel plaisir alors que vous n’en êtes pas l’auteur, juste le maître d’œuvre, le chef d’orchestre

 

Elle me demande, si tout va bien que vous lui avez demandé de démarrer soft

Je ris et dans le creux de son oreille je lui dis : « pour être soft, c’est soft »

 

Et nous partons ensemble dans un grand éclat de rire

Elle a toutes les peines du monde à reprendre son sérieux et son rôle de domina

 

Elle me fait partager un verre avec elle, m’allume une cigarette, de façon à pouvoir continuer, de façon un peu plus sérieuse.

 

Mon dos à ce moment précis ressemble à un tableau abstrait, totalement recouvert par la cire, qu'il va falloir enlever .....
Car les bougies soigneusement disposées au dessus de moi, n'avaient arrêtées leurs écoulements doucereux.

 

Je reconnais le doux cinglement dans l’air de la cravache, les plaques de cire se détachent une à une, et plus ma peau se découvre, plus la cravache la mord.

 

Mon hôtesse se plait à alterner les coups de cravache, cire-peau, peau-cire.

 

Quel plaisir intense pour elle comme pour moi !!

 

Toute la cire est enlevée, et elle continue sans relâche sur mon dos.
Je sens celui-ci se marquer, rougir , la brûlure devient de plus en plus intense.
La douleur devient intolérable, je ne veux y céder et pourtant,

n’en pouvant plus, je prononce le fameux « safe word »

 

Elle s’arrête de suite, me rassure, me dit qu’elle est très fière, et me dit que vous etes vous aussi très fier et vous avez pris un immense plaisir à voir ce tableau

 

J’en suis très heureuse mais j’ai envie que l’on me détache, que l’on me laisse souffler un peu mais ce n’est pas à moi à demander et je n’en ferai rien.

 

Vous me détachez aux bout de quelques minutes interminables car mes bras me semblent lourds comme endormis, mes jambes ont de plus en plus de mal à me porter.
Vous me faites asseoir par terre au milieu de la pièce, j’ai gardé mes menottes aux poignets et aux chevilles.
Mon corps ainsi rélaché se détend, des larmes envahissent mes yeux, mais elles ne couleront pas le long de mes joues.
Car ses larmes ne sont que le résultat d'une tension évacuée , elles ne méritent aucun regard.
 

Je ne vois rien, mais je devine, les mouvements, les sourires, les plaisirs

 

Tout le monde apprécie, cette soirée, ce partage.

Le couple qui a fait faux bond à nos hôtes, leur manque, car étant la seule soumise, les jeux s’en trouvent limités.

Un seul corps pour trois doms, c’est peu, surtout qu’ils savent qu’il n’y aura que des jeux bdsm mais à aucun moment, il n’y aura de rapports de sexuels

Ni vous, ni moi ne sommes libertins, ni échangistes

 

La soirée se poursuit….

D’autres jeux , d’autres plaisirs

 

A suivre ……

 

 

Par maâyana - Publié dans : devoirs de vacances
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Lundi 17 août 1 17 /08 /Août 21:43

 J’avais pris contact sur votre demande, avec un couple de dominateurs qui désirait nous rencontrer

Vous aviez depuis quelques temps des envies de soirées à plusieurs 

Ce n’était pas du tout mes envies, mais j’acceptais pour vous faire plaisir et par curiosité n’ayant jamais vraiment eu ce genre d’expérience

J’envoyais donc un mail à ce couple qui me répondit de façon très agréable et conviviale

Après plusieurs échanges, je leur demandais de prendre contact avec vous afin de définir les modalités de la rencontre

Le rendez-vous fut pris pour un soir de la semaine suivante

Le Jour J était là, rendez-vous à 20h00 chez eux

 

Vous arrivez vers 15h00 chez moi, et vous choisissez ma tenue, classe et sexy

Une jupe noire portefeuille qui ne tient que par deux boutons, un chemisier blanc à rayures noires très décolleté fermé par des liens à la taille, une veste courte noire

Comme sous-vêtements un porte jarretelle noir et des bas couture

Des escarpins noirs, talons aiguilles  complètent la toilette de ce soir

 

Tout au long des jours précédents, nous avions longuement évoqué cette soirée où nous allions les rencontrer

Chaque jour qui passait, augmentait d'un cran ma  tension,  votre impatience. Nos échanges de mails avaient fait naître entre nous quatre une grande complicité qui, cela ne faisait nul doute dans mon esprit, ne pouvait que se concrétiser le jour venu.

Il vous avait  informé qu’un couple de soumis se joindrait à nous, de cela je ne fus informée qu’au dernier moment, cela ne m’enchantait guère, mais je n’allais pas faire marche arrière

Ils correspondaient très exactement au style de couple que nous recherchions pour agrémenter nos jeux: simples, directs, aimant les mêmes jeux que nous et les pratiquant dans le même esprit de plaisirs partagés sans tout ce tralala qui trop souvent vient polluer les relations maître-soumise et auquel je n'adhère pas.

Nous dînons à la maison, votre voix et vos mots me rassurent, car vous me sentez très tendue, puis nous prenons la route

Tout au long du trajet, je peux sentir la tension, presque palpable, que  vous ressentez, votre impatience d'arriver et de m'exhiber pour la première fois devant un autre homme. Votre  excitation augmente de manière inversement proportionnelle à la distance qui nous reste à parcourir.

Dans votre tête, vous repensez  malgré tout, cela ne fait nul doute, les différents épisodes qui doivent jalonner cette soirée  que vous avez  soigneusement planifié avec eux me laissant dans l'ignorance complète des détails. Pas question pour eux de nous décevoir ce qui aurait failli au rôle qu'ils ont à tenir.

 

 

Après une heure de route, nous arrivons à destination, notre hote nous fait entrer dans le salon

Celui-ci est assez vaste, sur deux des cotés de la pièce sont installés des tables basses et des fauteuils de style oriental, une cheminée ancienne occupe un autre mur

Des bougies de toutes formes et de toutes tailles éclairent la pièce

 

La maîtresse de maison fit son apparition quelques minutes plus tard

 

Nous engageons la conversation, autour d‘un verre, en attendant l’arrivée du couple de soumis

Cette conversation bon enfant, me détend, et je commence à me sentir très à l’aise et  totalement insouciante je devise tranquillement réfrénant la tension érotique qui me tenaille.

 

Les minutes s’écoulent et pas de nouvelles du couple, la maîtresse de maison décide que nos jeux doivent commencer.

Là je me sens un peu mal, trois dominateurs pour moi, seule, cela se complique

La défection de l’autre couple personne n’en est responsable, alors que la fête commence

 

Curieux de connaître la suite de la soirée

Retrouvons-nous demain !!

.

 

 

 

Par maâyana - Publié dans : devoirs de vacances
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Présentation

Qui suis je ?

 Je suis tout simplement une femme tantôt rêveuse, tantôt romantique avec son petit caractère d'enfant gaté, je suis quelqu'un d'un peu trop introverti en société qui a beaucoup plus de  facilité a s'exprimer par l'écriture même si je me soigne

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