Jeudi 13 août 4 13 /08 /Août 00:02

Me voilà donc attachée à cette croix, vous ne m’avez pas bandé les yeux, pour que je puisse admirer chacun de vos gestes

Je tressaille quand je sens une de vos mains se poser sur moi et caresser mes seins que ma position écartelée rend parfaitement disponibles et offerts.

 Caresses d'abord douces qui peu à peu prennent de l'assurance. Vos mains me malaxent maintenant franchement et prennent possession de moi. Elles se promènent sur mon corps, inspectant mes cuisses ouvertes, mon ventre.

Je me laisse faire, les yeux clos, mes mains fermement accrochées aux sangles de cuir, savourant la chaleur envahissant mon corps offert.

Vos doigts fermés en ciseaux commencent à triturer la pointe de mes seins durcie par le désir d'abord tendrement me faisant gémir de contentement puis de plus en plus durement, augmentant graduellement leurs pressions sur elles.

Une  douleur violente et fulgurante me transperce lorsque vous serrez de plus en plus fort incrustant l'anneau d'acier des piercings dans mes tétons.

J’ai énormément de difficulté à retenir une plainte de douleur.

Au fond de moi je sais  que si je commence déjà à gémir et me plaindre du traitement, vous stopperez et je ne veux vraiment pas cela.

Car, je désire plus que tout l'étreinte de ces doigts qui maintenant étirent sans ménagement mes tétons tout en continuant de les pincer. Mon souffle s'accélère sous la douleur brutale que je ressens et je me mords les lèvres pour ne pas crier. Un seul cri et tout s’arrêterait et je ne le veux pas.

 L'effet produit est trop fort, trop intense. Une  sensation horrible et douloureuse  irradie mes seins et se propage en moi comme un volcan impétueux et incontrôlable, descend le long de mon ventre pour finir en un bouquet de désir brûlant  au creux de mon sexe que se remplit d‘un nectar onctueux qui humecte  mes cuisses.

Par un inexplicable procédé  la douleur devient plaisir.

 Plus vous serrez et plus la sensation est forte.  Mon clitoris se crispe frénétiquement et chaque contraction  engendre une sensation de plaisir de plus en plus aiguë. Mon corps est en proie à un vif embrasement, mon esprit a perdu le nord, mes sens sont chauffés à blanc, mais je suis merveilleusement bien et heureuse.

 

Tout à mon plaisir sur cette croix, je n’ai pas vu que vous vous étiez saisi d’un martinet

 

Vous me détachez les chevilles et me faites me retourner, me voilà face à la croix, j’attends le premier coup avec impatience, car j’en ai très envie

 Très envie de sentir la morsure d'un fouet mordre ma chair et la marquer, me tordre instinctivement pour y échapper et pourtant l'accepter comme une réponse à mon désir immense. Le  claquement sec des lanières sur ma croupe offerte me submerge de bonheur

 

Les morsures s’enchaînent avec une force grandissante et sur un rythme effréné, mes fesses rougissent et se marquent de plus en plus, l’affolement et la peur sans raison prennent le dessus

 

Un cri de douleur strident transperce le donjon

Je vous demande d’arrêter, des larmes coulent sur mes joues

 

  Vous me détachez immédiatement, vous n’êtes pas homme à ne pas écouter, ni entendre

Sans force, mes jambes ne semblant plus vouloir me porter, je tombe dans vos bras, vous m’accompagnez jusqu’au canapé et je  Me blottis contre vous

 Je suis alors dans un nid chaud, doux et rassurant. Nous échangeons un long baiser.  Je me calme peu à peu, mon visage enfoui dans le creux de votre cou. Les battements de mon cœur s'apaisent lentement. Cet instant d'affolement s'éloigne et je m'en veux de ma réaction. Je me sens bien, vos bras autour de moi. En sécurité. Prête à continuer.

 

 

Et vous prêt à continuer avec la petite souris ?

 

 

Par maâyana - Publié dans : devoirs de vacances
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Mercredi 12 août 3 12 /08 /Août 00:02

Cela fait maintenant, trois jours que je n’ai pas de vos nouvelles

Ce silence m’oppresse, m’angoisse

Des dizaines de fois, j’ai eu envie de vous appeler, rien que pour entendre votre voix, combler le manque que vous avez créé

 

Dans ma tête je ressasse, ce que j’ai bien pu faire pour que vous restiez silencieux

 

Dans mon esprit passe et repasse cette phrase sibylline :

Tu vas découvrir un autre lieu

 

 Je suis à la fois intriguée et curieuse, mais je ne veux pas imaginer,

Car établir la liste des lieux dans lesquels un Maître peut vous amener, relève de l’utopie

Beaucoup d’endroits peuvent se prêter aux jeux

 

Votre nom s’affiche enfin sur mon téléphone,  ma respiration s’affole en décrochant, qu’allez-vous cette fois exiger de moi

 

Vous vous enquérez de moi, de ma vie, de mon état d’esprit, de mes ressentis

Il m’est agréable de constater que vous prenez soin de moi par vos mots

 

Passé le stade des banalités vous me dites :

Rendez-vous dans deux heures à Mareilles, quand tu arrives sur la place, tu te gares et tu m’appelles, je t’indiquerai où me rejoindre

 

Mareilles est un village comme tant  d’autres, fait de ruelles en pierre, de maisons de village anciennes sur lesquelles le soleil ne donne pas toujours, et qui permettent en été de retrouver fraîcheur et plénitude

Que pouvait il y avoir à la croisée de ces vieilles pierres ?

 

Excitée à l’idée de vous revoir et découvrir ce lieu, j’arrivai un bon quart d’heure en avance sur cette place.

 

J’attendis patiemment l’heure convenue, pour composer votre numéro.

 

Vous me guidâtes alors aux travers des ruelles et enfin je fus à vos cotés

Je me jetai à votre cou et tendrement vos bras se refermèrent sur moi, et nous échangeâmes un long et fougueux baiser

 

Sur votre ordre, je ferme les yeux, et me laisse guider par votre voix.

Je suis fermement accrochée à votre main, car ne sachant où je vais, je ne sais s’il y a des obstacles sur mon chemin, mais vous veillez à ma sécurité et m’indiquez chaque écueil qui se présente.

 

Quelques minutes, plus tard , nous sommes, enfin je le suppose devant une porte, un bruit de clef qui fait tourner un verrou me le confirme

 

J’entre toujours les yeux fermés, une autre porte s’ouvre, et la vous me permettez d’ouvrir les yeux

Je suis très étonnée par ce que je vois, une pièce minuscule, faisant office d’entrée, de cuisine et de salle d‘eau

 

Une autre porte se trouve devant moi, sur quoi débouche-t-elle ?

 

Je n’ai pas le temps d’y réfléchir

 

-         As tu apporté ce que je t’ai demandé ? Demandez-vous

-         Je téponds oui c'est dans mon sac.

-         Change toi et rejoins moi dans l’autre pièce

 

Le matin, lors de notre conversation je lui avais expliqué que j’avais fait les boutiques et que j’avais acheté un serre-taille.

 

Il se trouve dans mon sac, dans lequel j’ai également rangé une paire d’escarpins noirs à talons de 10cm

 

Je me déshabille pour enfiler le serre-taille en cuir noir maintenu par six baleines en fer

 

Avez-vous déjà essayé de serrer vous-même ce genre de vêtement?

Pas facile, croyez-moi, je trépigne, je m’énerve, j’ai peur que dans la pièce voisine vous ne commenciez à vous impatienter

 

Enfin prête, j’ouvre la porte, et je pénètre dans un donjon

 

A peine franchi le seuil de la pièce, je sens mon état d'esprit changer radicalement. Comme si j'avais remis toute ma volonté en lui, inutile de le préciser sinon je ne serais pas là.

Je n'ai plus vraiment peur mais au contraire je ressens en pénétrant dans la pièce une intense excitation. Et une non moins grande impatience. 

 

Il y a un canapé confortable de couleur rouge, tout le donjon est en rouge et noir, rideaux et murs noirs. De faibles spots éclairent la pièce, les miroirs aux murs lui donnent une plus grande profondeur. Sur le mur du fond, une croix de St André donne tout le charme médiéval à cette pièce. Et la musique d’Era renforce encore cette atmosphère

 

Planté devant la croix, vous me demandez avec un sourire ironique

 

- Comment préfères-tu être attachée,  de dos ou de face?

 

- De face, murmurai-je la gorge nouée d'émotion après un bref instant d'hésitation.

 

- Bien. Alors mets-toi en position que je t'attache.

 

Je m'adosse sans plus attendre contre la croix, le dos bien appuyé contre le bois poli.

Vous m'attachez d'abord les poignets avec de larges sangles de cuir puis me faites écarter largement les jambes m'obligeant à me cambrer pour garder l'équilibre, et entravez à leur tour mes chevilles.

 Des picotements délicieux d'impatience commencent à me parcourir.

J'aime ce moment où on me prépare. J'y prends un plaisir extraordinaire fait d'attente et d'inquiétude aussi.  Ambivalence de sensations qui se répondent et s'entrechoquent qui exacerbent la tension érotique.  Ma perception des choses change aussi. Tout devient à la fois d'une précision époustouflante et pourtant comme se déroulant dans une brume épaisse et cotonneuse.

 

Les liens qui m’entravent sont plus symboliques qu'autre chose. Ils sont suffisamment lâches pour que je puisse m'en libérer assez facilement.

Je trouve  que d'être attachée sans vraiment l’être ajoute une pincée  supplémentaire d'excitation car alors la contrainte émane   de moi et n'en est que plus forte. Je ne subis pas uniquement mais participe  à ma propre soumission en me contraignant à demeurer écartelée et offerte quoique je puisse ressentir.

 Troublante ambiguïté des contraires...

 

 

Vous voulez savoir ce qu’il va se passer dans ce donjon

La suite demain ….

 

Par maâyana - Publié dans : devoirs de vacances
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Mardi 11 août 2 11 /08 /Août 00:02

Mais ce n'est pas encore fini pour moi.

Vous me réservez ce soir une dernière épreuve.

Vous m’installez  contre la table. Cette table qui trône majestueusement au milieu de la pièce, et,  détournée ce soir de ses fonctions premières.

 Le buste appuyé contre le dessus de la table, celui-ci est froid et son contact  me fait  sursauter

 

De nouveau vous attachez dans mon dos mes poignets et vous passez entre mes chevilles une barre plate en fer qui m’empêche de refermer mes jambes m'immobilisant ainsi dans une  posture indécente, jambes écartées, fesses tendues vers vous.

Vous vous saisissez  d’un épais gode, et le faites lentement glisser le long de  mon dos, du haut des épaules  jusqu’au creux de mes reins.

Le contact sur ma peau de cet objet long rond et dur me fait frissonner et étonnamment je m'abandonne à cette caresse.

 

Vous empoignez mes cheveux et tirez ma tête en arrière, mon visage se relève et vous présentez à mes lèvres l’objet.

Instinctivement ma bouche s’ouvre et je  l'humecte de ma salive afin qu'il puisse aisément glisser en moi.

Puis je resserre mes dents dessus pour retarder le plus possible l’instant fatidique

Vous me dites alors  que vous allez l'introduire dans mon cul et  que vous allez me défoncer avec.

 

La peur se saisit immédiatement de moi, la largeur de ce gode dans ma bouche me tétanise à l’idée que celui-ci va forcer un passage si étroit

L’emploi de ces mots crus n’est pas anodin,  ces mots qui me fouettent par leur brutalité et leur vulgarité.

Leurs sonorités  quoique bestiales engendrent  aussi en moi une excitation profonde qui empourpre mes joues

 

Je suis humiliée autant par vos mots que par vos gestes.

Une partie de moi se révolte et l’autre en tire une jouissance profonde

Vous descendez très  lentement le gode, cela ressemble à un supplice, car vous vous arrêtez sur chaque partie de mon dos, cette descente qui parait interminable fait onduler de bonheur mon dos.

Vous atteignez enfin le lieu convoité et posez ce phallus contre mon anus 

 

 Un reflex instinctif me fait me contracter.

Vous m’ordonnez de me relâcher.

Car rien ne saurait vous empêcher d’ouvrir mon cul, et de l'emplir.

Vous appuyez lentement et je ressens en vous ce plaisir intense de prendre possession de cette entrée étroite qui se refuse et de l'ouvrir démesurément pour entendre mes soupirs craintifs.

J’ai très peur, et cela m’empêche de me détendre, vous le sentez

 

Vous me caressez et me parlez doucement mais fermement

Votre voix chaude me redonne confiance et je me laisse aller

 

Vous me confirmez par vos mots, que rien n’arrêtera votre détermination à vaincre et à écarteler mon entrée la plus  intime.

Vous recommencez à l’enfoncer,  je crie, j’ai l’impression d'avoir le cul en feu et qu’il se déchire, mais un même temps le plaisir s’insinue  au fond de moi.
 

A votre Jouissance de voir le gode  disparaître peu à peu dans ce canal qui se dilate sous la poussée irrésistible, se mêle la mienne exacerbée par ces sensations nouvelles terriblement étourdissantes

Je me raidis  sous l’ingérence, je voudrais bouger mais mon corps bloqué sur la table m’en empêche.

Je ne sais si j’aime ou déteste cet entravement qui m’empêche de m’exprimer pleinement

 Vous vous arrêtez pour me laisser m'habituer à cette douleur, puis reprenez

Mes plaintes ralentissent vos gestes, mais la progression continue

Le plaisir fait fondre mes résistances une à une

 Après une longue l’alternance de pauses et reprises  le gode est maintenant entièrement  en moi.

Seule dépasse son extrémité évasée, de mon cul maintenant béant


Vous êtes satisfait de votre victoire !!!

 

Vous m’avez donné un plaisir et une jouissance inconnus   jusqu’alors

 

Puis nos esprits retrouvent nos sens, vous faites le chemin arrière

 

Lentement, vous enlevez le gode, puis me détachez ,et me relevez


Vous me prenez dans vos bras, et vous me dites : File et attend mon prochain appel !
La prochaine fois  je te ferai découvrir un autre lieu ….. 

 

Je me rhabille, je sors , j’aurais voulu vous dire : Gardez-moi encore  auprès de vous, pour un moment,  mais je savais que cela serait inutile

 

Je rentre chez moi, pleine de sensations et  je ne vais plus penser qu’à votre prochain appel 
 

Quel lieu va-t-elle découvrir la Souris?
Vous le saurez dans la suite de son éducation
 

Par maâyana - Publié dans : devoirs de vacances
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Lundi 10 août 1 10 /08 /Août 00:02

 

 Mon éducation démarra de la sorte :

 

Par une belle après midi ensoleillée, je reçus l’appel suivant de mon maître

 

Rendez-vous chez moi ce soir, 20h00 précises

Pas une minute de retard  ne te seras accordée

Tu seras nue sous tes vêtements, disponible et offerte aux moindres de mes désirs.

 

Un Savant cocktail fait d’envie, de peur et de panique m’envahit

 

Là, le son de sa voix résonne encore dans mes oreilles, je le sens derrière moi à chaque seconde, ses mots me guident

Mais j’allais arriver dans l’inconnu, qu’allait-il faire de moi ?

Et puis arriver nue sous mes vêtements c’est simple

Mais si ces vêtements ne lui plaisaient  pas

Interrogation stupide d’une midinette devant sa glace !!!

 

 

Me voilà, prête, un dernier regard dans le miroir pour me rassurer

Je franchis la porte de chez moi, vêtue d’une jupe et d’un chemisier, j’ai enfilé un grand manteau pour que personne ne puisse m’imaginer ainsi exhibée

 

J’arrive enfin devant chez vous

Je mets du temps à sortir de ma voiture, mais l’heure tourne

Et rien que l’idée d’être en retard me fait bondir et me précipiter devant votre porte

 

Je sonne, les notes du carillon se mettent à tinter, puis la porte s’ouvre

 

Vous me faites pénétrer dans l’entrée spacieuse meublée d’une commode baroque

Mes yeux s’arrêtent sur chaque détail pour oublier ma peur

Puis le salon  celui-ci est éclairé de quelques lampes aux lumières tamisées

Au milieu de la pièce une table en cerusé blanc sur laquelle est posée deux  chandeliers, autour de la table quatre chaises

 

Vous m’ordonnez de me déshabiller en vous  tournant le dos

Je suis un peu effrayée, je n‘ai pas froid mais je tremble

 

En mettant vos mains sur mes épaules vous me dites : Tu vas être ma chienne

En joignant l’acte à la parole vous passez autour de mon cou un collier de soumise en cuir avec un anneau…

Puis vous fixez une laisse à cet anneau, vous tirez vers le bas, m'obligeant à me mettre à quatre pattes et me voilà en train de marcher comme une chienne

 

Un mouvement d’effroi me parcoure le corps, je n’aime vraiment pas cela, mais je n’ai plus le choix, j’ai envie de me redresser de dire Stop, mais je n’en fais rien !!

 

Vous vous installez à la table et m’intimez l’ordre de me  coucher à vos pieds

Je m’exécute sans un mot

Vous me  caressez la tête, et par ce simple geste je sais que vous êtes satisfait

Vous me laissez ainsi à vos pieds pendant un moment qui me semble interminable, tellement le silence et l’humiliation de la position me perturbent

 

Vous me mettez à genoux et me demandez de m’occuper de vous

Ce soir vous avez de grandes envies je sens bien que seul votre plaisir va compter

Je suis soumise pour vous servir, mon plaisir va venir de Celui que je vais vous donner

 

Je défais  votre  ceinture et ouvre votre pantalon, avec mes mains je sors votre sexe qui commence à durcir et à se tendre.

 

La vue de ce membre qui prend forme aux contacts de mes mains fait circuler un tressaillement de plaisir et d‘envie le long de ma colonne…

Mes mains longues et douces commencent  à  le caresser lentement et doucement de bas en haut. Une de mes mains glisse en dessous de vos testicules et les masse délicatement puis de façon un peu plus appuyée de façon à en ressentir et m’imprégner de chaque contour.

 

Je me sens chienne et soumise, j’aime cela !!!

Je baisse la tête et doucement, ma bouche s’ouvre pour prendre possession de votre gland.

 

Prendre possession, étrange mot pour une soumise, pourtant en étant chienne et excitée, je prends possession, oui !!

 

 Je le couvre et le recouvre de ma salive encore et encore, les sursauts de votre corps sont une invitation à poursuivre, je continue à vous branler tout doucement, pendant que ma bouche fait des va-et-vient sur votre queue

 

D’un seul coup votre prenez  ma tête entre vos mains et m’imposez votre rythme.
Je ne vous suce plus, vous me baisez  la bouche, vous enfonçant profondément dans ma gorge.

 

Vous et moi ressentons que vous allez bientôt jouir, vous sortez alors votre queue de ma bouche, et faites une pause.

Vous me gardez ainsi à vos pieds, quelques instants je ne bouge pas, j’attends docile et obéissante

 

Une fois votre contrôle retrouvé, vous tirez sur la laisse et me faites marcher à vos côtés, tête baissée

Vous m’amenez à proximité d’une barre en bois recouverte de cuir reliée par des chaînes descendant du plafond blanc immaculé. Cela ressemble à un manège de fête foraine, plus le manége tourne plus les chaises montent dans le ciel. Mais celui là est immobile et n’attend que moi

Vous me faites mettre à plat ventre sur cette sorte de balançoire, relevez mes bras,et les fixez à ces lianes faites de maillons métalliques

De chaque coté du mur un anneau se trouve fixé

Vous insérez dans chaque anneau une chaîne que vous attachez à mes chevilles, vous avez pris soin de parer ces dernières de menottes en cuir et des liens un peu trop courts partant de mes poignets vers le sommet des chaînes …

Ces diverses attaches donnent à mon corps une posture indécente,  fesses écartées, jambes tendues, impudique, une femelle offerte à son mâle

Je suis très excitée par cet état de confinement

Vos doigts suivent le contour des lèvres de mon sexe, il est trempé, puis remontent sur mon anus ouvert comme une bouche

 

J’ai envie que vous me preniez et me baisiez comme une salope, une pute par tous mes orifices.

Mais vous n’en ferez rien, vous avez d‘autres envies en tête

 

Soudain le contact doux et froid d’une lanière puis de plusieurs me sort de ma torpeur

Quelle est donc cette sensation nouvelle et étrange qui embrase mon corps ? Oui embrasement, car ce claquement ne m’a pas fait mal, il m’a surprise

Les langues de cuir qui se posent sur mes fesses pour y laisser des marques rouges se font chaleur, douleur et plaisir

Vous continuez, et tel un chef d’orchestre, vous faites résonner comme un sifflement les lanières dans l’air, prémices  de tendres et violentes douleurs attisant le plaisir de mon corps

Je pleure de plaisir, de douleur, d’envie et de désir, tout à la fois…et tout à coup…le calme et le silence

 

Je vous ressens derrière moi, admirant les marques que vous avez laissées

 

 Puis la chaleur de votre  langue qui vient lécher mes marques, adoucir la morsure du cuir, langue qui donne du plaisir aussi, elle s’insinue dans la raie séparant mes fesses, jusqu’à effleurer mon anus, elle le caresse, s’y introduit doucement suffisamment pour que je pousse ma croupe en arrière

J’aime ce contact……

 

Vous aimez  ? On poursuit l’éducation de la souris ?

 

 

 

 

Par maâyana - Publié dans : devoirs de vacances
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Dimanche 9 août 7 09 /08 /Août 00:01

 

Je sens dans votre attitude, que la domination va se faire plus forte, plus dure

 

Je suis allongée sur le canapé seulement vêtue de mon bandeau,

Mes jambes et mes bras sont écartés et attachés  aux pieds  en bois  sculpté du sofa… Immobilisée, offerte, impudique… soumise à vos désirs …

Que va t-il se passer, je ne sais pas, j’essaie d’interpréter vos mouvements, mais je n’y arrive pas

 

Vous passez autour de mon cou un collier de soumise, en cuir noir avec un anneau au milieu.
Vous me caressez  le visage  tout en me parlant doucement

"Ma soumise va apprendre et découvrir des plaisirs qu’elle  ne connaît pas ?

J’acquiesce d’un « oui » timide pourtant rempli de fierté.
 

 Oui, j’ai envie de connaître, une folle envie de découvrir mais encore plus un besoin irrésistible de vous faire plaisir

 

Vos lèvres se posent sur mon sein que vous croquez délicatement mais fermement.
Sur mon téton qui durcit, vous refermez vos dents dessus tel un étau et l’étirez de plus en plus.

 La douleur commence à naître et à croître de plus en plus rapidement, et s’y adjoint immédiatement une sensation très agréable.

 

Je ne sais qu’en penser, mais vous ne me laissez pas le temps d’y songer

Vous substituez à votre bouche douce et chaude, un objet métallique et froid, c’est une pince qui vient de se refermer sur mon téton

Je pousse un cri de douleur, mais avant que la douleur ne s’apaise, vous faites subir le même traitement à mon deuxième téton, mais sans préambule.

Mes deux seins se retrouvent dans une prison métallique faite de pinces

Une chaînette relie les deux pinces, au milieu de celle-ci est insérée une chaîne terminée par un petit mousqueton que vous attachez à l’anneau de mon collier

Ce qui a pour insidieuse conséquence, que ce n’est plus vous qui provoquez la douleur mais le moindre de mes mouvements

Quelle que soit la position que j’essaie de prendre, mes seins sont tirés vers le haut, m’extirpant un cri de douleur.

Je sens mon corps et mon visage se raidir et se figer.

Cette souffrance nouvelle me fait peur, peur de ne pouvoir la supporter, peur de vouloir fuir !!!

 

Vous vous en rendez compte, et me rassurez par ces mots

"N’aie pas peur, cette douleur est très supportable surtout grâce au plaisir qu’elle va engendrer. Tu vas aimer, tu vas me prouver que tu le fais pour moi, pour mon plaisir, tu seras fière de le faire."

 

Vous vous installez alors  à 4 pattes au-dessus de mon corps et votre langue s’amuse avec ma bouche, j’ai envie de vous embrasser, mais vous ne m’en laissez pas l’occasion.

Quelle frustration de ne pouvoir sentir votre langue s’enfonçer dans la mienne !!!

Votre bouche descend vers mes seins, pour en agacer  les pointes captives de leur geôlier de fer, ce qui provoque un gonflement encore plus fort.

Le plaisir provoqué me fait  basculer en arrière, et une douleur foudroyante vient me parcourir le corps.

 

Cette alternance de douleur et de plaisir m’excite avec force et l’envie d’aller encore plus loin fait naître en moi une rafale de spasmes comparable à un orgasme

 Vos mains caressent mon corps puis reviennent s’attarder sur mes  seins que vous serrez très fort,

 

 Votre bouche s’arrête au niveau de mon sexe qui tressaille comme une feuille ballottée par le vent…

Je soupire et gémis  de plus en plus… Mes jambes écartées au maximum et entravées ne peuvent se refermer malgré les décharges de plaisir qui inondent mon bas ventre.

 

Dans cette position totalement indécente, vous avez un panorama complet de mon intimité

 

Etant totalement épilée, votre langue ne trouve aucune barrière et vous commencez à lécher le bord de mes lèvres

Je  m’ouvre tout doucement… révélant une humidité naissante, laissant échapper mon odeur de femme et  femelle

Votre langue se fait de plus en précise,  mes hanches ondulent frénétiquement et se plaquent sur votre  bouche

Ce mouvement m’arrache  un cri, prise dans la tourmente du plaisir, j’en avais oublié les pinces

Etrangement, des miaulements de plaisir se substituent à ce cri.

 

Mon clitoris  excité et sollicité, pointe comme un appel de délivrance de ce plaisir contrasté de douleur, car chaque mouvement soumet mes seins à une douleur fulgurante.

Vous le prenez entre  vos dents, pour le mordre, le tirer, l’exciter encore plus

La douleur revient alors toujours associée au plaisir

 

Je sens que je ne vais pas tarder à jouir

 

Vous écartez alors mes lèvres et l’intérieur de mon sexe s’offre  à votre regard

Tel un petit ru, le résultat de ma jouissance commence à s’en échapper,  vous vous empressez de le lécher…

Les oscillements de mon bassin deviennent plus forts, incontrôlés

Votre langue s’enfonce plus profondément dans mon sexe offert.

 

N’étant plus qu’à mon seul plaisir, totalement abandonnée et offerte

 Je vous crie, d’enfoncer votre tête plus loin comme un immense sexe… je veux me sentir remplie, écartelée, éclatée…

je me mets à hurler sans même m’en rendre compte, sans vraiment entendre, toute à mon désir que je suis

…"Oui… n’arrête pas… oui c’est bon, trop bon… entre plus loin plus fort. Lèche-moi, mords-moi… mange-moi… je coule… baise-moi avec ta langue.."

 

L'orgasme me fait  basculer en arrière, et la chaine qui étire mes seins devrait me faire hurler mais la jouissance a eu raison de la douleur

 

Vous installez un coussin sous mes fesses, pour profiter de mon anus

ma jouissance coule  et vient mouiller  mon  petit trou excité par ce liquide

 Votre langue  s’enfonce dans ce nouvel objet de plaisir.

Vous jouez avec l’un et l’autre de mes orifices…

votre pouce dans mon sexe et votre  index dans mon anus qui n’attendait que cela

 

 

Je crie, je jouis, je pleure, tout se mélange en  moi mais que c’est bon !!!

 

Vous enlevez mon bandeau et je vois dans votre regard, un doux mélange de fierté et de plaisir

 

Vous me détachez avec douceur et enlevez les pinces, une douleur atroce m’envahit alors mais vous la calmez très vite, par des gestes doux et précis

 

Vous êtes  fier de moi… moi aussi…

 

 Mais j’ai encore beaucoup à découvrir, votre corps, votre sexe, vos délires.

 

La rencontre est terminée, l’éducation commence !!!!

 

Prochaine étape dans le chemin qu’a choisi de prendre la petite souris

 

Par maâyana - Publié dans : devoirs de vacances
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Samedi 8 août 6 08 /08 /Août 00:02

Vous libérez mes poignets et passez doucement la main entre mes cuisses, effleurant mon pubis trempé.

 

Vous la pressez plus fort sur mon sexe … ma main rejoint la votre  pour exercer une pression plus forte sur mon sexe une chaleur bienfaisante m’irradie.

Involontairement, mes hanches ondulent d'avant en arrière et j’appuie mes fesses contre votre sexe pour mieux vous sentir

 

D’un geste  fort et précis vous me mettez à genoux, je suis assise sur mes pieds  position tellement impudique et provocante que ma pudeur ainsi malmenée, me fait rougir…
 

Vous prenez une des coupes de champagne, c’est le tintement du cristal qui me le fait deviner, car j’ai toujours les yeux bandés  et vous en versez quelques gouttes entre mes omoplates….

Je sens  ce breuvage descendre lentement le long de mon dos et aboutir dans le sillon qui sépare ma croupe

Cette divine sensation déclenche en moi un sursaut de plaisir

 

 

Vos mains commencent à prendre possession de mon dos,  je  vibre  encore plus,

 Vos mains s’attardent sur mon fessier, puis remontent lentement vers mes seins en passant par mon ventre

Vous attrapez durement mes seins pour me redresser contre votre torse

 

Je n’en peux plus, je gémis, j‘ondule, je me plaque contre vous

 

Je passe mes mains dans mon dos, et attrape votre sexe au travers de votre pantalon

 

Etonnamment ; vous ne dites rien, et me poussez même à aller plus loin dans ma démarche

 

J’ouvre alors votre pantalon pour libérer votre sexe, objet de désir et je commence à vous caresser, de l’autre main je  me  caresse le clitoris …..et après quelques minutes un deuxième orgasme monte et je jouis

 

Cette fois ci, vous me laissez faire, cette autorisation me permet de m’abandonner plus encore…..

 

Je suis à Vous ce soir…

 

Et vous n’en n’avez pas encore fini avec moi.......

 

Envie de la suite ?

 

 

Par maâyana - Publié dans : devoirs de vacances
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Présentation

Qui suis je ?

 Je suis tout simplement une femme tantôt rêveuse, tantôt romantique avec son petit caractère d'enfant gaté, je suis quelqu'un d'un peu trop introverti en société qui a beaucoup plus de  facilité a s'exprimer par l'écriture même si je me soigne

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