Mes mains sur ce corps nu

Se posent sans réserve 

Tu réagis dejà

aux souffles de mes caresses

Sous mes étreintes folles 

Tous ses sens s'éveillent 

Tu mes pousses à aller plus loin

Sur la route de nos plaisirs 

Et ma folle indécence te surprend

Et ma bouche gourmande

S'attarde sur ton sexe

Je m'en délecte enfin

Et j'en prends possession

Et ton regard s'affole

Tes va et vient progressent

Et nous ne faisons plus qu'un

Mais nous ne nous sommes pas encore

Au bout de toutes nos découvertes

Et c'est très bien

S'apprivoiser l'un l'autre 

Cela fait partie du jeu

On se regarde, on se cherche

Parfois on triche un peu

Mais nous nous rejoignons

Dans un plaisir sans nom

Comme une vague déferlante

qui nous emporte au loin

Qaund nos deux corps vaincus

par la jouissance extrême

Se détachent l'un de l'autre

malgré toutes nos envies

Que dans ta fortresse 

Tu te retranches soudain

M'interdisant l'accès 

De tes ressentis les plus profonds 

je me sens abandonnée

Un petit animal mi-félin , mi-canin se réveilla par un beau matin ensoleillé avec une étrange sensation.

Il se sentait libre, sans contraintes, sans règles, sans obligations et il n’aimait pas du tout, il se sentait perdu.

Pourtant cette liberté pourrait lui donner des ailes, pour aller vers d’autres horizons, faire d’autres découvertes.

La liberté, c’est aussi quelque part la solitude, car c’est le  prix à payer  quand c’est le moteur d’une vie.

Mais ce petit animal peureux et fragile ,il n’en à que faire de la liberté, car ce qui compte le plus pour lui c’est d’être sous le joug de l’autre totalement pleinement.

Alors que doit-il faire ? se demande t’il songeur  et perplexe.

Comment faire comprendre ce besoin , ce manque ?

Les paradoxes qui parsèment son chemin de vie risquent de l’entraîner vers des extrémités de tous genres

De quoi est-il capable en fait ?

De tout, de rien

Dupire, du Meilleur

Et de défis en challenge, où se terminera sa course

Dans un mur certainement

Mais à l’heure actuelle, personne n’a la réponse

Les  mots  s’enlaçaient et s’entrelaçaient en silence,
 Des phrases se construisaient  sans résonance
La feuille restait blanche, plus aucune quintessence.
J'ai donné tout ce que j'avais, guidée par la confiance.

Colère qui s’installait au fond de ma conscience.
J’avais honoré la confiance  par un prix d’excellence.
Mais telle une coque de noix brisée sur la grève
Ma vie en mille morceaux n’avait plus de rêve.

Mais les larmes de pluie ne frappent plus mon cœur, aucune défaillance.
De mes cendres je renais en  toute confiance,
Se livrer entière, ne pas douter, à présent je suis prête
Le temps dégage l'horizon sur un air de fête

Une aurore boréale envahit ma vie, tendre insouciance.
Je retrouve la magie de l’adolescence.
Et à redonner sans réfléchir ma confiance
Pour une plus grande appartenance.