La maîtresse de maison, m’installe au milieu de la pièce face au public
Vous êtes assis avec son mari, un verre à la main, spectateurs privilégiés d’une représentation très privée
Votre regard me rassure et me confirme votre fierté à me voir ainsi, offerte au bon vouloir de cette femme, et c’est la dernière chose que je verrai pendant un long moment et qui m'accompagnera.
Le fameux « safe word » a été choisi, cela m’a fait tout drôle, car avec vous je n’en jamais eu besoin. Mais toujours soucieux de ma sécurité, vous m’avez demandé d’en choisir un !!!
Elle passe autour de mes yeux un masque de cuir noir, et le noir complet se fait.
Une peur fugace m’envahit, qu’elle dissipe rapidement par des mots et des phrases douces et sereines
Doucement, lentement, pour le plaisir des deux paires d’yeux qui je me doute ne se détachent pas de moi, elle me déshabille.
Et me voilà pratiquement nue, il ne me reste que mes escarpins, mes bas et mon porte-jarretelles
Je me sens fière et belle, avec ma peur si peu apprivoisée c’est très excitant !!
Je me retrouve attachée à la poutre de bois du plafond. Les bras étirés haut au-dessus de ma tête. Les poignets étroitement liés par d'épaisses sangles. Il a été également fixé à mes chevilles une barre en bois qui m'oblige à garder mes jambes largement ouvertes.
Vous vous avancez vers moi je tressaille à votre approche, je sais que c’est vous. Une vague me parcourt de la tête au pied. Vous me caressez tendrement, avec une infinie douceur, pour calmer mes dernières angoisses
Puis un claquement sur mes fesses me fait me raidir, être fessée par quelqu’un d’autre que vous, est nouveau pour moi, mais plaisant, car cette fessée est légère, même si au fur et à mesure la puissance augmente.
En même temps, mes épaules sont envahies par une douce chaleur, la cire coule abondamment le long de mon dos et mon corps ondule, que cette sensation est douce, rassurante, envoûtante, excitante
Vous passez une main sur mon sexe, pour vérifier tout le plaisir que cela me procure, et je suis très humide
Vous êtes très heureux de me voir prendre un tel plaisir alors que vous n’en êtes pas l’auteur, juste le maître d’œuvre, le chef d’orchestre
Elle me demande, si tout va bien que vous lui avez demandé de démarrer soft
Je ris et dans le creux de son oreille je lui dis : « pour être soft, c’est soft »
Et nous partons ensemble dans un grand éclat de rire
Elle a toutes les peines du monde à reprendre son sérieux et son rôle de domina
Elle me fait partager un verre avec elle, m’allume une cigarette, de façon à pouvoir continuer, de façon un peu plus sérieuse.
Mon dos à ce moment précis ressemble à un tableau abstrait, totalement recouvert par la cire, qu'il va falloir enlever .....
Car les bougies soigneusement disposées au dessus de moi, n'avaient arrêtées leurs écoulements doucereux.
Je reconnais le doux cinglement dans l’air de la cravache, les plaques de cire se détachent une à une, et plus ma peau se découvre, plus la cravache la mord.
Mon hôtesse se plait à alterner les coups de cravache, cire-peau, peau-cire.
Quel plaisir intense pour elle comme pour moi !!
Toute la cire est enlevée, et elle continue sans relâche sur mon dos.
Je sens celui-ci se marquer, rougir , la brûlure devient de plus en plus intense.
La douleur devient intolérable, je ne veux y céder et pourtant,
n’en pouvant plus, je prononce le fameux « safe word »
Elle s’arrête de suite, me rassure, me dit qu’elle est très fière, et me dit que vous etes vous aussi très fier et vous avez pris un immense plaisir à voir ce tableau
J’en suis très heureuse mais j’ai envie que l’on me détache, que l’on me laisse souffler un peu mais ce n’est pas à moi à demander et je n’en ferai rien.
Vous me détachez aux bout de quelques minutes interminables car mes bras me semblent lourds comme endormis, mes jambes ont de plus en plus de mal à me porter.
Vous me faites asseoir par terre au milieu de la pièce, j’ai gardé mes menottes aux poignets et aux chevilles.
Mon corps ainsi rélaché se détend, des larmes envahissent mes yeux, mais elles ne couleront pas le long de mes joues.
Car ses larmes ne sont que le résultat d'une tension évacuée , elles ne méritent aucun regard.
Je ne vois rien, mais je devine, les mouvements, les sourires, les plaisirs
Tout le monde apprécie, cette soirée, ce partage.
Le couple qui a fait faux bond à nos hôtes, leur manque, car étant la seule soumise, les jeux s’en trouvent limités.
Un seul corps pour trois doms, c’est peu, surtout qu’ils savent qu’il n’y aura que des jeux bdsm mais à aucun moment, il n’y aura de rapports de sexuels
Ni vous, ni moi ne sommes libertins, ni échangistes
La soirée se poursuit….
D’autres jeux , d’autres plaisirs
A suivre ……
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