Samedi 5 septembre 6 05 /09 /Sep 11:04

Les hommes sont sincères mais changent souvent de sincérité (Tristan Bernard)

 

Mais que cet homme a raison !!!!

 

Oui, vous êtes sincères sur l’instant, le moment, mais après il n’y a plus rien.

 

Vous nous faites rêver, nous emportez dans votre déferlante

Puis nous nous retrouvons seules, échouées sur le sable

 

Nous avions plongé le temps dans un instant dans vos envies

Qui se conjuguaient avec les nôtres, pour des désirs inavoués

 

Mais cette embellie ne dure qu’un temps, parfois pas plus qu’un feu de paille

Et la réalité nous rattrape et nous nous retrouvons face à nous –mêmes

 

 

Nous Nous mettons à nu, livrons tout de nous

Acceptons vos leçons de morales, vos piques cinglantes et blessantes

Prenons pour argent comptant, un simple espoir

Mais au moment précis, où c’est à vous de répondre

Vous fuyez, ne répondez pas, vous êtes aux abonnés absents

 

Alors avant d’être des moralisateurs, des donneurs de leçons

Apprenez à être courageux,

 

A être des hommes !!!!!

Et dire la Vérité, ce n'est pas changer de mensonge.... 

 

Par maâyana - Publié dans : pensées
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Vendredi 28 août 5 28 /08 /Août 11:38


Quand les secondes de la nuit s’égrainent tel un supplice chinois

 Mes pensées font surface comme une litanie sans fin

Je dépasse mon monde d’onirisme et de chimères

Alors il ne reste rien, vraiment plus rien

Même les espoirs ténus se transforment en poussière

Seul le silence subsiste pour s’allier à l’attente incendiaire

Il n’y a plus qu’un miroir aux alouettes

Miroir sans tain, qui ne reflète pas les larmes

 

Une seule envie, une seule force reste intacte, inaliénable

Me relever chaque fois que je m’enfonce

Ne jamais capituler, franchir les obstacles

Oser, espérer, oublier les questions sans réponses

Couper les liens qui m’immobilisent et me retiennent

Pour un nouveau matin clair, calme et serein

Par maâyana - Publié dans : moi
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Jeudi 27 août 4 27 /08 /Août 08:00


  

Les femmes c'est plus beau que les étés

Sous les plages ensoleillés

Pourquoi ne pas l'avouer

C'est plus beau que les hivers

Quand la neige blanchit la terre

 

Les femmes c'est les couleurs de l'automne

Quand les papillons s'envolent

À l'heure ou l'amour se donne

C'est le parfum du printemps

Quand renaissent les sentiments

 

Les femmes c'est la fureur des lionnes

Sur la trahison d'un homme

Et si un jour elles pardonnent

C'est le retour des cigognes

Quand elles arrêtent leur vol

 

Les femmes c'est la tendresse des louves

Le jour ou elles se découvrent

Mais quand elles feront la guerre

C'est la violence des panthères

La force de la lumière

 

 

Les femmes c'est plus beau que la musique

C'est comme un piano magique

Qui s'inventerait des gammes

Sur les notes bleu de larmes

Qui coulent sur les joues des femmes

 

Les femmes c'est le plus beau des pays

Un soleil d'Andalousie

C'est une terre africaine

Sous les vents qui se déchaînent

C'est la douceur italienne

 

 

Les femmes c'est la plus belle des couleurs

C'est le rouge quand elles ont peur

C'est le blanc quand elles se donnent

Le rose quand elles nous pardonnent

De n'être seulement que des hommes

 

 Texte M.Pelchat

 

Par maâyana - Publié dans : pensées
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Mercredi 26 août 3 26 /08 /Août 15:25

La petite souris a cru en son Chat , elle s’est mise à nue

C'est la fin de l'été sur les plages 

C’est la fin de la saga sur ces pages

 En guise de conclusion , ce poeme servira d’épilogue

 

 

Je t’ai guetté trop souvent sans te voir apparaître
Parcouru des sentiers déserts, dépourvus d’êtres
Volé  à mille corps des baisers éthérés
Flirté avec des soleils qui m’ont souvent consumée

Les maitres de la destinée
De leurs feux nous ont éclairé
Tu m’as tendu  ta main
Pour faire naître un demain


Trop souvent j’y ai cru et me suis égarée
Me trompant d’histoire dans leurs reflets
Je me suis aveuglée à trop te chercher
A trop vouloir t’approcher, mon âme s’est vidée

Le souffle de tes mots
La chaleur de ta peau
Dans un total renouveau
Ont libéré mes maux


J’ai parcouru cet interminable couloir sans lueur
J’ai hurlé sous le poids de la douleur du coeur
Espérant  te retrouver et effacer les heurts
En voulant croire à des lendemains rieurs

Sans secret et sans peur
Je me suis livrée sans pudeur
Tu n’as pas su lire en mon cœur
Je le sais aujourd'hui sans erreur


Le temps nous emprisonne dans nos certitudes
Et notre histoire avortée s’évanouit dans la brume
Devrais-je encore une fois tout recommencer
Ou dois-je encore y croire et à nouveau t’espérer

De mon âme triste et lourde
Remonte une complainte sourde
Ne pas faire de demain le présent
Juste construire maintenant


L’espoir qui s’enfuie, les heures deviennent moroses
Tu détiens les clés qui engendre la métamorphose

Transcendant le désespoir, pour en faire une apothéose
Où  un seul de tes regards créera  l’osmose


De toi je n’attends rien, mais veux tout

Ton corps, tes bras
L’écho de ta voix
Pour enfin être à toi

Par maâyana - Publié dans : devoirs de vacances
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Mercredi 26 août 3 26 /08 /Août 15:14

Je me trouve devant la porte du donjon, lieu privilégié de nos rendez-vous.

 

Vous m’avez laissé un message me demandant d‘y être à 14h00 précise et de me soumettre sans restriction à tout ce qu'il serait exigé de moi.

« Ce moment  sera plus dur que tout ce que tu as déjà vécu et tu dois te préparer à souffrir. Mais je t'en sais capable ma douce soumise. Cette épreuve est nécessaire pour te libérer de tes derniers doutes et donc de tes dernières chaînes. Ai confiance ma belle. Lorsque tu auras terminé, tu rentreras directement chez toi et  tu m'y attendras.

 A tout à l'heure,  songe qu'à chaque instant de cet après-midi mes pensées t'accompagneront"

 

 

Il est 14h00, je pousse la porte qui est ouverte. Je pénètre dans l’inconnu et j’ai peur.

Ma poitrine résonne tel une peau de tambour tendue à l’extrême et mon ventre se noue douloureusement.

Je pénètre dans la pièce, je la connais bien et quelque part elle me rassure, je me sens chez moi. Elle est toujours aussi sombre seulement éclairée par des bougies de différentes formes et couleurs éparpillées çà et là

Un homme est là, dans la pénombre, vêtu de noir et le visage masqué. 

Seul sa silhouette se distingue tellement il fait corps avec les murs noirs.

Il est parfaitement silencieux  tellement immobile que l’on dirait une statue de cire

Il me guide au centre de la pièce. D'un signe, il me fait comprendre que je dois me dévêtir

Ma robe d'abord, que je dégrafe lentement et fait glisser sur mes épaules, puis mon soutien-gorge, viennent ensuite mes bas que je détache du porte-jarretelles et les fais glisser le long de mes jambes, pour finir par mon porte-jarretelles. Je suis complètement nue

 

L'homme tient  dans ses mains  une lourde chaîne à laquelle pendent des menottes en cuir.  Je tends mes mains vers lui pour qu'il les referme sur elles  autour de mes poignets. Puis il s'agenouille devant moi et d'un mouvement de sa main me fait écarter les jambes et fixe à chacune de mes chevilles des anneaux avant de s'éloigner.

 

Un moment je reste ainsi immobile les poignets clos  reposant sur mon ventre.

 Le silence assourdissant qui règne dans la pièce, seulement trahi  par le bruit de ma respiration qui s'accélère et les battements de mon cœur, est  lourd d'une menace perceptible qui me fait soudain frissonner d'appréhension

Je me sens si faible, si peu sûre et ce qu'il demande est si dur, si difficile. Je ne sais jusqu’à quand, j’aurais l’énergie de le satisfaire, à être celle qu'il veut que je sois.

 

Au bout de longues minutes, l’homme s'approche de moi. Il saisit la chaîne qui lie mes poignets et me fait relever les bras.  Sans un mot, l'homme accroche la chaîne au crochet me maintenant les bras relevés.

 

 Le silence m'oppresse. Je tournoie, il me regarde semblant prendre un plaisir pervers à l'angoisse qui monte, incontrôlable, en moi et dont il a  pris le contrôle.

 

Un hurlement soudain s'échappe de mes lèvres alors qu'une lanière de cuir cingle violemment mes reins.  Cet homme me fouette, me flagelle, me cravache. Mon dos, mes reins, mes seins, mon ventre, mon corps offert. Mon corps virevolte   incapable de se défendre des morsures qui pleuvent sur lui, proie sans défense. Mes larmes coulent. Je sanglote. Mon corps n'est plus que douleur et souffrance.

Chaque nouveau coup est un supplice plus grand.. Il n'y a plus que cette douleur, lancinante, obsédante qui ne paraît pas avoir de limite.

Mais je ne dis rien, ne demande rien, je ne sais si c’est la rage ou la fierté qui me pousse à continuer

Et puis soudain, je ne sens plus rien.

 Je suis au-delà de la souffrance dans un monde de pures sensations.

 Comme évanescente totalement éthérée et pourtant consciente de ce que je ressens au plus profond de mon corps.

Mon esprit s'évade, il a basculé, je l’ai bloqué.

Je flotte offrant mon corps aux coups qui le marquent.

Les larges courroies du fouet qui m'a si fortement effrayée s'enroulent autour de moi en une caresse lascive

 

Les assauts ont enfin cessé et  après m'avoir fait redescendre, et libérée de mes chaînes. Délicatement il me relève et, il me conduit vers le canapé  et me tend un verre empli d'un breuvage rafraîchissant qui me redonne un semblant de force

Je me détends, me laisse envahir par le bien-être. C'est si doux.

Tout aussi doucement, cet homme écarte mes jambes. J'ai un mouvement de recul. Je me sens si faible. Je ne pourrai supporter de nouveaux tourments. Mais il insiste tendrement. Impossible, dans l'état de faiblesse dans lequel je me trouve, d'opposer la moindre résistance. Mais loin de vouloir me forcer, la bouche de cet homme se pose délicatement sur mon sexe et commence à me lécher. Je me sens fondre de bonheur sous la douceur exquise de sa langue. Sans qu'on est besoin de me l'ordonner, j'écarte plus largement mes cuisses m'offrant tout entière à l'exploration de cette langue qui fait déferler en moi des vagues de plus en plus intenses de plaisir. Dans le même temps, ses mains se sont saisies de mes seins et les malaxent tendrement, pinçant délicatement mes tétons érigés de désir.

 Le plaisir me transperce de part en part. Aucune parcelle de mon corps n'est oubliée. Je deviens plaisir pur.

 Je me liquéfie  sous tant d'attention. Je crie ma jouissance et  m'emporte dans un orgasme formidable d'ampleur.

 

Je sombre alors, épuisée, dans le sommeil.

 

A mon réveil, Vous êtes là !!. Le corps rompu, je me redresse lentement, hébétée par ce que je viens de vivre. Jamais encore je n'ai autant souffert mais jamais, non plus, je n'ai connu une telle intensité dans la jouissance.
Je vous remercie, car si j’ai pu vivre cela, c’est que j’ai su dès le début que cet homme masqué c’était Vous.
Je sais qu'une nouvelle frontière vient d'être franchie.

Par maâyana - Publié dans : devoirs de vacances
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Samedi 22 août 6 22 /08 /Août 18:26

 Il est 10h00, je vous attends, je ne sais rien du programme de cette journée, seulement que nous allons la passer ensemble

Je ne suis vêtue que d‘une robe légère à fines bretelles de couleur rouge, dont le haut s’apparente à un bustier et qui se termine par des pans fendus très haut sur la cuisse.

  Ce fut enfin le départ, vous êtes à l’heure, nous prenons l’autoroute, cette bande d’asphalte aux allures de féeries. Au bout d'une heure, nous quittons l'autoroute.

 Vous  faites glisser, nonchalamment votre main sur mon genou,  vous remontez sur mes cuisses bronzées, cherchant l'intérieur de mes cuisses, avec impatience.

Je suis douce, chaude et humide !

Cela vous permet de vérifier que je vous ai obéi et que je ne porte pas de string

Je passe ma main sur votre  sexe et constate avec plaisir que vous bander  durement, serré dans votre jean.

 

J’ouvre mes cuisses quand vos doigts viennent frôler mon sexe. Vous relevez  ma robe sur mon ventre, observant du coin de l'œil ma chatte totalement épilée, aux lèvres gonflées et mouillées.

 

Vous glissez un doigt dans mon sexe, je relève ma jambe droite, la pose sur le tableau de bord,  dégageant ainsi un panorama dont vous ne vous lassez pas, tout en gardant un oeil sur cette route de campagne déserte

 

Vous devenez silencieux, conduisez prudemment d'une main, je sens vos pensées voguer quelque part

Qu’avez vous imaginez pour moi ?

Ne pas savoir, ne rien demander m’excite terriblement

 Vous ralentissez  en apercevant les murs en pierre  de la villa, retirez vos doigts trempés, me les faites lécher 

 

Je me redresse, remets ma robe en place  et observe la propriété.

 Est ce à vous, je n’ose vous le demander.

 Vous me prenez  par la taille, ouvrant le portail de grille blanche. L'allée est parsemée de massifs odorants et colorés

 

Nous montons quelques marches, entrons dans une immense pièce aux grandes portes vitrées.

Après avoir traversé un long couloir de teinte ivoire sur lequel des aquarelles se détachent

Nous pénétrons dans une grande chambre lumineuse, de la porte fenêtre, nous voyons la piscine

 

-          Le dernier arrivé dans l'eau devra se soumettre à l'autre !

-          D'accord ! répondis-je joueuse et insolente

 

 Vous êtes le premier à plonger dans l’eau bleue de la piscine, je vous rejoins quelques secondes plus tard.

 -       Tu as perdu,  ! Te voici contrainte d'accepter mes désirs, me dites-vous en me serrant contre vous.

 Contrainte des plus agréables et pour mon plus grand plaisir

 Nous nous installons sur un canapé marron recouvert de coussins verts émeraude

 Vous me renversez, me plaquant contre vous, malaxant ma poitrine, en me fixant d'un air gourmand.

 Sans un mot vous glissez une main sous mes fesses, m'obligeant à me cambrer, à offrir ma chatte à votre bouche

 

Vous jouez longuement avec mon clitoris, m'affolant inexorablement

Je ferme les yeux, concentrée sur ce désir si fort au fond de moi.

Vous glissez lentement, très lentement  un doigt dans mon fourreau de chair brûlante,

Vous retirez votre doigt et me le faites lécher longuement, puis vous l'introduisez de nouveau en moi

J’ai envie de vous attraper, vous serrer contre moi

 

D’un baiser, vous calmez mon envie pendant que vous introduisez un deuxième doigt au fond de son sexe. Un troisième doigt se glisse  au fond de moi, forçant légèrement l'entrée de ma chatte inondée.

Je me raidis vous le sentez et ne bougez plus, je commence à me détendre.

 C'est alors qu'un quatrième doigt me pénètre, lentement, forçant avec douceur ma grotte, prenant le temps pour laisser mes muscles se détendre.

Je ferme les yeux, pour mieux appréhender les sensations nouvelles que je découvre.

 Mes muscles se détendent, aspirent votre main

 

Je cherche à diminuer les instants d'étirement en contrôlant ma respiration

Je suis tellement trempée que cela, facilite le passage de vos doigts.

Vous refermez votre pouce vers l'intérieur de votre paume gagnant chaque millimètre patiemment. J'ouvre les yeux, vous bouleversant par un regard confiant.

 

Vous vous redressez, cherchant le meilleur angle possible pour pénétrer toute votre main.

 De l’autre main, Vous caressez mon corps offert, excité par cette nouvelle façon  de vous appartenir.  Mes chairs  se referment brusquement sur votre poignet, enfoncer dans mon sexe brûlant.

 

Vous sentez mes chairs palpiter autour de votre main, l'emprisonner, l'aspirer comme des vagues puissantes.

Je pousse un cri sauvage de plaisir, un orgasme hors du commun vient de me submerger

Vous souriez. Je venais de connaître son premier Fist.

Par maâyana - Publié dans : devoirs de vacances
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Présentation

Qui suis je ?

 Je suis tout simplement une femme tantôt rêveuse, tantôt romantique avec son petit caractère d'enfant gaté, je suis quelqu'un d'un peu trop introverti en société qui a beaucoup plus de  facilité a s'exprimer par l'écriture même si je me soigne

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