Me voilà donc attachée à cette croix, vous ne m’avez pas bandé les yeux, pour que je puisse admirer chacun de vos gestes
Je tressaille quand je sens une de vos mains se poser sur moi et caresser mes seins que ma position écartelée rend parfaitement disponibles et offerts.
Caresses d'abord douces qui peu à peu prennent de l'assurance. Vos mains me malaxent maintenant franchement et prennent possession de moi. Elles se promènent sur mon corps, inspectant mes cuisses ouvertes, mon ventre.
Je me laisse faire, les yeux clos, mes mains fermement accrochées aux sangles de cuir, savourant la chaleur envahissant mon corps offert.
Vos doigts fermés en ciseaux commencent à triturer la pointe de mes seins durcie par le désir d'abord tendrement me faisant gémir de contentement puis de plus en plus durement, augmentant graduellement leurs pressions sur elles.
Une douleur violente et fulgurante me transperce lorsque vous serrez de plus en plus fort incrustant l'anneau d'acier des piercings dans mes tétons.
J’ai énormément de difficulté à retenir une plainte de douleur.
Au fond de moi je sais que si je commence déjà à gémir et me plaindre du traitement, vous stopperez et je ne veux vraiment pas cela.
Car, je désire plus que tout l'étreinte de ces doigts qui maintenant étirent sans ménagement mes tétons tout en continuant de les pincer. Mon souffle s'accélère sous la douleur brutale que je ressens et je me mords les lèvres pour ne pas crier. Un seul cri et tout s’arrêterait et je ne le veux pas.
L'effet produit est trop fort, trop intense. Une sensation horrible et douloureuse irradie mes seins et se propage en moi comme un volcan impétueux et incontrôlable, descend le long de mon ventre pour finir en un bouquet de désir brûlant au creux de mon sexe que se remplit d‘un nectar onctueux qui humecte mes cuisses.
Par un inexplicable procédé la douleur devient plaisir.
Plus vous serrez et plus la sensation est forte. Mon clitoris se crispe frénétiquement et chaque contraction engendre une sensation de plaisir de plus en plus aiguë. Mon corps est en proie à un vif embrasement, mon esprit a perdu le nord, mes sens sont chauffés à blanc, mais je suis merveilleusement bien et heureuse.
Tout à mon plaisir sur cette croix, je n’ai pas vu que vous vous étiez saisi d’un martinet
Vous me détachez les chevilles et me faites me retourner, me voilà face à la croix, j’attends le premier coup avec impatience, car j’en ai très envie
Très envie de sentir la morsure d'un fouet mordre ma chair et la marquer, me tordre instinctivement pour y échapper et pourtant l'accepter comme une réponse à mon désir immense. Le claquement sec des lanières sur ma croupe offerte me submerge de bonheur
Les morsures s’enchaînent avec une force grandissante et sur un rythme effréné, mes fesses rougissent et se marquent de plus en plus, l’affolement et la peur sans raison prennent le dessus
Un cri de douleur strident transperce le donjon
Je vous demande d’arrêter, des larmes coulent sur mes joues
Vous me détachez immédiatement, vous n’êtes pas homme à ne pas écouter, ni entendre
Sans force, mes jambes ne semblant plus vouloir me porter, je tombe dans vos bras, vous m’accompagnez jusqu’au canapé et je Me blottis contre vous
Je suis alors dans un nid chaud, doux et rassurant. Nous échangeons un long baiser. Je me calme peu à peu, mon visage enfoui dans le creux de votre cou. Les battements de mon cœur s'apaisent lentement. Cet instant d'affolement s'éloigne et je m'en veux de ma réaction. Je me sens bien, vos bras autour de moi. En sécurité. Prête à continuer.
Et vous prêt à continuer avec la petite souris ?
Avril 2025 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | |||||
7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | ||||
14 | 15 | 16 | 17 | 18 | 19 | 20 | ||||
21 | 22 | 23 | 24 | 25 | 26 | 27 | ||||
28 | 29 | 30 | ||||||||
|