devoirs de vacances

Dimanche 16 août 7 16 /08 /Août 22:49

 Votre soif de curiosité vous pousse à passer des heures sur le net, pour découvrir, voir comment cela se passe  ailleurs et cela dans tous les domaines, car vous êtres très éclectique et cela quel que soit le registre

Au cours de vos pérégrinations nocturnes sur la toile, un fantasme germa dans votre esprit

 

Celui de faire de moi une momie vivante non pas avec des bandelettes en tissu mais avec des bandes collantes argentées.

 

Vous vous êtes procuré le matériel, il ne restait plus qu'à passer à la réalisation de cet étrange embaumement

 

Je me mis à éclater en rire en pensant à la situation, certes devenir une momie était assez étrange

Mais c’est plus la fin de cet exercice qui me procura ce fou-rire

Adepte depuis des années des épilations et non des rasoirs, je me dis que cette fois j’allais en avoir une entière faite par les mains de mon Maître et non de maître

 

Je vous fis part de mes pensées, et au lieu de vous offusquer, votre rire se joignit au mien.

 

Quelques instants plus tard complètement entravée sur une table, à plat ventre les fesses tendues vers le ciel, les jambes écartées, indécente et vulnérable, mes genoux étaient très étroitement liés à des poteaux rendant impossible le moindre mouvement des hanches.

 

Puis commence l’activité manuelle de collage

 

Vous collez des bandes assez larges autour de mon corps, faites trois tours autour de mes cuisses, juste à la naissance de la cuisse, au côté de mes lèvres. Chaque cuisse ainsi entravée se détachait complètement de mon entrejambe.  La première passa juste sous les fesses, les relevant bien haut, puis autour de mes hanches, sur mon ventre et enfin elle rejoint la première juste à l’opposé de son point de départ. Vous appliquez ensuite une seconde qui remonte un peu plus haut sur les fesses et le ventre. La tension sur le ventre devenait plus perceptible et mes fesses devenaient des globes plus tendus, plus petits et plus durs. Puis vous passez des bandes sur le haut des fesses, les encadrant entièrement dans cet ensemble de plastique collant.

 

 D’autres bandes par couches successives rendent la pression toujours plus forte.

Mes fesses sont recouvertes entièrement, petits morceaux par petits morceaux Certaines bandes commencent sur la ceinture formée par les bandes collantes sur le ventre, passent entre ma cuisse et mon sexe.

Je ressemblais à une statue de plastique du ventre jusqu’au haut des cuisses.

 

Vous me détachez alors de mes entraves, et me faites marcher dans la pièce,  chaque mouvement des jambes donne l’impression de faire une pression sur la cuisse à la fois vers le haut et l’extérieur.

 

Le collage du haut du corps commence.  Je porte un très court justaucorps en nylon très serré qui recouvrait juste mes épaules, mes bras et les seins. Vous me demandez de m’installer dans l’encadrement de la porte et attachez les poignets à chaque angle du haut, mes jambes écartées. Déjà écartelée, vous me faites porter une barre d’écartement, impossible pour moi de fermer les jambes

 Vous démarrez sur mon ventre, en tournant autour du corps, ajustant lentement la bande et en remontant vers ma poitrine jusqu’à la naissance des seins. Ce corset de bandes m’enserre très efficacement chaque inspiration tire sur le corset. Puis le dessus des seins, mes épaules et mes bras furent recouverts. J’ai autour de mon  cou, un collier large très dur et rigide qui m’oblige à relever la tête, une bande collante le recouvrit, cela empêchait de serrer le cou. Une sécurité pour éviter un étouffement

A l’aide de ciseaux, vous dégagez mes seins, ils ressemblent à deux globes tendus

 La couleur grise métallisée des bandes collantes donnait un aspect de robot.

 

Vous me regardez, content de vous, me libérer  pour me mettre des menottes les mains derrière le dos. La position tendue à l’extrême ne m’avait pas fait sentir à quel point j’étais compressée par le corset formé sur le ventre et la taille. Vous me demandez de continuer à marcher. J’ai une position rigide et ne peux  me pencher.

 

Vous avez  une érection énorme et m’allongez sur le canapé, bien à plat sur le dos, en me portant comme un paquet, vous attachez  mes jambes très serrées, m’ôtant le peu de mobilité qu’il me restait

Me caressez le corps, mais je ne sens que faiblement vos mains, me touchez le sexe rendu plus disponible, et cette sensation m’électrise. Ayant perdu l’usage de mes mains, pouvant à peine bouger ma tête, je cherche malgré tout à me toucher, à vous guider, sans beaucoup de succès. Je commence à sentir votre caresse insistante, vos doigts s’insinuant en moi, me frottant, me palpant, me pinçant, mon corps est au bord de l’orgasme, vous me retournez violemment comme un crêpe, ce qui me fait pousser un jappement étrange. Aplatie sur le ventre, vous me pénétrez ainsi, et cette sodomie me secoue toute entière. Je ne suis plus qu’un jouet en plastique,  un trou pour votre plaisir.

 

 

Me sortir de mon carcan de plastique fut presque aussi long, mais j’étais toute molle et mon corps n’avait plus aucune résistance. Une fois libérée vous me pénétrez de nouveau, de la manière la plus traditionnelle, pistonnant avec fureur et je jouis avec vous en poussant un cri profond que vous  accompagnâtes de votre râle.

 

 

Par maâyana - Publié dans : devoirs de vacances
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Samedi 15 août 6 15 /08 /Août 00:02

 

Ce matin je vous appelle, toute excitée à l’idée de vous faire partager le rêve qui a occupé une bonne partie de ma nuit, et m’a réveillée, me laissant complètement trempée.

 

Je suis seule dans un sauna, mes pensées en totale liberté, je m'imagine entièrement livrée à votre bonne volonté, je deviens votre esclave, cette chaleur m'aide à m'abandonner en toute simplicité.

 

Je suis allongée sur le banc fait de lattes en bois naturel, à plat ventre, une serviette est déposée sur le bas de mes reins, on aperçoit la naissance de mes fesses.

 

La moiteur due à l’eau tombant en cascade sur les pierres chaudes se fait de plus en plus présente, j’ai l'impression que vous êtes à mes cotés, que vous me regardez me détendre.

Pourtant je suis seule, absolument seule. Je n'ai pour compagnie que le silence et les vapeurs d’huiles essentielles de menthe et de lavande qui m’accompagnent dans cette cabine, je m'abandonne, je deviens de plus en plus lascive et sensuelle.

 

Des perles de sueur  apparaissent ça et là, et commencent  à parcourir mon corps.

Je ressens des frémissements au creux de mes hanches, mon bouton nacré ne demande qu'à être caressé. Sans même m'en rendre compte, mon bassin commence à tanguer, j’essaie inconsciemment de répondre à l'appel insaisissable de mes sens. Que cette chaleur est libératrice, euphorisante, relaxante. Mais je suis seule, personne n'est là pour me délivrer.

Je  repense à vous, vous  seul pourriez me délivrer de l’emprise de mes sens pour ne plus être  asservie non plus à mes désirs mais aux vôtres.

 

Je bouge, je change de position pour ne pas céder à ce désir qui ne pourra aboutir que sur une frustration puisque je suis seule. En m'asseyant je réunis mes pensées, je songe à toute autre chose, à ce que je ferai demain. En y pensant, une seule idée me vient à l'esprit, je veux baiser, oui demain je veux me faire baiser.
Tenter d’échapper à ce plaisir est vain, je décide de m’y abandonner.

 

 

Une goutte  descend lentement le long de mon cou.  Je songe que cette goutte c'est vous. Vous descendez lentement, prenez tout votre temps car vous me désirez entièrement abandonnée, de plus en plus chaude. En descendant vous collectez  d'autres perles de sueur qui se transforment en un ruisseau arrivant sur mes seins qui se dressent incandescents de désir.

 Je frémis, délire, des dizaines de frissons me submergent, vous poursuivez votre chemin ne me laissant aucun répit, Votre  voyage sur mon corps me fait défaillir, vous arrivez sur mon ventre, vous attardez sur mon nombril puis arrivez à mon pubis et mes dernières réticences cèdent.

A cet instant emportée par le désir,  mes mains descendent le long de mon corps, je me caresse la nuque, pince mes tétons, les tends à les rompre, ils brûlent, puis, je frôle mon ventre et mes mains enserrent mes grandes lèvres.

 

A cet instant précis, mon corps se tétanise sous la puissance de l’envie, une chaleur  intense vient d'exploser en moi. Elle  se diffuse, je ne pense plus, je ne suis que plaisir.

Ce moment d’extase passé  je reprends pied dans la réalité, que c'était bon de m'abandonner ainsi en pensant à vous.

 

Pourtant Vous n’êtes pas là, je suis seule.

 

 

Par maâyana - Publié dans : devoirs de vacances
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Vendredi 14 août 5 14 /08 /Août 00:02

Me voilà, à vous, depuis maintenant plusieurs semaines, nous nous retrouvons régulièrement au donjon. Qu’il est bon d’avoir un endroit à soi, pour vivre nos moments.

Moments de plaisir, de tendresse, de douleur, de rires, de détente, de repos

Moments intenses qui font que de jours en jours, à vos cotés je progresse

 

Ce soir je dois vous y retrouver, mais pas directement, vous me donnez rendez-vous sur la place.

Il m’est agréable de penser, que nous allons traverser ces ruelles  ensemble,

Deux êtres qui se rendent dans un lieu de plaisir, que personne ne soupçonne

 

La nuit est noire, pas une étoile, pas un rayon de lune, pour éclairer les maisons et les ruelles

 

Je vous rejoins, et de nouveau, vous me demandez de fermer les yeux

Cette fois-ci cela m’amuse, je n’ai pas peur, je le connais bien ce quartier avec ses ruelles, ses pierres, ses commerces, alors,     avec un grand sourire, je ferme les yeux et me laisse conduire telle une aveugle qui s’en remet à son guide.

Au bruit qui m’entoure, je sais exactement où je me trouve, et bientôt nous allons être devant cette porte aux allures surannées, avec ses barreaux tressés aux petites fenêtres et son arrondi qui lui donne un air d’alcôve.

 

 Vous ouvrez la porte, sans la déverrouiller, cela ne me surprend pas

Puis, vous frappez à la porte intermédiaire

 

Là, je suis prise d’effroi, je lache votre bras, ouvre les yeux et vous demande

 

-Nous ne sommes pas seuls ?

-Non – me répondez-vous

 

Je me mets à crier, qu’il est hors de question que je pénètre dans cette pièce

Et je sors du donjon précipitamment, vous ne faites pas un geste pour me retenir

 

Je retourne à ma voiture en courant, ce parcours me paraît long, je n’ai qu’une envie, me sentir en sécurité.

Paradoxalement, j’espère un appel de vous, qui va me rassurer, me dire de revenir, mais je n’ai que le silence comme écho.

 

Je tourne la clef de contact tremblante, déconcertée, apeurée, en colère.

Sur le chemin qui me ramène chez moi, je vous maudis, je vous hais.

 

Comment avez vous pu me mettre au pied du mur, comment n’avez vous pas compris ma peur ?

Vous m’avez laissé m’enfuir, sans un mot, ni un geste.

 

Les jours qui suivent, mes messages tombent inexorablement sur votre messagerie

Vous ne répondez plus, c’est l’ignorance totale.

 

J’ai beau vous demander pardon, vous dire que ma réaction a été idiote, que je me suis conduite en enfant gâtée, rien n’y fait.

Vous restez d’un silence assourdissant qui dépose sur mes épaules une chape de plomb qui m’empêche de respirer.

 

J'entends enfin votre  voix chaude dans laquelle flotte une légère incertitude me demandant enfin :

-         prête à être punie, pour te faire pardonner ?

 

Oui, j’y étais prête, me faire pardonner cette fuite était le plus important. Effacer cette faute, plus rien d’autre ne comptait.

 

Tout alors s’enchaîne très vite, vous venez me chercher, et me conduisez dans une maison, dont je ne sais rien et la peur m’empêche de vous questionner

 

Tout au long du trajet, nous plaisantons, discutons, je ris pour me donner du courage, nous arrivons enfin à destination

 

En pénétrant dans la pièce sombre, je sens mon cœur se pincer d'appréhension. Si  j'ai fait l'expérience de la soumission, me prêtant avec complaisance à ces jeux où plaisir et douleur s'entremêlent inextricablement, où l'humiliation se confond avec la plus grande félicité,  là c’est l’inconnu qui est devant moi, je ne sais rien, sauf peut-être que cela ne va pas me plaire

 

J’ai accepté la punition, et une punition n’est pas le plaisir

 C'est donc pour moi une première!

Vous en avez pleinement conscience, déjà vous en jouissez intérieurement

Je me dois d'être à la hauteur de la situation pour vous mais aussi pour moi

Vous êtes cet après-midi, seul maître de la situation.

 

Vous m’avez installée nue au milieu de la pièce, les bras relevés au-dessus de ma tête attachés à une chaîne ralliant le plafond

Vous ne m’avez pas bandé les yeux pourtant vous me connaissez et vous savez que si je peux anticiper, ne serait-ce qu’une fraction de seconde ce qu’il va se passer, je vais bloquer mon esprit et  garder le contrôle.
Mais aujour'hui, je n'en ferai rien 

Et justement, vous me voulez prise au piége, voyant tout, ressentant tout

 

Deux hommes arrivent sur le pas de la porte et nous observent avec un intérêt certain. D'un geste vous  leur faites signe de s'approcher davantage marquant par là sans aucune équivoque ma totale disponibilité. Déjà une main fouille ma chatte. Je sens des doigts fureter sur mon clitoris avant de s'engouffrer entre mes lèvres, impossible pour moi de me laisser aller, ce qui se passe me fait horreur. Je me sens humiliée, rabaissée, je ne suis qu’un objet livré à des mains inconnues 

Ces mains avides qui se tendent vers moi pour m'effleurer, me toucher. Un des hommes me contourne et se positionne derrière moi et  je ne peux réfréner un léger mouvement de recul quand je sens ses mains écarter mes fesses et ses doigts se poser sur mon anus et en forcer sans plus de préambule brutalement l'entrée. J’ai envie de hurler sous l'intrusion mais m'astreins  à ne pas bouger le laissant faire pénétrer d'abord un puis deux doigts en moi en un mouvement circulaire qui m'écartèle et me laboure les reins. Les doigts de l'autre homme sont maintenant profondément enfoncés en moi et je le sens les faire aller et venir dans mon sexe. D'autres mains continuent de me palper. Toujours plus nombreuses. Le ventre, les seins, le sexe. Rien n'échappe à leur exploration. Combien, je ne saurai le dire. Je ne suis de toute façon pas en état de compter.  Cela n'a en fait aucune importance. Ce qui compte, c'est ce que je dois subir cette extrême  humiliation, et être ainsi utilisée, me donne envie de vomir, j’ai la tête qui tourne.

 

Je  vous regarde désespérément. Ce que je ressens est trop fort. Trop violent. Je n'en peux plus. Réaction instinctive de refus que je ne peux réprimer malgré tous mes efforts. Envie soudaine de pleurer. Mon cœur bat à tout rompre. Je vous prie  de leur demander d'arrêter. Qu'ils vont trop loin !  Vous  seul avez  ce pouvoir. Vous  seul peut décider de stopper. Je sais que si vous le souhaitez, si vous le demandez, l'exigez, dans l'état où je suis, incapable de la moindre pensée cohérente et encore moins de vouloir ou décider quoi que ce soit, je continuerais à subir,  je continuerais à endurer la répugnance de ces mains voraces sur moi

 

Immédiatement, vous leur demandez d’arrêter et me détachez.

 

Je me laisse tomber à terre, et d’abondantes larmes coulent sur mes joues. Je hoquète, je suffoque, je n’en peux plus.

 

Tout doucement, vous me calmez, avec votre voix chaude et sensuelle, vous me prenez dans vos bras, vous m’embrassez et me dites :

 

-         C’est fini, je suis fièr de toi, tu sais maintenant ce que sera ta punition

 

J’avais enduré, tenu bon, et je n’avais surtout pas envie que cela se reproduise

 

Mais dans mon fort intérieur, je savais que cela se reproduirait, car l’obéissance totale est comme un grand escalier à monter, et je n’en avais gravi que les premières marches

 

 

Que réservent les autres marches à la petite souris ?

Vous voulez le savoir n’est ce pas ?

 

 

Par maâyana - Publié dans : devoirs de vacances
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Jeudi 13 août 4 13 /08 /Août 00:02

Me voilà donc attachée à cette croix, vous ne m’avez pas bandé les yeux, pour que je puisse admirer chacun de vos gestes

Je tressaille quand je sens une de vos mains se poser sur moi et caresser mes seins que ma position écartelée rend parfaitement disponibles et offerts.

 Caresses d'abord douces qui peu à peu prennent de l'assurance. Vos mains me malaxent maintenant franchement et prennent possession de moi. Elles se promènent sur mon corps, inspectant mes cuisses ouvertes, mon ventre.

Je me laisse faire, les yeux clos, mes mains fermement accrochées aux sangles de cuir, savourant la chaleur envahissant mon corps offert.

Vos doigts fermés en ciseaux commencent à triturer la pointe de mes seins durcie par le désir d'abord tendrement me faisant gémir de contentement puis de plus en plus durement, augmentant graduellement leurs pressions sur elles.

Une  douleur violente et fulgurante me transperce lorsque vous serrez de plus en plus fort incrustant l'anneau d'acier des piercings dans mes tétons.

J’ai énormément de difficulté à retenir une plainte de douleur.

Au fond de moi je sais  que si je commence déjà à gémir et me plaindre du traitement, vous stopperez et je ne veux vraiment pas cela.

Car, je désire plus que tout l'étreinte de ces doigts qui maintenant étirent sans ménagement mes tétons tout en continuant de les pincer. Mon souffle s'accélère sous la douleur brutale que je ressens et je me mords les lèvres pour ne pas crier. Un seul cri et tout s’arrêterait et je ne le veux pas.

 L'effet produit est trop fort, trop intense. Une  sensation horrible et douloureuse  irradie mes seins et se propage en moi comme un volcan impétueux et incontrôlable, descend le long de mon ventre pour finir en un bouquet de désir brûlant  au creux de mon sexe que se remplit d‘un nectar onctueux qui humecte  mes cuisses.

Par un inexplicable procédé  la douleur devient plaisir.

 Plus vous serrez et plus la sensation est forte.  Mon clitoris se crispe frénétiquement et chaque contraction  engendre une sensation de plaisir de plus en plus aiguë. Mon corps est en proie à un vif embrasement, mon esprit a perdu le nord, mes sens sont chauffés à blanc, mais je suis merveilleusement bien et heureuse.

 

Tout à mon plaisir sur cette croix, je n’ai pas vu que vous vous étiez saisi d’un martinet

 

Vous me détachez les chevilles et me faites me retourner, me voilà face à la croix, j’attends le premier coup avec impatience, car j’en ai très envie

 Très envie de sentir la morsure d'un fouet mordre ma chair et la marquer, me tordre instinctivement pour y échapper et pourtant l'accepter comme une réponse à mon désir immense. Le  claquement sec des lanières sur ma croupe offerte me submerge de bonheur

 

Les morsures s’enchaînent avec une force grandissante et sur un rythme effréné, mes fesses rougissent et se marquent de plus en plus, l’affolement et la peur sans raison prennent le dessus

 

Un cri de douleur strident transperce le donjon

Je vous demande d’arrêter, des larmes coulent sur mes joues

 

  Vous me détachez immédiatement, vous n’êtes pas homme à ne pas écouter, ni entendre

Sans force, mes jambes ne semblant plus vouloir me porter, je tombe dans vos bras, vous m’accompagnez jusqu’au canapé et je  Me blottis contre vous

 Je suis alors dans un nid chaud, doux et rassurant. Nous échangeons un long baiser.  Je me calme peu à peu, mon visage enfoui dans le creux de votre cou. Les battements de mon cœur s'apaisent lentement. Cet instant d'affolement s'éloigne et je m'en veux de ma réaction. Je me sens bien, vos bras autour de moi. En sécurité. Prête à continuer.

 

 

Et vous prêt à continuer avec la petite souris ?

 

 

Par maâyana - Publié dans : devoirs de vacances
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Mercredi 12 août 3 12 /08 /Août 00:02

Cela fait maintenant, trois jours que je n’ai pas de vos nouvelles

Ce silence m’oppresse, m’angoisse

Des dizaines de fois, j’ai eu envie de vous appeler, rien que pour entendre votre voix, combler le manque que vous avez créé

 

Dans ma tête je ressasse, ce que j’ai bien pu faire pour que vous restiez silencieux

 

Dans mon esprit passe et repasse cette phrase sibylline :

Tu vas découvrir un autre lieu

 

 Je suis à la fois intriguée et curieuse, mais je ne veux pas imaginer,

Car établir la liste des lieux dans lesquels un Maître peut vous amener, relève de l’utopie

Beaucoup d’endroits peuvent se prêter aux jeux

 

Votre nom s’affiche enfin sur mon téléphone,  ma respiration s’affole en décrochant, qu’allez-vous cette fois exiger de moi

 

Vous vous enquérez de moi, de ma vie, de mon état d’esprit, de mes ressentis

Il m’est agréable de constater que vous prenez soin de moi par vos mots

 

Passé le stade des banalités vous me dites :

Rendez-vous dans deux heures à Mareilles, quand tu arrives sur la place, tu te gares et tu m’appelles, je t’indiquerai où me rejoindre

 

Mareilles est un village comme tant  d’autres, fait de ruelles en pierre, de maisons de village anciennes sur lesquelles le soleil ne donne pas toujours, et qui permettent en été de retrouver fraîcheur et plénitude

Que pouvait il y avoir à la croisée de ces vieilles pierres ?

 

Excitée à l’idée de vous revoir et découvrir ce lieu, j’arrivai un bon quart d’heure en avance sur cette place.

 

J’attendis patiemment l’heure convenue, pour composer votre numéro.

 

Vous me guidâtes alors aux travers des ruelles et enfin je fus à vos cotés

Je me jetai à votre cou et tendrement vos bras se refermèrent sur moi, et nous échangeâmes un long et fougueux baiser

 

Sur votre ordre, je ferme les yeux, et me laisse guider par votre voix.

Je suis fermement accrochée à votre main, car ne sachant où je vais, je ne sais s’il y a des obstacles sur mon chemin, mais vous veillez à ma sécurité et m’indiquez chaque écueil qui se présente.

 

Quelques minutes, plus tard , nous sommes, enfin je le suppose devant une porte, un bruit de clef qui fait tourner un verrou me le confirme

 

J’entre toujours les yeux fermés, une autre porte s’ouvre, et la vous me permettez d’ouvrir les yeux

Je suis très étonnée par ce que je vois, une pièce minuscule, faisant office d’entrée, de cuisine et de salle d‘eau

 

Une autre porte se trouve devant moi, sur quoi débouche-t-elle ?

 

Je n’ai pas le temps d’y réfléchir

 

-         As tu apporté ce que je t’ai demandé ? Demandez-vous

-         Je téponds oui c'est dans mon sac.

-         Change toi et rejoins moi dans l’autre pièce

 

Le matin, lors de notre conversation je lui avais expliqué que j’avais fait les boutiques et que j’avais acheté un serre-taille.

 

Il se trouve dans mon sac, dans lequel j’ai également rangé une paire d’escarpins noirs à talons de 10cm

 

Je me déshabille pour enfiler le serre-taille en cuir noir maintenu par six baleines en fer

 

Avez-vous déjà essayé de serrer vous-même ce genre de vêtement?

Pas facile, croyez-moi, je trépigne, je m’énerve, j’ai peur que dans la pièce voisine vous ne commenciez à vous impatienter

 

Enfin prête, j’ouvre la porte, et je pénètre dans un donjon

 

A peine franchi le seuil de la pièce, je sens mon état d'esprit changer radicalement. Comme si j'avais remis toute ma volonté en lui, inutile de le préciser sinon je ne serais pas là.

Je n'ai plus vraiment peur mais au contraire je ressens en pénétrant dans la pièce une intense excitation. Et une non moins grande impatience. 

 

Il y a un canapé confortable de couleur rouge, tout le donjon est en rouge et noir, rideaux et murs noirs. De faibles spots éclairent la pièce, les miroirs aux murs lui donnent une plus grande profondeur. Sur le mur du fond, une croix de St André donne tout le charme médiéval à cette pièce. Et la musique d’Era renforce encore cette atmosphère

 

Planté devant la croix, vous me demandez avec un sourire ironique

 

- Comment préfères-tu être attachée,  de dos ou de face?

 

- De face, murmurai-je la gorge nouée d'émotion après un bref instant d'hésitation.

 

- Bien. Alors mets-toi en position que je t'attache.

 

Je m'adosse sans plus attendre contre la croix, le dos bien appuyé contre le bois poli.

Vous m'attachez d'abord les poignets avec de larges sangles de cuir puis me faites écarter largement les jambes m'obligeant à me cambrer pour garder l'équilibre, et entravez à leur tour mes chevilles.

 Des picotements délicieux d'impatience commencent à me parcourir.

J'aime ce moment où on me prépare. J'y prends un plaisir extraordinaire fait d'attente et d'inquiétude aussi.  Ambivalence de sensations qui se répondent et s'entrechoquent qui exacerbent la tension érotique.  Ma perception des choses change aussi. Tout devient à la fois d'une précision époustouflante et pourtant comme se déroulant dans une brume épaisse et cotonneuse.

 

Les liens qui m’entravent sont plus symboliques qu'autre chose. Ils sont suffisamment lâches pour que je puisse m'en libérer assez facilement.

Je trouve  que d'être attachée sans vraiment l’être ajoute une pincée  supplémentaire d'excitation car alors la contrainte émane   de moi et n'en est que plus forte. Je ne subis pas uniquement mais participe  à ma propre soumission en me contraignant à demeurer écartelée et offerte quoique je puisse ressentir.

 Troublante ambiguïté des contraires...

 

 

Vous voulez savoir ce qu’il va se passer dans ce donjon

La suite demain ….

 

Par maâyana - Publié dans : devoirs de vacances
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Mardi 11 août 2 11 /08 /Août 00:02

Mais ce n'est pas encore fini pour moi.

Vous me réservez ce soir une dernière épreuve.

Vous m’installez  contre la table. Cette table qui trône majestueusement au milieu de la pièce, et,  détournée ce soir de ses fonctions premières.

 Le buste appuyé contre le dessus de la table, celui-ci est froid et son contact  me fait  sursauter

 

De nouveau vous attachez dans mon dos mes poignets et vous passez entre mes chevilles une barre plate en fer qui m’empêche de refermer mes jambes m'immobilisant ainsi dans une  posture indécente, jambes écartées, fesses tendues vers vous.

Vous vous saisissez  d’un épais gode, et le faites lentement glisser le long de  mon dos, du haut des épaules  jusqu’au creux de mes reins.

Le contact sur ma peau de cet objet long rond et dur me fait frissonner et étonnamment je m'abandonne à cette caresse.

 

Vous empoignez mes cheveux et tirez ma tête en arrière, mon visage se relève et vous présentez à mes lèvres l’objet.

Instinctivement ma bouche s’ouvre et je  l'humecte de ma salive afin qu'il puisse aisément glisser en moi.

Puis je resserre mes dents dessus pour retarder le plus possible l’instant fatidique

Vous me dites alors  que vous allez l'introduire dans mon cul et  que vous allez me défoncer avec.

 

La peur se saisit immédiatement de moi, la largeur de ce gode dans ma bouche me tétanise à l’idée que celui-ci va forcer un passage si étroit

L’emploi de ces mots crus n’est pas anodin,  ces mots qui me fouettent par leur brutalité et leur vulgarité.

Leurs sonorités  quoique bestiales engendrent  aussi en moi une excitation profonde qui empourpre mes joues

 

Je suis humiliée autant par vos mots que par vos gestes.

Une partie de moi se révolte et l’autre en tire une jouissance profonde

Vous descendez très  lentement le gode, cela ressemble à un supplice, car vous vous arrêtez sur chaque partie de mon dos, cette descente qui parait interminable fait onduler de bonheur mon dos.

Vous atteignez enfin le lieu convoité et posez ce phallus contre mon anus 

 

 Un reflex instinctif me fait me contracter.

Vous m’ordonnez de me relâcher.

Car rien ne saurait vous empêcher d’ouvrir mon cul, et de l'emplir.

Vous appuyez lentement et je ressens en vous ce plaisir intense de prendre possession de cette entrée étroite qui se refuse et de l'ouvrir démesurément pour entendre mes soupirs craintifs.

J’ai très peur, et cela m’empêche de me détendre, vous le sentez

 

Vous me caressez et me parlez doucement mais fermement

Votre voix chaude me redonne confiance et je me laisse aller

 

Vous me confirmez par vos mots, que rien n’arrêtera votre détermination à vaincre et à écarteler mon entrée la plus  intime.

Vous recommencez à l’enfoncer,  je crie, j’ai l’impression d'avoir le cul en feu et qu’il se déchire, mais un même temps le plaisir s’insinue  au fond de moi.
 

A votre Jouissance de voir le gode  disparaître peu à peu dans ce canal qui se dilate sous la poussée irrésistible, se mêle la mienne exacerbée par ces sensations nouvelles terriblement étourdissantes

Je me raidis  sous l’ingérence, je voudrais bouger mais mon corps bloqué sur la table m’en empêche.

Je ne sais si j’aime ou déteste cet entravement qui m’empêche de m’exprimer pleinement

 Vous vous arrêtez pour me laisser m'habituer à cette douleur, puis reprenez

Mes plaintes ralentissent vos gestes, mais la progression continue

Le plaisir fait fondre mes résistances une à une

 Après une longue l’alternance de pauses et reprises  le gode est maintenant entièrement  en moi.

Seule dépasse son extrémité évasée, de mon cul maintenant béant


Vous êtes satisfait de votre victoire !!!

 

Vous m’avez donné un plaisir et une jouissance inconnus   jusqu’alors

 

Puis nos esprits retrouvent nos sens, vous faites le chemin arrière

 

Lentement, vous enlevez le gode, puis me détachez ,et me relevez


Vous me prenez dans vos bras, et vous me dites : File et attend mon prochain appel !
La prochaine fois  je te ferai découvrir un autre lieu ….. 

 

Je me rhabille, je sors , j’aurais voulu vous dire : Gardez-moi encore  auprès de vous, pour un moment,  mais je savais que cela serait inutile

 

Je rentre chez moi, pleine de sensations et  je ne vais plus penser qu’à votre prochain appel 
 

Quel lieu va-t-elle découvrir la Souris?
Vous le saurez dans la suite de son éducation
 

Par maâyana - Publié dans : devoirs de vacances
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 Je suis tout simplement une femme tantôt rêveuse, tantôt romantique avec son petit caractère d'enfant gaté, je suis quelqu'un d'un peu trop introverti en société qui a beaucoup plus de  facilité a s'exprimer par l'écriture même si je me soigne

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