Mardi 2 septembre 2 02 /09 /Sep 11:09


 

Soumise sur un site dédié

Prenait des tchat en rafale

Monsieur Maître par l’envie attirée

Lui servit  ce dial.

 

Si votre soumission vous  ressemble

Vous êtes le Graal de ce site

 

Celle ci ne sentant plus de joie

Tomba sans ses bras

 

Monsieur maître lui dit

Sachez la belle

Que toute soumise vit aux dépends

De celui qu’elle écoute

 

A ce jeu de dupe, soumise

Jura que l’on ne  l’y reprendrait plus

Par maâyana - Publié dans : humour
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Lundi 1 septembre 1 01 /09 /Sep 15:31

Tu m’as déshabillée ne conservant que mes bas  et mes escarpins et m’a allongée sur la table sur laquelle je suis maintenant attachée, écartelée.

 

 A chaque extrémité de la table d'épaisses bougies en cire blanche plantées dans quatre lourds candélabres d'argent

nimbent mon corps frémissant des reflets chatoyants de leur flamme dorée.

 

Tu m’as étroitement lié mes poignets avec de solides sangles de cuir. Tu as fait de même avec mes chevilles, jambes maintenues relevées.

Une lourde chaîne aux épais maillons d'acier massif s'entrelace  sur mon ventre.

Je me suis  laissée ligotée sans un mot. Me soumettant tranquillement à ton désir de me  posséder.

Mes yeux écarquillés et brillants laissent transpirer ma crainte. Mon impatience aussi... Ma détermination.

Mon sexe lisse est entièrement offert.

 Je suis tendue. Non, le mot exact est concentrée. C'est cela, entièrement concentrée sur ce que je ressens.

 Vivant intensément chacun de ces instants.

Anticipant déjà la souffrance à venir. Le plaisir....

 

Tu t'approches de moi. Ta main m'effleure doucement.

Tu caresses doucement ma poitrine, mon ventre, mes épaules.

 Ton doigt glisse sur mon pubis. Frôle la fente de mon sexe.

Caresse d'une insupportable douceur que tu fais durer à dessein et qui me fait frémir les sens en alerte.

Tu jettes un œil vers le martinet que tu as disposé à portée de ma main.

 La règle de notre jeu est simple.

Interdiction absolue pour moi de jouir sans ta permission sous peine de devoir être durement punie.

Brutalement tu resserres ton étreinte sur mon sein

Première douleur qui m’arrache un râle plus de surprise que de réelle souffrance.

 Mes yeux plongent dans les tiens alors que ton étreinte se fait plus dure. Je soutiens ton regard. Tu serres plus fort.
Tu entends mon souffle s'accélérer sous la douleur qui taraude mon sein. Mes lèvres se crispent.

Le visage tendu sous la souffrance qui ravage mon sein, simples prémisses, je le sais, des douleurs plus grandes à venir.

Mes yeux plantés dans les tiens qui ne cillent pas. Plus fort. Un moment tu restes ainsi ma main rivée à mon sein.

Tu desserres ton étreinte. Mes lèvres exhalent un soupir de soulagement.

 Tu serres mon mamelon dans l'étau de tes doigts resserrés. Tire dessus. Mon souffle se suspend.

Tu tires plus fort. L'étire sauvagement insensible à la souffrance que tu m’infliges.

L'autre maintenant, un long moment, tu t'amuses ainsi. Allant d'un sein à l'autre, les étreignant durement à tour de rôle,

me sentant frémir et me tendre quand tes doigts se referment et serrent.

Puis tu m'abandonnes brusquement. Un soupir s'échappe de mes lèvres.

Alors tu te saisis d'une paire de pinces en acier et, délicatement, en sertis chacun de mes tétons. Les pinces se referment sur les chairs endolories.

Je ne dis rien et retiens ma plainte quand les pinces enserrent mes mamelons dans un carcan de douleur.

Tu te  saisis d'une longue corde. Une première boucle s'enroule autour de mon sein droit. La deuxième boucle est pour mon sein gauche.

Tu fais glisser la corde autour de ma nuque puis la tend faisant dans le mouvement remonter mes seins vers mon visage. Je ne dis rien. Seul le

halètement précipité de mon souffle laisse deviner ce que j’endure.

 

Commence alors, un supplice plus subtil qui consiste pour toi à me transformer en objet de jouissance.

Longuement, tu effleures doucement mon ventre, mes épaules, mon pubis. 

Tes mains se font tendres. Tes lèvres sont baisers.

Tu caresses tendrement mon corps frémissant que les souffrances que je viens d'endurer loin d'éteindre mon désir, ont rendu réceptif.

Tes doigts se font aventureux et se perdent dans les méandres de mon vagin mouillé.

Ta bouche se pose sur mon clitoris palpitant et gonflé. Ta langue le titille. L'aspire. Le lèche. 

Tu frôles de ta langue mes lèvres. Vertige. Affolement des sens. Eblouissement soudain.

Mon corps se tend, se défend contre ce déferlement impétueux de sensations qui m'affole.

 Ta bouche tout entière me fait défaillir.

Soudain, malgré tous mes efforts, je jouis, envahie par une marée d'orgasmes interdits qui s'empare de mes sens.

Jouissance qui me conduit doucement à la punition

Tu dénoues les liens qui me ligotent à la table, me libère de la corde qui étreint mes seins

 

Sans un mot, tu prends mes poignets et tu refermes  autour les anneaux qui sont accrochés à la poutre de bois sombre..

Une première fois, les lanières du martinet m’effleurent. Presque timidement.

Comme une caresse qui ne saurait dire son nom. Peu à peu, ton geste s'affermit.

Les lanières claquent. Les minutes et les coups défilent et enfin tu stoppes.

 

Enfin tienne. Ayant enfin abandonné toute défense.

 Corps martyrisé et pourtant comblé.

 

Mais ce n'est pas encore fini pour moi.

Tu me réserves ce soir une dernière épreuve.

Tu m’installes courbée contre la table. Le torse appuyé contre le plateau. Jambes bien écartées, mes fesses tendues vers toi.

De nouveau tu me lies les poignets et les chevilles. M'immobilisant dans cette posture impudique.

Tu prends un épais god. Tu le fais lentement glisser sur mon dos.  Je m'abandonne à cette caresse. Ta main dans ma chevelure, tu

tires ma tête en arrière, me fait relever mon visage et présente à mes lèvres l’objet. Pour que je l'humecte de ma

salive afin qu'il puisse aisément glisser en moi. Tu me dis alors tu vas  l'introduire dans mon cul. Que tu vas m'enculer avec.

A dessein tu utilises ces mots qui me cinglent par leur brutalité et leur vulgarité.

Leur sonorité quoique grossière engendre aussi en moi une excitation profonde qui est la réponse à la rougeur qui allume mes joues.

M'humilier autant par tes mots que par tes gestes.

Tu descends lentement le god, atteints l’étroit que tu convoites et pose l'engin monstrueux sur mon anus.

Tu me vois me crisper instinctivement au contact. Tu m’ordonnes de me relâcher.

Que rien n'arrêtera l'intrusion. Que tu vas ouvrir mon cul. Et l'emplir. Tu appuies lentement.

Plaisir indicible de forcer l'entrée étroite qui se refuse. De l'ouvrir démesurément. D'entendre mes geignements craintifs. J’ai peur. Tu le sens.

 Et cela, loin de t'arrêter, amplifie au contraire ta détermination à perforer son entrée la plus intime. A l'écarteler. Tu appuies. Je crie. De douleur.

Que t'importe. Jouissance infinie de voir le god énorme disparaître peu à peu dans le gouffre noir qui se dilate sous la poussée irrésistible.

Je me tends sous l'intrusion. Râle doucement. Mais ne bouge pas le corps bloqué par la table.

Tu continues ta progression sourd à ma plainte. Tu sens mes résistances fondre sous l'avancée impérieuse de ce soc inhumain qui m'écartèle sauvagement.

 Le god est maintenant entièrement fiché en moi.

Seule dépasse son extrémité évasée, de mon cul maintenant béant

 

Tu le retires , et c’est ta queue qui va prendre sa place

 

Afin que cette soumission s’inscrive dans des chairs si peu utilisés

Amener au rang de putain, par cette pénétration non désirée

Et tu ne jouiras pas dans mon cul , cela eut été un trop belle récompense  

Par maâyana - Publié dans : irréel
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Vendredi 29 août 5 29 /08 /Août 22:28


Ceci est la fidèle traduction d'un AUTHENTIQUE extrait d'un manuel scolaire d'ECONOMIE DOMESTIQUE pour les femmes, publié en 1950. ceci permet de souligner l'évolution des mentalités au fil du temps 
 

 

FAITES EN SORTE QUE LE SOUPER SOIT PRÊT 

Préparez les choses à l'avance, le soir précédent s'il le faut, afin qu'un délicieux repas l'attende à son retour du travail. C'est une façon de lui faire savoir que vous avez pensé à lui et vous souciez de ses besoins. La plupart des hommes ont faim lorsqu'ils rentrent à la maison et la perspective d'un bon repas (particulièrement leur plat favori) fait partie de la nécessaire chaleur d'un accueil.  

 

SOYEZ PRÊTE

Prenez quinze minutes pour vous reposer afin d'être détendue lorsqu'il rentre. Retouchez votre maquillage, mettez un ruban dans vos cheveux et soyez fraîche et avenante. Il a passé la journée en compagnie de gens surchargés de soucis et de travail. Soyez enjouée et un peu plus intéressante que ces derniers. Sa dure journée a besoin d'être égayée et c'est un de vos devoirs de faire en sorte quelle le soit.

 

RANGEZ LE DÉSORDRE

Faites un dernier tour des principales pièces de la maison juste avant que votre mari ne rentre. Rassemblez les livres scolaires, les jouets, les papiers, etc. et passez ensuite un coup de chiffon à poussière sur les tables.

 

PENDANT LES MOIS LES PLUS FROIDS DE L'ANNÉE

il vous faudra préparer et allumer un feu dans la cheminée, auprès duquel il puisse se détendre. Votre mari aura le sentiment d'avoir atteint un havre de repos et d'ordre et cela vous rendra également heureuse. En définitive veiller à son confort vous procurera une immense satisfaction personnelle.

 

RÉDUISEZ TOUS LES BRUITS AU MINIMUM

Au moment de son arrivée, éliminez tout bruit de machine à laver, séchoir à linge ou aspirateur. Essayez d'encourager les enfants à être calmes. Soyez heureuse de le voir. Accueillez-le avec un chaleureux sourire et montrez de la sincérité dans votre désir de lui plaire.

     

ÉCOUTEZ-LE

Il se peut que vous ayez une douzaine de choses importantes à lui dire, mais son arrivée à la maison n'est pas le moment opportun. Laissez-le parler d'abord, souvenez-vous que ses sujets de conversation sont plus importants que les vôtres. Faites en sorte que la soirée lui appartienne.

 

NE VOUS PLAIGNEZ JAMAIS s'il RENTRE TARD À LA MAISON

ou sort pour dîner ou pour aller dans d'autres lieux de divertissement sans vous. Au contraire, essayez de faire en sorte que votre foyer soit un havre de paix, d'ordre et de tranquillité où votre mari puisse détendre son corps et son esprit.

 

NE L'ACCUEILLEZ PAS AVEC VOS PLAINTES ET VOS PROBLÈMES

Ne vous plaignez pas s'il est en retard à la maison pour le souper ou même s'il reste dehors toute la nuit. Considérez cela comme mineur, comparé à ce qu'il a pu endurer pendant la journée. Installez-le confortablement. Proposez-lui de se détendre dans une chaise confortable ou d'aller s'étendre dans la chambre à coucher. Préparez-lui une boisson fraîche ou chaude. Arrangez l'oreiller et proposez-lui d'enlever ses chaussures. Parlez dune voix douce, apaisante et plaisante. Ne lui posez pas de questions sur ce qu'il a fait et ne remettez jamais en cause son jugement ou son intégrité. Souvenez-vous qu'il est le maître du foyer et qu'en tant que tel, il exercera toujours sa volonté avec justice et honnêteté.

 

LORSQU'IL A FINI DE SOUPER, DÉBARRASSEZ LA TABLE ET FAITES RAPIDEMENT LA VAISSELLE

Si votre mari se propose de vous aider, déclinez son offre car il risquerait de se sentir obligé de la répéter par la suite et après une longue journée de labeur, il n'a nul besoin de travail supplémentaire. Encouragez votre mari à se livrer à ses passe-temps favoris et à se consacrer à ses centres d'intérêt et montrez-vous intéressée sans toutefois donner l'impression d'empiéter sur son domaine. Si vous avez des petits passe-temps vous-même, faites en sorte de ne pas l'ennuyer en lui parlant, car les centres d'intérêts des femmes sont souvent assez insignifiants comparés à ceux des hommes.

 

A LA FIN DE LA SOIRÉE

rangez la maison afin quelle soit prête pour le lendemain matin et pensez à préparer son petit déjeuner à l'avance. Le petit déjeuner de votre mari est essentiel s'il doit faire face au monde extérieur de manière positive. Une fois que vous vous êtes tous les deux retirés dans la chambre à coucher, préparez-vous à vous mettre au lit aussi promptement que possible.

 

BIEN QUE L'HYGIÈNE FÉMININE

soit dune grande importance, votre mari fatigué ne saurait faire la queue devant la salle de bain, comme il aurait à la faire pour prendre son train. Cependant, assurez-vous d'être à votre meilleur avantage en allant vous coucher. Essayez d'avoir une apparence qui soit avenante sans être aguicheuse. Si vous devez vous appliquer de la crème pour le visage ou mettre des bigoudis, attendez son sommeil, car cela pourrait le choquer de s'endormir sur un tel spectacle.

 

EN CE QUI CONCERNE LES RELATIONS INTIMES AVEC VOTRE MARI,

il est important de vous rappeler vos voeux de mariage et en particulier votre obligation de lui obéir. S'il estime qu'il a besoin de dormir immédiatement, qu'il en soit ainsi. En toute chose, soyez guidée par les désirs de votre mari et ne faites en aucune façon pression sur lui pour provoquer ou stimuler une relation intime.

 

SI VOTRE MARI SUGGÈRE L'ACCOUPLEMENT,

Acceptez alors avec humilité tout en gardant à l'esprit que le plaisir d'un homme est plus important que celui dune femme, lorsqu'il atteint l'orgasme, un petit gémissement de votre part l'encouragera et sera tout à fait suffisant pour indiquer toute forme de plaisir que vous ayez pu avoir.

 

SI VOTRE MARI SUGGÈRE UNE QUELCONQUE PRATIQUE MOINS COURANTE,

montrez-vous obéissante et résignée, mais indiquez votre éventuel manque d'enthousiasme en gardant le silence. Il est probable que votre mari s'endormira alors rapidement ; ajustez vos vêtements, rafraîchissez-vous et appliquez votre crème de nuit et vos produits de soin pour les cheveux.

 

VOUS POUVEZ ALORS REMONTER LE RÉVEIL

afin d'être debout peu de temps avant lui le matin. Cela vous permettra de tenir sa tasse de thé du matin à sa disposition lorsqu'il se réveillera

 

Par maâyana - Publié dans : humour
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Vendredi 29 août 5 29 /08 /Août 09:36



Nous recherchons tous au travers du net quelqu'un
Nous ne savons plus discuter dans un bar, ou un restaurant avec des inconnus
Alors nous allons sur le net
Nous avons nos envies, nos désirs, nos critères

Et oui, nous en avons tous 

Alors le biais de site, vive l'Internet, nous rentrons en contact ...
Contact subtil, intéressant, intrigant
Mais aussi parfois lamentable

Qui n'a pas reçu un jour un : bsr ou un slt
Aurait- on enlevé les voyelles du clavier de ses Messieurs ?

Vous remarquerez que je ne dis pas dominateur ......sourire 

Passé ce premier stade, la foire aux questions commencent
L'homme est bien plus curieux que la femme

 Mais comme pour tout : il y a questions et questions ... 


Au fil de l'eau de mes discussions, je distinguerai quatre groupes 

  • - l'entretien de recrutement
  • - la liste des courses
  • - le chasseur pressé
  • - les hommes biens

L'entretien de recrutement 

Les questions se rapportent au physique, sous prétexte de se faire une image de la personne
L'imaginaire crée des visions qui sont souvent en dehors  de la réalité

Ensuite viens, le numéro de tel : pour vérifier que tu es bien une femme ..rires
Et ils vous donnent leurs numéros ,souci d'économie peut être....rires

 Puis la photo par mail : et oui : il faut savoir si physiquement on plait
Avant même de savoir, si les neurones fonctionnent
Mais pour un 5 à 7 vite fait , pas besoin de neurones, juste un physique suffit .... Rires

Et évidemment, si les réponses ne conviennent pas, vous n'êtes pas recrutée ....
Encore aurait- il fallu qu'on le veuille.........rires


 La liste des courses

 Au cas ou vous seriez une extra terrestre, on vous demande vos pratiques
Et là, nous nous retrouvons au super marché ...Liste en main : 

Fessée
Liens
Plug
God
Pinces
Positions sexuelles 

La liste n'est pas exhaustive .....quoique ....rires
Et là, si les réponses à la liste ne sont, ni complètes, ni détaillées
Vous êtes zappés ......rires


 Le chasseur pressé

 Lui ne vous dit pas bonjour*
Il vous donne un ordre et attend d'être obéi
Et oui, réaliser très vite en virtuel, ce qu'il ne réaliserait pas en réel

 
Les hommes biens

Il en existe, j’ai eu le plaisir d’en côtoyer certains

Ils sont généreux, cultivés, agréables, surs, fiables

Merci à vous d’exister, et de nous faire exister

Avec vous la magie s’installe et la beauté revit

Et qui fait que ce milieu reste agréable

 

Par maâyana - Publié dans : humour
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Jeudi 28 août 4 28 /08 /Août 19:18

Au hasard des lectures je suis tombee sur ce test
Je vous donne le lien et vous communique mes résultats


Vous êtes fessophile à 69%
http://www.okcupid.com/tests/take?testid=18110863740835808096

Amusez vous bien

Par maâyana - Publié dans : humour
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Mardi 26 août 2 26 /08 /Août 22:34

Oh vous, le visiteur du soir,
Qui redonnez un peu d'espoir.
A l'heure, où dans la nuit tranquille,
s'éteint la rumeur de la ville.
Entrez, entrez, fermez la porte,
c'est un grenier, que vous importe.
Que ce ne soit pas un palais,
que tout soit beau, que tout soit laid.

Puisque seuls, tous deux, nous saurons,
si je suis reine, ou cendrillon.
Je suis tremblante et toute émue,
pour vous, je suis une inconnue.
Vous accueillant très simplement,
 comme un ami de tout moment.
                                            Quand vous partez, j'ai dans la tête,
                                            un peu de joie, beaucoup de rêves.
                                            Fermez doucement, cette porte,
                                           sur un palais, que vous importe

Par maâyana - Publié dans : pensées
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Présentation

Qui suis je ?

 Je suis tout simplement une femme tantôt rêveuse, tantôt romantique avec son petit caractère d'enfant gaté, je suis quelqu'un d'un peu trop introverti en société qui a beaucoup plus de  facilité a s'exprimer par l'écriture même si je me soigne

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