Ces mots que tu m'écris et qui éveillent en moi des images folles de
sensualité et de plaisir partagés....
Je suis liane et je m'enroule autour de tes mots que j'emprisonne et m'approprie.
Je suis vague.
Et tu es le flux et le reflux et je me laisse bercer et emporter par ce flot d'infini sensualité.
Je divague au gré de tes délires sans opposer aucune résistance à cette lame de fond qui m'entraîne.
Je suis sans force et je suis femme.
Objet de plaisir et de convoitise. Je me donne et m'ouvre.
Mon sexe se mouille d'embruns opalescents jaillis du plus profond de mes abysses.
Ta langue me fouille et s'abreuve de ce liquide d'amour né de mes
entrailles qui t’ ensorcelle de son odeur suave.
A mon tour je m'enivre de la senteur musquée de ton corps.
Ma langue te goûte avec délectation.
S'aventure.... S'enroule...
Se perd dans les méandres de ton corps.
Transpiration mêlée. Corps qui se cherchent. Combat sans vainqueur.
Je me donne.
Tu prends.
Et je gémis sous tes coups.
Violence et douceur.
Plaisir et douleur.
Je ne sais plus.
Je suis toute à la fois maîtresse de ton plaisir et esclave de tes désirs.
Je crie.
Tu ries de mon émoi.
Tu me plies à tes exigences et je me soumets dans un gémissement.
Eblouissement. Mon cœur explose.
Tu fustiges mes fesses à les faire se cramoisir.
Mes larmes coulent de bonheur, de souffrance.
Je ne sais plus.
Je ne suis plus à moi en étant à toi.
Lanières de cuir qui me brûlent.
Douceur de ta bouche au creux de ma nuque.
Etau de tes doigts sur mes seins qui gonflent et se tendent.
Tendresse de tes mains qui m'effleurent.
Je ne sais plus.
Caresse de ta voix qui se mêle à mes cris.
Limites sans cesse reculées du plaisir et de la douleur qui se mêlent et se confondent.
Je hurle du bonheur d'être femme.
Explosion de sensations.
Voyage immobile aux confins du désir qui me laisse sans force.
Pour un ami qui m'est cher
Pour une personne rare
Que l'on ne trouve pas
Pas souvent
Pour un noble prince
Qui par chacun de ses passages
Sèchent mes larmes
Pour un magnifique ami
Qui me console tendrement
Pour toi mon cher ami
Pour toi que je n’ai jamais rencontré
Mais tes mots me soulagent
Tu partages mes peines, tu es toujours à mes côtés
Un fidèle ami, avec douceur tu es devenu
Tu m’as rendu ma confiance en moi
Par de simples mots
Mais ils sont écrits avec ton coeur
C’est cela que j'aime en toi
Tu es noble
Une grande place dans mon coeur tu as
Et notre amitié à laquelle je crois
Je souhaite qu'elle soit éternelle
Effeuillons les déplacements de(s) sens.
Ceux des mots, Ceux des maux qui tanguent
Entre l’être triomphant et les chaînes au corps,
Réalité entièrement compatible avec le rêve.
Trouver au fond de soi jusqu’à sa liberté,
Cette porte entrouverte derrière l’ombre,
Au milieu d’un mur où la chaux,
Comme ses effets qu’elle enlève, part en morceaux.
Nous mourons mille fois par jour
(Et que dire du temps d’une vie…)
Mais on renaît aussi, de caresses ou de coups,
Cent mille fois bien mieux après un ouragan.
Tout est question de préférences.
Elle aime les ombres quand elles s’abaissent,
Le soir et les endroits obscurs.
Lente, elle marche, rasant les murs.
Comme une magie de l'enfance,
Cachée du monde, elle voit
Ce que les autres ne voient pas,
Ce que personne n’imagine.
Elle est le récit d’autres pas,
La poésie d’une autre paix
Sur une route de graviers.
Le scénario ne prévoit pas de cris
Mais des silences assumés,
Ces silences capables de rendre les bruits
Des chaînes de l’esprit,
Et les odeurs d'une vie
Désirée depuis toujours.
Le scénario ne prévoit pas de cris
Mais une attente.
L’attente du moment où tout bascule,
Lorsque l’on s’aperçoit que ce n’est plus un jeu,
Que le masque est tombé.
Le scénario ne prévoit pas de cris,
Seulement l’abandon, l’appartenance,
Tandis que le corps commence à vibrer
Entre plaisir et douleur
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