Lundi 1 septembre 1 01 /09 /Sep 15:31

Tu m’as déshabillée ne conservant que mes bas  et mes escarpins et m’a allongée sur la table sur laquelle je suis maintenant attachée, écartelée.

 

 A chaque extrémité de la table d'épaisses bougies en cire blanche plantées dans quatre lourds candélabres d'argent

nimbent mon corps frémissant des reflets chatoyants de leur flamme dorée.

 

Tu m’as étroitement lié mes poignets avec de solides sangles de cuir. Tu as fait de même avec mes chevilles, jambes maintenues relevées.

Une lourde chaîne aux épais maillons d'acier massif s'entrelace  sur mon ventre.

Je me suis  laissée ligotée sans un mot. Me soumettant tranquillement à ton désir de me  posséder.

Mes yeux écarquillés et brillants laissent transpirer ma crainte. Mon impatience aussi... Ma détermination.

Mon sexe lisse est entièrement offert.

 Je suis tendue. Non, le mot exact est concentrée. C'est cela, entièrement concentrée sur ce que je ressens.

 Vivant intensément chacun de ces instants.

Anticipant déjà la souffrance à venir. Le plaisir....

 

Tu t'approches de moi. Ta main m'effleure doucement.

Tu caresses doucement ma poitrine, mon ventre, mes épaules.

 Ton doigt glisse sur mon pubis. Frôle la fente de mon sexe.

Caresse d'une insupportable douceur que tu fais durer à dessein et qui me fait frémir les sens en alerte.

Tu jettes un œil vers le martinet que tu as disposé à portée de ma main.

 La règle de notre jeu est simple.

Interdiction absolue pour moi de jouir sans ta permission sous peine de devoir être durement punie.

Brutalement tu resserres ton étreinte sur mon sein

Première douleur qui m’arrache un râle plus de surprise que de réelle souffrance.

 Mes yeux plongent dans les tiens alors que ton étreinte se fait plus dure. Je soutiens ton regard. Tu serres plus fort.
Tu entends mon souffle s'accélérer sous la douleur qui taraude mon sein. Mes lèvres se crispent.

Le visage tendu sous la souffrance qui ravage mon sein, simples prémisses, je le sais, des douleurs plus grandes à venir.

Mes yeux plantés dans les tiens qui ne cillent pas. Plus fort. Un moment tu restes ainsi ma main rivée à mon sein.

Tu desserres ton étreinte. Mes lèvres exhalent un soupir de soulagement.

 Tu serres mon mamelon dans l'étau de tes doigts resserrés. Tire dessus. Mon souffle se suspend.

Tu tires plus fort. L'étire sauvagement insensible à la souffrance que tu m’infliges.

L'autre maintenant, un long moment, tu t'amuses ainsi. Allant d'un sein à l'autre, les étreignant durement à tour de rôle,

me sentant frémir et me tendre quand tes doigts se referment et serrent.

Puis tu m'abandonnes brusquement. Un soupir s'échappe de mes lèvres.

Alors tu te saisis d'une paire de pinces en acier et, délicatement, en sertis chacun de mes tétons. Les pinces se referment sur les chairs endolories.

Je ne dis rien et retiens ma plainte quand les pinces enserrent mes mamelons dans un carcan de douleur.

Tu te  saisis d'une longue corde. Une première boucle s'enroule autour de mon sein droit. La deuxième boucle est pour mon sein gauche.

Tu fais glisser la corde autour de ma nuque puis la tend faisant dans le mouvement remonter mes seins vers mon visage. Je ne dis rien. Seul le

halètement précipité de mon souffle laisse deviner ce que j’endure.

 

Commence alors, un supplice plus subtil qui consiste pour toi à me transformer en objet de jouissance.

Longuement, tu effleures doucement mon ventre, mes épaules, mon pubis. 

Tes mains se font tendres. Tes lèvres sont baisers.

Tu caresses tendrement mon corps frémissant que les souffrances que je viens d'endurer loin d'éteindre mon désir, ont rendu réceptif.

Tes doigts se font aventureux et se perdent dans les méandres de mon vagin mouillé.

Ta bouche se pose sur mon clitoris palpitant et gonflé. Ta langue le titille. L'aspire. Le lèche. 

Tu frôles de ta langue mes lèvres. Vertige. Affolement des sens. Eblouissement soudain.

Mon corps se tend, se défend contre ce déferlement impétueux de sensations qui m'affole.

 Ta bouche tout entière me fait défaillir.

Soudain, malgré tous mes efforts, je jouis, envahie par une marée d'orgasmes interdits qui s'empare de mes sens.

Jouissance qui me conduit doucement à la punition

Tu dénoues les liens qui me ligotent à la table, me libère de la corde qui étreint mes seins

 

Sans un mot, tu prends mes poignets et tu refermes  autour les anneaux qui sont accrochés à la poutre de bois sombre..

Une première fois, les lanières du martinet m’effleurent. Presque timidement.

Comme une caresse qui ne saurait dire son nom. Peu à peu, ton geste s'affermit.

Les lanières claquent. Les minutes et les coups défilent et enfin tu stoppes.

 

Enfin tienne. Ayant enfin abandonné toute défense.

 Corps martyrisé et pourtant comblé.

 

Mais ce n'est pas encore fini pour moi.

Tu me réserves ce soir une dernière épreuve.

Tu m’installes courbée contre la table. Le torse appuyé contre le plateau. Jambes bien écartées, mes fesses tendues vers toi.

De nouveau tu me lies les poignets et les chevilles. M'immobilisant dans cette posture impudique.

Tu prends un épais god. Tu le fais lentement glisser sur mon dos.  Je m'abandonne à cette caresse. Ta main dans ma chevelure, tu

tires ma tête en arrière, me fait relever mon visage et présente à mes lèvres l’objet. Pour que je l'humecte de ma

salive afin qu'il puisse aisément glisser en moi. Tu me dis alors tu vas  l'introduire dans mon cul. Que tu vas m'enculer avec.

A dessein tu utilises ces mots qui me cinglent par leur brutalité et leur vulgarité.

Leur sonorité quoique grossière engendre aussi en moi une excitation profonde qui est la réponse à la rougeur qui allume mes joues.

M'humilier autant par tes mots que par tes gestes.

Tu descends lentement le god, atteints l’étroit que tu convoites et pose l'engin monstrueux sur mon anus.

Tu me vois me crisper instinctivement au contact. Tu m’ordonnes de me relâcher.

Que rien n'arrêtera l'intrusion. Que tu vas ouvrir mon cul. Et l'emplir. Tu appuies lentement.

Plaisir indicible de forcer l'entrée étroite qui se refuse. De l'ouvrir démesurément. D'entendre mes geignements craintifs. J’ai peur. Tu le sens.

 Et cela, loin de t'arrêter, amplifie au contraire ta détermination à perforer son entrée la plus intime. A l'écarteler. Tu appuies. Je crie. De douleur.

Que t'importe. Jouissance infinie de voir le god énorme disparaître peu à peu dans le gouffre noir qui se dilate sous la poussée irrésistible.

Je me tends sous l'intrusion. Râle doucement. Mais ne bouge pas le corps bloqué par la table.

Tu continues ta progression sourd à ma plainte. Tu sens mes résistances fondre sous l'avancée impérieuse de ce soc inhumain qui m'écartèle sauvagement.

 Le god est maintenant entièrement fiché en moi.

Seule dépasse son extrémité évasée, de mon cul maintenant béant

 

Tu le retires , et c’est ta queue qui va prendre sa place

 

Afin que cette soumission s’inscrive dans des chairs si peu utilisés

Amener au rang de putain, par cette pénétration non désirée

Et tu ne jouiras pas dans mon cul , cela eut été un trop belle récompense  

Par maâyana - Publié dans : irréel
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 Je suis tout simplement une femme tantôt rêveuse, tantôt romantique avec son petit caractère d'enfant gaté, je suis quelqu'un d'un peu trop introverti en société qui a beaucoup plus de  facilité a s'exprimer par l'écriture même si je me soigne

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