Il y a comme une fièvre et un désir
Qui occupe toutes mes pensées
Comme une lumière qui enveloppe
Le temps, les lieux et les objets.
Mes rêves, mes fantasmes, mes cris,
Les mots sur le papier que je noircis,
Tout vient se confondre en un point,
Le refuge de votre corps si lointain.
Vivre ce que nos heures passées nous font réver
C’est sur votre regard que tout viendra à la fin se heurter
Et il ne sera plus question de voir qu’au travers de vous
Pour se terminer dans le refuge de votre corps aimé.
L’envie de vous est dans mes veines, ma peau, mon sang,
C’est une invasion permanente, un étau qui m’emprisonne,
Une aiguille fixée dans mon esprit pour y battre les heures.
Tout ce qui n’est pas de vous n’est pas la vie, n’est pas le temps.
Avril 2025 | ||||||||||
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