irréel

Jeudi 2 octobre 4 02 /10 /Oct 19:58


Il y a des parfums de renouveau dans la lumière de cette journée

 

La luminosité de ces premiers  jours d’automne, est éblouissante

Le matin est un peu frais , la terre se met au repos

Les rayons du soleil la réchauffent

 

Comme les caresses de la plume réveillent le corps

 

L’automne , la saison ou la terre s’endort pour quelques mois

 

Pourtant , elle a  comme une impression au fond d’elle

 

Qu’elle ne va pas faire comme la terre

 

Que  c’est le printemps de son esprit et de son corps

 

Un vide se comblerait –il ?

 

Sur une musique d’Enigma

Son esprit imagine et son corps en frisonne

Elle revoit leurs discussions , leurs rencontres

 

Elle aimerait lui dire ceci

 

Je Te provoque gentiment histoire de voir Ta réponse
Tu pinces très fort et très longuement un bout de ma paume entre Tes ongles et, bien sûr, je ne dois pas crier. 

 

Je Te regarde. Je Te trouve beau et je Te le dis.
Toi, ça Te fait sourire.

C’est drôle comme nous sommes habitués à l’inverse, l’hommage rendu verbalement à la beauté de la femme.

Quand on dit ça à un homme, il est quasiment gêné.

 

Je Te trouve beau. Les mains. Les yeux surtout. Ta peau de bébé Cadum aussi

 

Tes yeux donc. Tu as un regard incroyablement bon.

Chaque fois, cela m’époustoufle.

Tu as le regard le plus humain qu’il m’ait été donné de connaître.

Un regard chaud, tendre, malicieux, d’une douceur et d’une indulgence extrême.

  

Et toujours avec ces yeux-là…

   

Avec ces yeux-là.

 

Ce sont les mêmes yeux qui me regardent dans l’or des nuits, quand de temps à autre, j’entrouvre les miens.

Ils sont juste un peu plus flous, un peu plus lointains ou bien est-ce moi qui voit tout comme dans de la ouate, tout au ralenti…

 

Même Ton regard d’amant, Ton regard de Dom est bon…

 

 

 

 

 

Par maâyana - Publié dans : irréel
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Dimanche 28 septembre 7 28 /09 /Sep 11:47


Ces mots que tu m'écris et qui éveillent en moi des images folles de

sensualité et de plaisir partagés....

 

 

Je suis liane et je m'enroule autour de tes mots que j'emprisonne et m'approprie.

Je suis vague.

Et tu es le flux et le reflux et je me laisse bercer et emporter par ce flot d'infini sensualité.

 Je divague au gré de tes délires sans opposer aucune résistance à cette lame de fond qui m'entraîne.

 Je suis sans force et je suis femme.

 Objet de plaisir et de convoitise. Je me donne et m'ouvre.

 

Mon sexe se mouille d'embruns opalescents jaillis du plus profond de mes abysses.

Ta langue me fouille et s'abreuve de ce liquide d'amour né de mes

entrailles qui t’ ensorcelle de son odeur suave.
A mon tour je m'enivre de la senteur musquée de ton corps.

Ma langue te goûte avec délectation.

S'aventure.... S'enroule...

 Se perd dans les méandres de ton corps.

Transpiration mêlée. Corps qui se cherchent. Combat sans vainqueur.

Je me donne.

Tu prends.

Et je gémis sous tes coups.

Violence et douceur.

Plaisir et douleur.

Je ne sais plus.

 Je suis toute à la fois maîtresse de ton plaisir et esclave de tes désirs.

Je crie.

Tu ries de mon émoi.

Tu me plies à tes exigences et je me soumets dans un gémissement.

Eblouissement. Mon cœur explose.

 

Tu fustiges mes fesses à les faire se cramoisir.

Mes larmes coulent de bonheur, de souffrance.

Je ne sais plus.

Je ne suis plus à moi en étant à toi.

Lanières de cuir qui me brûlent.

Douceur de ta bouche au creux de ma nuque.

Etau de tes doigts sur mes seins qui gonflent et se tendent.

Tendresse de tes mains qui m'effleurent.

Je ne sais plus.

Caresse de ta voix qui se mêle à mes cris.

 Limites sans cesse reculées du plaisir et de la douleur qui se mêlent et se confondent.

Je hurle du bonheur d'être femme.

Explosion de sensations.

Voyage immobile aux confins du désir qui me laisse sans force.

Par maâyana - Publié dans : irréel
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Vendredi 19 septembre 5 19 /09 /Sep 07:04

 

Effeuillons les déplacements de(s) sens.

Ceux des mots, Ceux des maux qui tanguent

Entre l’être triomphant et les chaînes au corps,

Réalité entièrement compatible avec le rêve.

 

Trouver au fond de soi jusqu’à sa liberté,

Cette porte entrouverte derrière l’ombre,

Au milieu d’un mur où la chaux,

Comme ses effets qu’elle enlève, part en morceaux.

 

Nous mourons mille fois par jour

(Et que dire du temps d’une vie…)

Mais on renaît aussi, de caresses ou de coups,

Cent mille fois bien mieux après un ouragan.

 

  

Tout est question de préférences.

Elle aime les ombres quand elles s’abaissent,

Le soir et les endroits obscurs.

Lente, elle marche, rasant les murs.

Comme une magie de l'enfance,

Cachée du monde, elle voit

Ce que les autres ne voient pas,

Ce que personne n’imagine.

Elle est le récit d’autres pas,

La poésie d’une autre paix

Sur une route de graviers.

 

 

Le scénario ne prévoit pas de cris

Mais des silences assumés,

Ces silences capables de rendre les bruits

Des chaînes de l’esprit,

Et les odeurs d'une vie

Désirée depuis toujours.

 

Le scénario ne prévoit pas de cris

Mais une attente.

L’attente du moment où tout bascule,

Lorsque l’on s’aperçoit que ce n’est plus un jeu,

Que le masque est tombé.

 

Le scénario ne prévoit pas de cris,

Seulement l’abandon, l’appartenance,

Tandis que le corps commence à vibrer

Entre plaisir et douleur 

Par maâyana - Publié dans : irréel
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Lundi 1 septembre 1 01 /09 /Sep 15:31

Tu m’as déshabillée ne conservant que mes bas  et mes escarpins et m’a allongée sur la table sur laquelle je suis maintenant attachée, écartelée.

 

 A chaque extrémité de la table d'épaisses bougies en cire blanche plantées dans quatre lourds candélabres d'argent

nimbent mon corps frémissant des reflets chatoyants de leur flamme dorée.

 

Tu m’as étroitement lié mes poignets avec de solides sangles de cuir. Tu as fait de même avec mes chevilles, jambes maintenues relevées.

Une lourde chaîne aux épais maillons d'acier massif s'entrelace  sur mon ventre.

Je me suis  laissée ligotée sans un mot. Me soumettant tranquillement à ton désir de me  posséder.

Mes yeux écarquillés et brillants laissent transpirer ma crainte. Mon impatience aussi... Ma détermination.

Mon sexe lisse est entièrement offert.

 Je suis tendue. Non, le mot exact est concentrée. C'est cela, entièrement concentrée sur ce que je ressens.

 Vivant intensément chacun de ces instants.

Anticipant déjà la souffrance à venir. Le plaisir....

 

Tu t'approches de moi. Ta main m'effleure doucement.

Tu caresses doucement ma poitrine, mon ventre, mes épaules.

 Ton doigt glisse sur mon pubis. Frôle la fente de mon sexe.

Caresse d'une insupportable douceur que tu fais durer à dessein et qui me fait frémir les sens en alerte.

Tu jettes un œil vers le martinet que tu as disposé à portée de ma main.

 La règle de notre jeu est simple.

Interdiction absolue pour moi de jouir sans ta permission sous peine de devoir être durement punie.

Brutalement tu resserres ton étreinte sur mon sein

Première douleur qui m’arrache un râle plus de surprise que de réelle souffrance.

 Mes yeux plongent dans les tiens alors que ton étreinte se fait plus dure. Je soutiens ton regard. Tu serres plus fort.
Tu entends mon souffle s'accélérer sous la douleur qui taraude mon sein. Mes lèvres se crispent.

Le visage tendu sous la souffrance qui ravage mon sein, simples prémisses, je le sais, des douleurs plus grandes à venir.

Mes yeux plantés dans les tiens qui ne cillent pas. Plus fort. Un moment tu restes ainsi ma main rivée à mon sein.

Tu desserres ton étreinte. Mes lèvres exhalent un soupir de soulagement.

 Tu serres mon mamelon dans l'étau de tes doigts resserrés. Tire dessus. Mon souffle se suspend.

Tu tires plus fort. L'étire sauvagement insensible à la souffrance que tu m’infliges.

L'autre maintenant, un long moment, tu t'amuses ainsi. Allant d'un sein à l'autre, les étreignant durement à tour de rôle,

me sentant frémir et me tendre quand tes doigts se referment et serrent.

Puis tu m'abandonnes brusquement. Un soupir s'échappe de mes lèvres.

Alors tu te saisis d'une paire de pinces en acier et, délicatement, en sertis chacun de mes tétons. Les pinces se referment sur les chairs endolories.

Je ne dis rien et retiens ma plainte quand les pinces enserrent mes mamelons dans un carcan de douleur.

Tu te  saisis d'une longue corde. Une première boucle s'enroule autour de mon sein droit. La deuxième boucle est pour mon sein gauche.

Tu fais glisser la corde autour de ma nuque puis la tend faisant dans le mouvement remonter mes seins vers mon visage. Je ne dis rien. Seul le

halètement précipité de mon souffle laisse deviner ce que j’endure.

 

Commence alors, un supplice plus subtil qui consiste pour toi à me transformer en objet de jouissance.

Longuement, tu effleures doucement mon ventre, mes épaules, mon pubis. 

Tes mains se font tendres. Tes lèvres sont baisers.

Tu caresses tendrement mon corps frémissant que les souffrances que je viens d'endurer loin d'éteindre mon désir, ont rendu réceptif.

Tes doigts se font aventureux et se perdent dans les méandres de mon vagin mouillé.

Ta bouche se pose sur mon clitoris palpitant et gonflé. Ta langue le titille. L'aspire. Le lèche. 

Tu frôles de ta langue mes lèvres. Vertige. Affolement des sens. Eblouissement soudain.

Mon corps se tend, se défend contre ce déferlement impétueux de sensations qui m'affole.

 Ta bouche tout entière me fait défaillir.

Soudain, malgré tous mes efforts, je jouis, envahie par une marée d'orgasmes interdits qui s'empare de mes sens.

Jouissance qui me conduit doucement à la punition

Tu dénoues les liens qui me ligotent à la table, me libère de la corde qui étreint mes seins

 

Sans un mot, tu prends mes poignets et tu refermes  autour les anneaux qui sont accrochés à la poutre de bois sombre..

Une première fois, les lanières du martinet m’effleurent. Presque timidement.

Comme une caresse qui ne saurait dire son nom. Peu à peu, ton geste s'affermit.

Les lanières claquent. Les minutes et les coups défilent et enfin tu stoppes.

 

Enfin tienne. Ayant enfin abandonné toute défense.

 Corps martyrisé et pourtant comblé.

 

Mais ce n'est pas encore fini pour moi.

Tu me réserves ce soir une dernière épreuve.

Tu m’installes courbée contre la table. Le torse appuyé contre le plateau. Jambes bien écartées, mes fesses tendues vers toi.

De nouveau tu me lies les poignets et les chevilles. M'immobilisant dans cette posture impudique.

Tu prends un épais god. Tu le fais lentement glisser sur mon dos.  Je m'abandonne à cette caresse. Ta main dans ma chevelure, tu

tires ma tête en arrière, me fait relever mon visage et présente à mes lèvres l’objet. Pour que je l'humecte de ma

salive afin qu'il puisse aisément glisser en moi. Tu me dis alors tu vas  l'introduire dans mon cul. Que tu vas m'enculer avec.

A dessein tu utilises ces mots qui me cinglent par leur brutalité et leur vulgarité.

Leur sonorité quoique grossière engendre aussi en moi une excitation profonde qui est la réponse à la rougeur qui allume mes joues.

M'humilier autant par tes mots que par tes gestes.

Tu descends lentement le god, atteints l’étroit que tu convoites et pose l'engin monstrueux sur mon anus.

Tu me vois me crisper instinctivement au contact. Tu m’ordonnes de me relâcher.

Que rien n'arrêtera l'intrusion. Que tu vas ouvrir mon cul. Et l'emplir. Tu appuies lentement.

Plaisir indicible de forcer l'entrée étroite qui se refuse. De l'ouvrir démesurément. D'entendre mes geignements craintifs. J’ai peur. Tu le sens.

 Et cela, loin de t'arrêter, amplifie au contraire ta détermination à perforer son entrée la plus intime. A l'écarteler. Tu appuies. Je crie. De douleur.

Que t'importe. Jouissance infinie de voir le god énorme disparaître peu à peu dans le gouffre noir qui se dilate sous la poussée irrésistible.

Je me tends sous l'intrusion. Râle doucement. Mais ne bouge pas le corps bloqué par la table.

Tu continues ta progression sourd à ma plainte. Tu sens mes résistances fondre sous l'avancée impérieuse de ce soc inhumain qui m'écartèle sauvagement.

 Le god est maintenant entièrement fiché en moi.

Seule dépasse son extrémité évasée, de mon cul maintenant béant

 

Tu le retires , et c’est ta queue qui va prendre sa place

 

Afin que cette soumission s’inscrive dans des chairs si peu utilisés

Amener au rang de putain, par cette pénétration non désirée

Et tu ne jouiras pas dans mon cul , cela eut été un trop belle récompense  

Par maâyana - Publié dans : irréel
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Vendredi 8 août 5 08 /08 /Août 15:58


Cannes n'avait jamais été aussi beau aux yeux de Catherine. Celle-ci marchait, de plus en plus vite, gagné par l'excitation.... Celle-ci rejoignait son maître pour leur premier rendez- vous et gagnée par l'excitation, elle crut défaillir. Apercevant le vol d'un oiseau, elle se prit à rêver de un voyage, un long et beau voyage... aux côtés de celui qui la rejoignait.

 Car au plus profond d'elle-même elle ressentait ce besoin de domination, et elle était prête à donner la clef de son esprit à cet homme, son Prince.

 

Elle s'était préparée avec grand soin et avait beaucoup hésité sur la tenue qu'elle allait revêtir. Son choix s'était porté sur une robe noire légèrement moulante qui laissait apercevoir ses courbes.


Perdue dans ses pensées, elle sursauta lorsqu'elle entendit sa voix dans la nuit. Son cœur se mit à battre dans sa poitrine, enfin il était là, et elle était prête à combler tous ses désirs et à se plier à toutes ses exigences.

 
Il la conduisit vers un lieu qui lui était inconnue. Il entra avec cette démarche qui n'appartenait qu'à lui. Arrivé au salon, il s'assit dans un fauteuil et soupira. Il leva la tête vers Catherine, et lui sourit.  Alors, sans dire un mot, il la fit se pencher vers lui et commença à prendre possession d'elle avec force, sévérité et exigence mélange de domination et de respect pour celle qui se donnait à lui..


Plusieurs minutes s'écoulèrent. Puis Catherine poussa un cri qui résonna dans la pièce comme une brise sur l'océan. Il n'en fallut pas plus à Catherine pour lui saisir le bras et lui offrir de nouveau son corps. Les deux êtres eurent cette fois l'impression d'être emportés dans une tempête. Sur un océan rouge sang. Leurs souffles s'échouaient invariablement dans les hurlements du vent, et les gifles des vagues leur faisaient fermer les yeux. C'était beau, c'était puissant, comme un tableau de Gauguin. Tout rugissait autour d'eux, ils étaient enfermés dans une parenthèse qui les épargnait des griffes du cyclone, des griffes signant leur passage d'une trace de salive blanche et éphémère... tout tournait, des vertiges les prenaient,......................

Par maâyana - Publié dans : irréel
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Présentation

Qui suis je ?

 Je suis tout simplement une femme tantôt rêveuse, tantôt romantique avec son petit caractère d'enfant gaté, je suis quelqu'un d'un peu trop introverti en société qui a beaucoup plus de  facilité a s'exprimer par l'écriture même si je me soigne

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