pensées

Jeudi 18 septembre 4 18 /09 /Sep 13:19

Elle se prépare ce matin, comme tous les matins

Pas pour les autres, pour elle tout simplement

 

Un coup d’œil dans le miroir,

Une mèche rebelle à remettre en place

Elle ne se trouve pas terrible ce matin

Un léger détail l’empêche de se voir vraiment

 

Comment définir cette absence qui n’en est pas une !

 Car il est là présent à sa manière

 

Elle est là en attente d’un signe

Elle est jalouse, inquiète, peureuse

Et si ce signe ne venait jamais

Il lui a fait des parvenir des signaux

 

Mais jamais le vrai, jamais le bon

 

Que cherche t-il ? Que veut il ? Le sait il lui même ?

 

Si elle pouvait arrêter de penser, tout serait si simple

Se contenter d’être là, présente, disponible juste au cas ou

 

Elle ne lui fera pas de grandes déclarations

Elle ne peut plus, elle n’ose plus

Il lui a juste un peu couper les ailes dans sa communication

 

Elle veut l’attendre, elle peut l’attendre

Peu importe la petite place qu’il lui accordera, elle s’y glissera

 

Elle ne le veut pas pour combler un vide

Elle le veut pour tout ce qu’elle peut lui donner

Et pour tout ce qu’il lui apportera

  

Car elle a une vie, remplie

Remplie de famille d’ami(e)s, de joie, de rires, de larmes

Elle n’est pas seule,

La solitude qu’elle s’accorde, c’est quand elle est seule chez elle

Qu’elle a coupé les téléphones, les messageries

Dans ces moments là, elle est seule par choix, par volonté

Ajourd'hui prisonnière de sa liberté
Demain, enchainée mais libre

Par maâyana - Publié dans : pensées
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Lundi 15 septembre 1 15 /09 /Sep 07:57

Constat d’échec

 

J’ai du mal à vous faire partager cet article…

Qu'il est diffcile de reconnaitre que l'on est passé à coté du meilleur
Que l'on a fait les frais d'un jeu de dupes et de manipulation
Il est temps pour moi d’écrire les choses telles qu’elles seront évoquées dans un futur proche.


Je crois qu’à cause d'évènements récents, d'un éloignement, de sentiments bizarres qui me viennent, je peux enfin concevoir ce qu’est pour moi l’appartenance.

 

 

L’appartenance ne peut au final se vivre que par la non-appartenance.

Je crois que cette sensation étrange, cette impression, ne peut se définir finalement que par son opposé.

Comment peut-on concevoir ce qu’est l’appartenance si de prime abord ce type de relation n’est fait que de mots forts, de sensations intenses criées, hurlées dans des ébats et des jeux extrêmes.


Qu’est-ce que c’est cette « appartenance » au quotidien, ce sentiment bizarre, monstre sentimental que je désire et dont j'ai besoin

 

 

La non-appartenance, c’est un poids sur mes épaules trop lourd à porter.

Le poids d’une impasse existentielle, d’un non-avenir avec l’être aimé, un ensemble de souffrances, qui s’évaporent dans le néant.

La non-appartenance, c’est un creux qui se gère au fond des tripes, un vide qui est là omniprésent au quotidien.

Quelque chose que l’on raisonne en se disant qu’il valait mieux que cela ne se fasse pas, qu’il y avait effectivement un « No Futur » écrit depuis le début.
Tout en sachant que l'on se ment à soi -même.
 

 

C’est rentrer chez soi dans le crépuscule en sachant que nul sms, ni coup de fil ne viendront perturber votre soirée.

Qu’aucune voix charmeuse et diabolique ne viendra bouleverser votre temps de décompression, celui nécessaire pour ré aborder le monde réel, un monde vide de sens au final.

Que votre boite e-mail sera vide de tous messages même laconiques…

Que la surface de « messenger » sera vide de toutes vagues moqueuses et piquantes d’une créature qui un temps venu vous a pris dans son piège à sentiments.

 

La non-appartenance c’est le néant existentiel dans cet univers où les maux se mêlent et fusionnent avec les mots.

 

Cela ne sera plus non plus ses dictats et envies insensés, cette course contre le temps, ces heures à espérer un rendez-vous.

Je ne devrais plus essayer de lui faire comprendre mon univers et ma conception là, où au final, la facilité lui semble naturelle.

Là où je ferais mille et une astuces pour me permettre de survivre,

 

Cette non-appartenance sera réflexions intenses, troubles et vides puis elle se comblera avec le quotidien, de bonnes raisons de vivre à nouveau, intensément, voire plus, d’échanger avec d’autres, de se croire à nouveau en communion parfaite, voire en osmose,
Seulement croire , "Just an Illusion"

 

Cette non-appartenance se sublimera au final, ne restant qu’un vague souvenir, une écume qui se délaiera dans les flots de la vie.

 

Et puis comme une vague, ce sentiment reviendra de temps en temps, plus doux, plus supportable.

 

Le temps aura fait son oeuvre, la vie reprendra…

 

 

Par maâyana - Publié dans : pensées
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Dimanche 14 septembre 7 14 /09 /Sep 18:16
Il n'est de montagne que l'on ne peut braver
Et quand l'amour nous gagne, il nous mène au sommet
Il n'est pas de torrent, même tourbillonnant
Qui ne soit indulgent l'espace d'un instant

Mais tant de barrières bâties en nos esprits
Incitent à revoir le chemin de la vie
Préférant le détour à la vaine espérance
Oublier les beaux jours, refuser la démence

Ce que l'on a vécu, le passé, les angoisses
Nous amène souvent à forger carapace
Lire un coeur est aisé mais quant au fond de l'âme
Elle reste mystère, à celui qui l'enflamme

Façonné par les ans, un mur infranchissable
Nous garde alors distants du partage équitable
Ne cessant de s'aimer deux êtres sous emprise
N'y ont trouvé ni faille, ni serrure ni prise

Cette paroi d'acier que j'ai tant essayé
D'abattre, à découvrir tes trésors cachés
A en perdre l'espoir, à poser mon veto
A en tourner le dos à un bonheur si haut

Par maâyana - Publié dans : pensées
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Lundi 8 septembre 1 08 /09 /Sep 09:44

Femmes de passions

Femmes des extrèmes

 

L’indifférence vous blesse

L’attente vous vide , vous épuise

Un seul signe vous dynamise

 

Ouragan destructeur parfois, vous etes

Il n’y a pas de gris, que du blanc et du noir

 

Affectives et ô combien subjectives

vous vivez les émotions sur le fil du couteau.


Tout en vous n’est que paroxysme, exacerbation

Egoïste, vous ? Sûrement pas !

Vous êtes la spontanéité même

Vous vivez l'instant intensément,

 

Vous vous donnez, vous donnez, votre âme et votre cœur sont purs

Les lachetés, mensonges et trahisons ont parfois raison de vous

 

 Mais s'il plaît à votre partenaire de vous inscrire sur son carnet de bal

 Jusqu'à ce que la musique ait fini de tourner

Attentives à suivre ses pas, vous en oublierez les autres cavaliers.
Par maâyana - Publié dans : pensées
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Dimanche 7 septembre 7 07 /09 /Sep 06:49

 

 

 

 

En rouge et noir.

Non pas en noir et blanc.

Cela serait quelque chose de trop schématique.

 

Mais le rouge et le noir…

Pense à Brel. Sors ces quatre lignes de tout le contexte de la chanson :

« Et quand vient le soir,

  Pour qu’un ciel flamboie

  Le rouge et le noir

  Ne s’épousent-ils pas ? »

 

Une relation qui unit deux êtres est faite de ces deux couleurs et de leur paradoxe.

Le feu de la passion.

Le froid de l’inconnu.

Le mariage des deux, c’est la confiance, c’est le respect.

 

Alors, l’inconnu fait chaud au coeur aussi.

Et nous sommes prêt à l’affronter auprès de celui qui nous a donné le feu.

Le feu pour se chauffer. Le feu pour s’ éclairer. Le feu pour aimer.

 

J’ai parfois été cendre. Tu es venu pour ranimer les braises qui couvaient tout en dessous et dont je ne sentais plus moi-même l’existence.

 

Que dire de la glace ? Sinon qu’elle est quelquefois le meilleur moyen de piquer au vif.

 

Tu es par moments cette glace lorsque se marie l’inaccessibilité pour Toi, le tout abandonner pour moi. Et c’est encore une glace qui brûle.

De feu d’enfer, de besoin, de dépendance

 

Le rouge. Le noir.

Le feu. La glace.

 

 

Par maâyana - Publié dans : pensées
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Mardi 26 août 2 26 /08 /Août 22:34

Oh vous, le visiteur du soir,
Qui redonnez un peu d'espoir.
A l'heure, où dans la nuit tranquille,
s'éteint la rumeur de la ville.
Entrez, entrez, fermez la porte,
c'est un grenier, que vous importe.
Que ce ne soit pas un palais,
que tout soit beau, que tout soit laid.

Puisque seuls, tous deux, nous saurons,
si je suis reine, ou cendrillon.
Je suis tremblante et toute émue,
pour vous, je suis une inconnue.
Vous accueillant très simplement,
 comme un ami de tout moment.
                                            Quand vous partez, j'ai dans la tête,
                                            un peu de joie, beaucoup de rêves.
                                            Fermez doucement, cette porte,
                                           sur un palais, que vous importe

Par maâyana - Publié dans : pensées
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Présentation

Qui suis je ?

 Je suis tout simplement une femme tantôt rêveuse, tantôt romantique avec son petit caractère d'enfant gaté, je suis quelqu'un d'un peu trop introverti en société qui a beaucoup plus de  facilité a s'exprimer par l'écriture même si je me soigne

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