Le blog de maâyana

Un jour vous me verrez sans fard,
Seulement vêtue d’une parure légère,
Lingerie fine, superbe guêpière,
Révélant des contours laissés au hasard
Sur mon décolleté, vos yeux s’attarderont
Des lacets satinés se délecteront
Ceux qui ajustent ma poitrine,
Vous livrant le tableau qu’elle esquisse
Sur mon dos vous paresserez
Frôlant les bretelles de soies tressées,
Parsemées de nœuds fins sur dentelles enlacées,
Comme des liens attachant l’inattachée
Votre impatience flattera mon corps
De cette symphonie vous créerez les majeurs
Au gré de ce tissu d’organza couvrant un trésor
Que mes hanches vous offrent sans pudeur