Le blog de maâyana


Quand les secondes de la nuit s’égrainent tel un supplice chinois

 Mes pensées font surface comme une litanie sans fin

Je dépasse mon monde d’onirisme et de chimères

Alors il ne reste rien, vraiment plus rien

Même les espoirs ténus se transforment en poussière

Seul le silence subsiste pour s’allier à l’attente incendiaire

Il n’y a plus qu’un miroir aux alouettes

Miroir sans tain, qui ne reflète pas les larmes

 

Une seule envie, une seule force reste intacte, inaliénable

Me relever chaque fois que je m’enfonce

Ne jamais capituler, franchir les obstacles

Oser, espérer, oublier les questions sans réponses

Couper les liens qui m’immobilisent et me retiennent

Pour un nouveau matin clair, calme et serein

Ven 28 aoû 2009 Aucun commentaire