Le blog de maâyana

 Votre soif de curiosité vous pousse à passer des heures sur le net, pour découvrir, voir comment cela se passe  ailleurs et cela dans tous les domaines, car vous êtres très éclectique et cela quel que soit le registre

Au cours de vos pérégrinations nocturnes sur la toile, un fantasme germa dans votre esprit

 

Celui de faire de moi une momie vivante non pas avec des bandelettes en tissu mais avec des bandes collantes argentées.

 

Vous vous êtes procuré le matériel, il ne restait plus qu'à passer à la réalisation de cet étrange embaumement

 

Je me mis à éclater en rire en pensant à la situation, certes devenir une momie était assez étrange

Mais c’est plus la fin de cet exercice qui me procura ce fou-rire

Adepte depuis des années des épilations et non des rasoirs, je me dis que cette fois j’allais en avoir une entière faite par les mains de mon Maître et non de maître

 

Je vous fis part de mes pensées, et au lieu de vous offusquer, votre rire se joignit au mien.

 

Quelques instants plus tard complètement entravée sur une table, à plat ventre les fesses tendues vers le ciel, les jambes écartées, indécente et vulnérable, mes genoux étaient très étroitement liés à des poteaux rendant impossible le moindre mouvement des hanches.

 

Puis commence l’activité manuelle de collage

 

Vous collez des bandes assez larges autour de mon corps, faites trois tours autour de mes cuisses, juste à la naissance de la cuisse, au côté de mes lèvres. Chaque cuisse ainsi entravée se détachait complètement de mon entrejambe.  La première passa juste sous les fesses, les relevant bien haut, puis autour de mes hanches, sur mon ventre et enfin elle rejoint la première juste à l’opposé de son point de départ. Vous appliquez ensuite une seconde qui remonte un peu plus haut sur les fesses et le ventre. La tension sur le ventre devenait plus perceptible et mes fesses devenaient des globes plus tendus, plus petits et plus durs. Puis vous passez des bandes sur le haut des fesses, les encadrant entièrement dans cet ensemble de plastique collant.

 

 D’autres bandes par couches successives rendent la pression toujours plus forte.

Mes fesses sont recouvertes entièrement, petits morceaux par petits morceaux Certaines bandes commencent sur la ceinture formée par les bandes collantes sur le ventre, passent entre ma cuisse et mon sexe.

Je ressemblais à une statue de plastique du ventre jusqu’au haut des cuisses.

 

Vous me détachez alors de mes entraves, et me faites marcher dans la pièce,  chaque mouvement des jambes donne l’impression de faire une pression sur la cuisse à la fois vers le haut et l’extérieur.

 

Le collage du haut du corps commence.  Je porte un très court justaucorps en nylon très serré qui recouvrait juste mes épaules, mes bras et les seins. Vous me demandez de m’installer dans l’encadrement de la porte et attachez les poignets à chaque angle du haut, mes jambes écartées. Déjà écartelée, vous me faites porter une barre d’écartement, impossible pour moi de fermer les jambes

 Vous démarrez sur mon ventre, en tournant autour du corps, ajustant lentement la bande et en remontant vers ma poitrine jusqu’à la naissance des seins. Ce corset de bandes m’enserre très efficacement chaque inspiration tire sur le corset. Puis le dessus des seins, mes épaules et mes bras furent recouverts. J’ai autour de mon  cou, un collier large très dur et rigide qui m’oblige à relever la tête, une bande collante le recouvrit, cela empêchait de serrer le cou. Une sécurité pour éviter un étouffement

A l’aide de ciseaux, vous dégagez mes seins, ils ressemblent à deux globes tendus

 La couleur grise métallisée des bandes collantes donnait un aspect de robot.

 

Vous me regardez, content de vous, me libérer  pour me mettre des menottes les mains derrière le dos. La position tendue à l’extrême ne m’avait pas fait sentir à quel point j’étais compressée par le corset formé sur le ventre et la taille. Vous me demandez de continuer à marcher. J’ai une position rigide et ne peux  me pencher.

 

Vous avez  une érection énorme et m’allongez sur le canapé, bien à plat sur le dos, en me portant comme un paquet, vous attachez  mes jambes très serrées, m’ôtant le peu de mobilité qu’il me restait

Me caressez le corps, mais je ne sens que faiblement vos mains, me touchez le sexe rendu plus disponible, et cette sensation m’électrise. Ayant perdu l’usage de mes mains, pouvant à peine bouger ma tête, je cherche malgré tout à me toucher, à vous guider, sans beaucoup de succès. Je commence à sentir votre caresse insistante, vos doigts s’insinuant en moi, me frottant, me palpant, me pinçant, mon corps est au bord de l’orgasme, vous me retournez violemment comme un crêpe, ce qui me fait pousser un jappement étrange. Aplatie sur le ventre, vous me pénétrez ainsi, et cette sodomie me secoue toute entière. Je ne suis plus qu’un jouet en plastique,  un trou pour votre plaisir.

 

 

Me sortir de mon carcan de plastique fut presque aussi long, mais j’étais toute molle et mon corps n’avait plus aucune résistance. Une fois libérée vous me pénétrez de nouveau, de la manière la plus traditionnelle, pistonnant avec fureur et je jouis avec vous en poussant un cri profond que vous  accompagnâtes de votre râle.

 

 

Dim 16 aoû 2009 Aucun commentaire