Le blog de maâyana
Mon éducation démarra de la sorte :
Par une belle après midi ensoleillée, je reçus l’appel suivant de mon maître
Rendez-vous chez moi ce soir, 20h00 précises
Pas une minute de retard ne te seras accordée
Tu seras nue sous tes vêtements, disponible et offerte aux moindres de mes désirs.
Un Savant cocktail fait d’envie, de peur et de panique m’envahit
Là, le son de sa voix résonne encore dans mes oreilles, je le sens derrière moi à chaque seconde, ses mots me guident
Mais j’allais arriver dans l’inconnu, qu’allait-il faire de moi ?
Et puis arriver nue sous mes vêtements c’est simple
Mais si ces vêtements ne lui plaisaient pas
Interrogation stupide d’une midinette devant sa glace !!!
Me voilà, prête, un dernier regard dans le miroir pour me rassurer
Je franchis la porte de chez moi, vêtue d’une jupe et d’un chemisier, j’ai enfilé un grand manteau pour que personne ne puisse m’imaginer ainsi exhibée
J’arrive enfin devant chez vous
Je mets du temps à sortir de ma voiture, mais l’heure tourne
Et rien que l’idée d’être en retard me fait bondir et me précipiter devant votre porte
Je sonne, les notes du carillon se mettent à tinter, puis la porte s’ouvre
Vous me faites pénétrer dans l’entrée spacieuse meublée d’une commode baroque
Mes yeux s’arrêtent sur chaque détail pour oublier ma peur
Puis le salon celui-ci est éclairé de quelques lampes aux lumières tamisées
Au milieu de la pièce une table en cerusé blanc sur laquelle est posée deux chandeliers, autour de la table quatre chaises
Vous m’ordonnez de me déshabiller en vous tournant le dos
Je suis un peu effrayée, je n‘ai pas froid mais je tremble
En mettant vos mains sur mes épaules vous me dites : Tu vas être ma chienne
En joignant l’acte à la parole vous passez autour de mon cou un collier de soumise en cuir avec un anneau…
Puis vous fixez une laisse à cet anneau, vous tirez vers le bas, m'obligeant à me mettre à quatre pattes et me voilà en train de marcher comme une chienne
Un mouvement d’effroi me parcoure le corps, je n’aime vraiment pas cela, mais je n’ai plus le choix, j’ai envie de me redresser de dire Stop, mais je n’en fais rien !!
Vous vous installez à la table et m’intimez l’ordre de me coucher à vos pieds
Je m’exécute sans un mot
Vous me caressez la tête, et par ce simple geste je sais que vous êtes satisfait
Vous me laissez ainsi à vos pieds pendant un moment qui me semble interminable, tellement le silence et l’humiliation de la position me perturbent
Vous me mettez à genoux et me demandez de m’occuper de vous
Ce soir vous avez de grandes envies je sens bien que seul votre plaisir va compter
Je suis soumise pour vous servir, mon plaisir va venir de Celui que je vais vous donner
Je défais votre ceinture et ouvre votre pantalon, avec mes mains je sors votre sexe qui commence à durcir et à se tendre.
La vue de ce membre qui prend forme aux contacts de mes mains fait circuler un tressaillement de plaisir et d‘envie le long de ma colonne…
Mes mains longues et douces commencent à le caresser lentement et doucement de bas en haut. Une de mes mains glisse en dessous de vos testicules et les masse délicatement puis de façon un peu plus appuyée de façon à en ressentir et m’imprégner de chaque contour.
Je me sens chienne et soumise, j’aime cela !!!
Je baisse la tête et doucement, ma bouche s’ouvre pour prendre possession de votre gland.
Prendre possession, étrange mot pour une soumise, pourtant en étant chienne et excitée, je prends possession, oui !!
Je le couvre et le recouvre de ma salive encore et encore, les sursauts de votre corps sont une invitation à poursuivre, je continue à vous branler tout doucement, pendant que ma bouche fait des va-et-vient sur votre queue
D’un seul coup votre prenez ma tête entre vos mains et m’imposez votre rythme.
Je ne vous suce plus, vous me baisez la bouche, vous enfonçant profondément dans ma gorge.
Vous et moi ressentons que vous allez bientôt jouir, vous sortez alors votre queue de ma bouche, et faites une pause.
Vous me gardez ainsi à vos pieds, quelques instants je ne bouge pas, j’attends docile et obéissante
Une fois votre contrôle retrouvé, vous tirez sur la laisse et me faites marcher à vos côtés, tête baissée
Vous m’amenez à proximité d’une barre en bois recouverte de cuir reliée par des chaînes descendant du plafond blanc immaculé. Cela ressemble à un manège de fête foraine, plus le manége tourne plus les chaises montent dans le ciel. Mais celui là est immobile et n’attend que moi
Vous me faites mettre à plat ventre sur cette sorte de balançoire, relevez mes bras,et les fixez à ces lianes faites de maillons métalliques
De chaque coté du mur un anneau se trouve fixé
Vous insérez dans chaque anneau une chaîne que vous attachez à mes chevilles, vous avez pris soin de parer ces dernières de menottes en cuir et des liens un peu trop courts partant de mes poignets vers le sommet des chaînes …
Ces diverses attaches donnent à mon corps une posture indécente, fesses écartées, jambes tendues, impudique, une femelle offerte à son mâle
Je suis très excitée par cet état de confinement
Vos doigts suivent le contour des lèvres de mon sexe, il est trempé, puis remontent sur mon anus ouvert comme une bouche
J’ai envie que vous me preniez et me baisiez comme une salope, une pute par tous mes orifices.
Mais vous n’en ferez rien, vous avez d‘autres envies en tête
Soudain le contact doux et froid d’une lanière puis de plusieurs me sort de ma torpeur
Quelle est donc cette sensation nouvelle et étrange qui embrase mon corps ? Oui embrasement, car ce claquement ne m’a pas fait mal, il m’a surprise
Les langues de cuir qui se posent sur mes fesses pour y laisser des marques rouges se font chaleur, douleur et plaisir
Vous continuez, et tel un chef d’orchestre, vous faites résonner comme un sifflement les lanières dans l’air, prémices de tendres et violentes douleurs attisant le plaisir de mon corps
Je pleure de plaisir, de douleur, d’envie et de désir, tout à la fois…et tout à coup…le calme et le silence
Je vous ressens derrière moi, admirant les marques que vous avez laissées
Puis la chaleur de votre langue qui vient lécher mes marques, adoucir la morsure du cuir, langue qui donne du plaisir aussi, elle s’insinue dans la raie séparant mes fesses, jusqu’à effleurer mon anus, elle le caresse, s’y introduit doucement suffisamment pour que je pousse ma croupe en arrière
J’aime ce contact……
Vous aimez ? On poursuit l’éducation de la souris ?