Le blog de maâyana
Je le rejoignis dans d’un hôtel de charme, de charme dans le sens qu’il s’agit d’un vieil immeuble particulier, avec un grand hall d’entrée, de grands escaliers aux rampes en fer forgé et aux marches faites de marbre.
La chambre ressemble plus à un boudoir qu’à une chambre, il y a des tentures et des boiseries.
Les meubles de cette chambre rappellent la volupté du siècle des lumières.
Il avait très bien choisi, malgré mes angoisses, je me sentais rassurée
Il m’avait laissé le numéro de la chambre par sms
Je devais rentrer ne rien dire, entrer et venir m’asseoir sur le fauteuil recouvert de velours mordorés et attendre.
A cet instant très précis, je ne savais pas, s’il serait présent où si je me retrouverais seule face à moi–même avec mes questions, mes doutes et mes envies.
A l’heure dite j’entrais dans cette chambre, j’allais m’asseoir sans chercher à savoir ; s’il était là.
Seule la lumière des bougies éclairait la pièce, les lourdes tentures occultaient la lumière du jour.
Mes yeux commençaient à s’habituer à cette pénombre, et il était là
Lui, enfin présent devant moi, mon ventre se mit à onduler malgré moi
L’envie de me lever et de venir me mettre à ses pieds pour lui offrir ma soumission était très forte
Mais je ne devais pas bouger, il l’avait imposé dans son sms
Sur la table, il y avait deux coupes, une bouteille de champagne, et des amuses-bouches
Que de raffinement, il avait pensé à tout
Le champagne a pour effet de nous plonger dans une certaine euphorie qui nous libère tout doucement.
Au bout d’un moment qui me parut une éternité mais je ne saurais dire s’il dura des minutes ou des secondes, vous me fîtes me lever tout en prenant ma main et la caressant du bout des doigts… ma main était chaude… à l’image du reste de mon corps.
Vous me penchez en avant me permettant de vous offrir mes seins
De manière très entreprenante, vous me redressez et comprenant ces gestes presque désinvoltes, je m’approche de vous, mon visage épanoui se tend vers vous en attente de vos premières envies…
Vous déposez un baiser sur mes lèvres, j’y réponds immédiatement et nos langues se mêlent, timidement d’abord, puis plus intensément.
Ce baiser devient plus profond et vos mains commencent à explorer mon corps.
Je commence à perdre le contrôle, et comme pour m’échapper, je vous redemande une coupe de champagne.
Mons corps est en feu, j’ai envie de vous, là maintenant dans cette chambre où personne ne viendra nous déranger
Pendant que je savoure cette coupe de champagne en essayant de ne pas totalement succomber, vous faites glisser ma robe, je suis alors nue devant vous
Vous ôtez la coupe de ma main, et me poussez en arrière et je me retrouve assise sur le canapé deux places assorti aux fauteuils de cette chambre
Vous passez alors un bandeau de soie noire autour de mes yeux, ma respiration se fait plus saccadée et mes seins se gonflent au rythme de mon désir
Vous relevez mes deux bras au dessus de ma tete et je me retrouve nue et allongée et délicatement vous attachez mes poignets aux accoudoirs
Je deviens alors votre captive volontaire.
Vous faites alors couler du champagne entre mes deux seins, la surprise me fait sursauter de plaisir, étant attachée je ne peux l’essuyer et c’est votre langue qui vient recueillir ce nectar.
Cet acte si simple et si anodin déclenche en moi un frisson mêlé d’envie et de peur
Privée de la vue, tous mes sens sont en éveil, j’écoute essayant de prévoir ce que vous allez faire
Ma bouche s’ouvre mais d’une façon autoritaire vous y apposez un doigt, me signifiant que je ne devais rien dire
Cela m’excite terriblement, et mon corps ondule sur ce canapé
Vous prenez tout votre temps, cela décuple mes envies
Votre langue joue avec mon sein droit pendant que votre main malaxe le gauche
Mes tétons se dressent alors, signal que tout mon corps est en feu
Puis vous commencez à serrer mes tétons , les malaxer et les faites rouler sous vos doigts alors mon corps se cambre
Je sens qu’un premier orgasme est en train de monter
A ce moment là, pour calmer mon ardeur et augmenter votre emprise
Vous m’interdisez de jouir en me disant d’un ton qui n’admet aucune réponse
Vous êtes ma prisonnière… n’oubliez pas.
A suivre ….